L'altération de la vie nationale.

  Le fait demeure d'avoir à entendre de la fin de la France qu'elle serait désormais toute proche.


  1. L'état-major de l'Armée française se réjouit, apprend-on, de compter la France parmi les cibles militaires conventionnelles de la Fédération de Russie, à croire que son chef d'une autre manière, tel un Dreyfus de plus, travaillerait pour Vladimir Poutine, au service de sa propagande. 
  2. Mais de manière plus sérieuse, l'annihilation de la France entreprise par le chef de l'État pour lequel un impair de plus n'est jamais le fruit du hasard, contribue à en rehausser le prestige par cette soutenance d'une position ridiculisante à grands frais, au motif d'une conjoncture électorale classieuse entièrement périmée par des raisons clairement douteuses.
  3. Le statut de nôtre pays est celui d'une nation en bout de course, contrainte à se rénover ou à disparaître.
  4. Nous n'avons jamais été aussi stupides collectivement, et jamais nous n'avons autant ressenti l'absence de la Grâce, pesant tel un fardeau lourdement.
  5. Pourtant la France vivra, mais en effaçant tout compromis désormais que cela est possible suite au déliement gordien.
  6. Se jouer de la direction du Capital pour enfreindre toutes règles déontologiques en politique, est devenu le frein d'un divertissement abouti certes mais pérennisant la panne des cerveaux au pouvoir. 
  7. Nous sommes floués pour avoir voulu croire qu'il est possible de manière inaltérable d'abuser du Christ, au point de rejeter le simple bon sens d'une tête bien faite et des idées clairement objectivables.
  8. Le statut de la morale relève de la recherche du pire par la manutention rêvée de pseudos musulmans au mains sales des esprits et des formes.
  9. Nôtre vie nationale se vit comme une malversation opiniâtre pour ternir de nôtre liberté fondamentale qu'elle puisse procéder d'une véritable modestie. 
  10. Nous sommes comparés à un troupeau de moutons, pour certifier du kebab sa raison d'être ultime, nous remettre en question sans bien même attendre nôtre réponse.   
  11. La toise est sévère, et le manque de sérieux comparable à un truisme nauséeux.
  12. Jésus n'est pas fier de nous, toutefois s'éprend-il de nôtre rêve de liberté pour en accompagner la finalité, par une fuite en avant refusée.
  13. Nous tenons à ce que nous sommes, au fondement chrétien de nôtre Nation, qui transparait toujours plus comme une évidence par le constat fait des errance politiques. 
  14. Le thème avancé de nous décevoir n'est pas plus compromettant que cela pour nos esprits, mais le non-droit qu'il suppose en rend toujours plus élégant la judiciarisation.
  15. Nous n'acceptons pas de nous en remettre aux urnes au prétexte qu'elles sont toujours plus funéraires.
  16. La vie du pays ne se résume pas à l'obligation d'être gouvernés, même s'il convient de mettre un terme à ces pieds de nez.
  17. L'infini du respect de l'État est une cause permanente de trouble, et il nous parait bon d'en convenir.
  18. La satisfaction de ternir ainsi la vie de l'État par une ultraviolence des faits et une mauvaise foi de fortune dévoile toujours plus cette incertitude planante au sein  de l'oligarchie.  
  19. La Rédemption suit ainsi son cours rémanent.
  20. Nous constituons un recours.
  21. Gageons d'appartenir à l'avenir si nous le voulons bien.
  22. Pour que la France vive.




      Paris, ce vendredi 11 juillet 2025, Bruno Cadou.