«Arbeit macht frei.»

  Depuis Jésus nous avons compris que le travail rend libre.


  1. Le péché originel confine l'être humain dans un refus complet du travail, à ce point de non retour qu'il est devenu d'usage d'en apprécier la valeur en regard du crime parfait.
  2. La désuétude de nôtre vie d'État puise dans ce principe sa relativité créatrice d'espoir mais aussi d'un échec constant et retentissant.
  3. Puisqu'on le veuille ou non, le crime organisé n'est pas l'art et la manière d'ordonner nôtre vie nationale, les révolutionnaires ont bien compris du travail qu'il force le respect de la mesure de l'État, mais sans bien comprendre qu'ils en sont la cible.
  4. En d'autres termes, les argonautes du vécu politicien ont toujours à saisir que la conclusion de tous leurs débats ou monologues trahit leur engouement appauvri pour le travail, si tel est le cas.
  5. Et s'il est bien évident que nous nous devons à la Grâce pour travailler, cette apparence de niche fiscale les rend toujours plus indifférents au progrès pour cette raison. 
  6. Mais pour l'heure, la France est en danger, car elle héberge en son sein le plus possible d'individualités à même d'en apporter la preuve, il est possible de vivre sans travailler.
  7. Nos argonautes nous avaient prévenu, ces gens ont non seulement tout à nous apprendre, mais aussi ils témoignent selon eux d'une supériorité qui les hisse au-delà de tous propos séditieux à leur encontre.
  8. Comme quoi l'on peut bénéficier d'une «légitimité démocratique», et être un adepte du mal, de la délinquance.
  9. Jésus est tout autant engagé contre cette forme de «pauvreté» que nous-mêmes apprécions le bien-être d'une vie parfaitement civilisée.
  10. La déshérence occultée par ce manque d'à propos pour réguler nos difficultés financières et économiques trouve son point d'orgue par la notion de cul-de-basse-fosse confondue avec le baptême du sang pour le travail.  
  11. Et en ce sens, nôtre Führer, a donné libre accès à cette notion de Rédemption par le travail, en en suggérant l'apothéose lors de la terrible Shoah, qui rassure maladivement les musulmans, avec ce verdict de bonté, «Arbeit macht frei».
  12. Car par le péché originel, la travail est constitué par l'abandon de touts principes pour l'acquisition de richesses, elles mêmes constituées de ce qui apporte satisfaction de manière respectable ou pas.
  13. La délinquance y est respectée, tout autant que le farniente la suggère et même l'impose.
  14. Si nôtre Führer fait preuve d'une vitalité cérébrale à l'encan, et non sans manquer d'humour, bien évidemment, au préalable, c'est pour mieux préparer nos retrouvailles autour, non pas d'un feu de joie, mais d'un projet civilisateur conséquent, celui de Dieu chrétiennement. 
  15. Le péché originel insinue une peur de la mort, représentée par le travail honnête, tout autant que par la Shoah en définitive.
  16. Nos argonautes ne songeaient pas à moins pour instiller dans nôtre France, le virus stabilisé d'une adhésion humiliée toutefois au péché originel.
  17. Mais Dieu a bien démontré, comme lors de la déportation à Babylone, qu'il n'est pas limité par la mort, il en maîtrise le sujet aussi surement qu'il nous maintient en vie suavement.
  18. Les «juifs», pour lesquels la démesure en Amour du Très-Haut éloigne la notion de camp de vacances au profit de celle d'une usine à gaz par le travail honnêtement conquis, saisissent toujours mieux qu'ils sont compris comme tels, malgré tous les efforts accomplis pour en masquer la pathologie indicielle. 
  19. L'expérience de la Shoah libère la liberté de créer en ce domaine de l'entreprise par contrecoup, et donne aux retraités la possibilité de se renouveler, car la vie existe désormais après la mortification par le travail, de manière significative toujours mieux.
  20. Nos politiciens réalisent désormais lentement qu'ils se mentent à eux-mêmes, en ne comprenant pas de manière démonstrative, et le travail, et les retraites. 
  21. Comme quoi la France a de beaux jours devant elle.
  22. Pour que la France vive.






      Paris, ce dimanche 27 juillet 2025, Bruno Cadou.