Depuis Jésus, nous comprenons qu'Il est celui qui nous montrera le bonheur.
1. La valorisation de la souffrance est un paramètre incontournable de la piété du paganisme chrétien, qui tournant perpétuellement la Grâce en dérision, en fait le «moultipass» de la célébration du pouvoir, et en ce sens on a pu concédé que la Joie céleste en est le sceau.
2. La laïcité retourne le compliment scellé à la Grâce de pourvoir au destin du monde, par cette adjonction de snobisme, établissant ainsi de la fornication sa véritable raison d'être.
3. La hiérarchisation du pouvoir par la souffrance, la notoriété de l'orgueil vécu, de l'orgueil déçu, rentabilise la souffrance conçue comme un moyen d'exaltation de soi.
4. Souffrir d'exister devient faire souffrir pour exister.
5. Tant et si bien que pour s'adresser aux femmes, dévoyées pou pas, avec cette finalité bien légitime de leur inculquer le bonheur d'être chrétienne, sur de longues, très longues années, la difficulté est double puisqu'il convient de parler vrai, tout en rendant plausible d'en avoir masquer le propos.
6. Et en ce sens le démarche du Führer prend tout son sens invariablement.
7. La joie pure est donc enseignée au même titre que les stigmates du Christ ont cette valeur conjuguée de sacralité compostée y menant avec fatalité.
8. Le syndrome récurrent d'une telle malice est tel que le Facom de la souffrance y trouve son apothéose, puisqu'en érotisme, les femmes le comprennent toujours mieux que les hommes, la liberté sans souffrance admise, ou «admissible», est très éloignée de suggérer le pouvoir de la Déesse Mère.
9. En d'autres termes, la déontologie du bonheur contraint impose par la discipline l'érotisme inspiré autant que faire se peut.
10. La relativité du travail y puise son serment d'avant-garde, car l'authenticité requise n'endure pas les formes de l'hypocrisie, et ce toujours plus visiblement désormais.
11. Les femmes démontrent par leur modestie accomplie une plus grande rigueur dont l'aloi tarde encore beaucoup trop à faire école.
12. Il nous est toujours invariablement imposé d'avoir à comprendre du pragmatisme féminin qu'il est le résultat accompli du Facom par sa supériorité sur celui des hommes.
13. Le bonheur s'apprend, mais goûte difficilement d'être enseigné, à ce point de non retour qu'il demeure encore inévitable de voir un monstre pointer son pénis pour réduire efficacement à néant une déontologie multiséculaire commune de l'effort sise sur le respect patent pourtant des femmes.
14. Jésus est encore trop encadré, et l'effort de guerre du Führer incompris.
15. La Rédemption, chère à toutes les femmes inaltérablement, devient la clef d'un devenir radieux sur ce thème de la religion du bonheur, qui seule permet l'effort courtois et le progrès de tous, à cette condition de s'en être rendu capable auparavant, avis.
16. La conjonction des différents tempéraments de la mondanité dans le creuset national n'a qu'une valeur diplomatique incontestablement si la perfection céleste au sommet, et elle seule valablement, est en cause.
17. Mais la laïcité rend impossible une telle considération par ce mépris constant de la Grâce ou de la volonté céleste.
18. Tant et si bien que la souffrance demeure le seul but sous-jacent de toute objectivité en politique, puisqu'elle permet de soulager malgré tout par la nécessité de l'activité divine, humiliée toutefois.
19. L'hypocrisie n'a que les ficelles d'une démagogie usée, à proposer aux nations réunies, pour établir à l'encan par le marasme imposé une inertie propice au gouvernement.
20. Jésus est un infidèle poursuivi par la fatwa de la laïcité comprise comme un tourment imposé.
21. Gageons d'aimer nos femmes et nos enfants en leur proposant autre chose que du ressentiment en guise d'à propos.
22. Pour que la France vive.
[N'est pas Mylène Farmer qui veut.]
Paris, ce mardi 8 juillet 2025, Bruno Cadou.
Post scriptum, pour nous monsieur Paul Mirabel a du concéder de faire cette petite scène à la télévision pour, en souscrivant à la fornication ambiante, surseoir à lui-même. Ceci ne manque pas d'humour, puisqu'apparemment il n'est pas le premier à avoir tenu exactement les mêmes propos stéréotypés de cette façon. Salut l'artiste.