Faire des économies.

  Supprimer des jours fériés, gagner moins, dépenser moins, voir loin . . . mais sans Jésus.


  1. Depuis Jésus, l'on sait que l'argent est le résultat d'une dette, et que cette dette n'est pas un soulagement sans le Christ.
  2. Nous vivons dans un univers tourmenté par le respect du péché originel, et nous voudrions avec ce même allant refondre une perspective entachée d'irrespect sincère pour nôtre Créateur, en ne parvenant jamais à résoudre ces difficultés pour lesquelles nous ne sommes pas même nés. 
  3. Le fait est qu'en France on ne se dégage pas encore des trente-cinq heures, puisqu'elles nous rapprochent de Dieu, en nous concédant d'avoir également besoin de «donner du temps au temps». 
  4. En plus des hommes, le vingt-et-unième siècle voit les femmes travailler désormais quasiment comme des bêtes encore plus à l'occasion, car la succion du jonc est suceuse de temps libre à profusion.
  5. Élever une famille dans ces conditions requiert une parfaite synergie de la vie instituée, synergie combattue le plus possible par la mauvaise foi de nos dirigeants, et l'irrespect pour la Nation qui l'accompagne. 
  6. La décadence en cours en fait état, l'immigration de masse en plus de nôtre renoncement à nôtre souveraineté, nous fait encourir le pire des cauchemars pour cette raison de perdre du «parler vrai» l'augure, au profit d'un «vivre ensemble» sépulcral. 
  7. Nous devinons en haut lieu une pauvreté grandissante tardivement, pour ce motif d'être confinés loin des exigences du travail réel, nous insistons car la chose est observable, et nous n'admettons pas de même avoir floué le pays par des exigences de repli prétendues intangibles, au profit d'une Europe esthétique de salon.
  8. L'argent est devenu la panacée supposée de cette structure supranationale en dehors de laquelle même le RN ne voit pas d'autre issue possible, hégémonie positive quand tu nous tiens.
  9. L'Amour du pays est devenu un retable qui ne profite guère qu'à une oligarchie politicienne dévoyée, en mal de suffrages et de subsides ouvrières détournées.
  10. Alors oui, il y a une dette, on ne vit pas vingt ans en roulant sur les espadrilles des français, au profit des «indigents» venus de la Grande Espagne, sans établir des conséquences financières outrageantes, puisque nous sommes parvenus à ce titre à des compromis de cet ordre au motif d'une résilience et d'un réalisme d'apparat traités comme un tabou définitif.
  11. Tout nôtre appareil d'État est soumis à ce fléau intempestif, et pas seulement.
  12. Nous ne mesurons pas encore le dégât provoqué, auquel de toutes les manières il nous faudra faire face dignement, sans désespérer d'être revenu au Moyen-Âge des valeurs civiles, voir militaires admises dans l'entrepont.
  13. La légion étrangère en fait état, à prendre les soldats pour des pions, même s'ils sont bons, on obtient d'être tous marrons, pour de bon.
  14. Alors oui, la France va mal, et y trouver des solutions avenantes, devient une forme clownesque d'anthologie du suicide sociétal.
  15. Car à vivre sans Dieu pour des évidences de voyous on retient monsieur Loïk Le Floch-Prigent, décédé ce jour, en prison pour ne citer que le commun à devenir commun.
  16. Nous veillons, prions et travaillons quotidiennement pour entendre en haut lieu des fainéants nous raconter qu'il ne savent rien f...... 
  17. La France a bien saisi ce stratagème dont il nous faudra bien revenir, de subroger le Droit et Dieu présent parmi nous par falsification des discours. 
  18. La France a besoin d'autres choses que des reniements de pagodes pour entériner une politique budgétaire dans la dignité.
  19. Enfin la France, se doit de redevenir grande à nouveau, en se débarrassant de ces scories non obligataires désormais d'un monde contraint au dialogue avec des impunis, judiciairement parlant. 
  20. La solution pour nôtre pays existe, mais pas sans lucidité d'école, pas sans Dieu présent parmi nous.
  21. On ne revient pas du péché originel pour établir la santé économique sans Dieu présent parmi nous.
  22. Pour que la France vive.



      Paris, ce mercredi 16 juillet 2025, Bruno Cadou. 

  Post sciptum, sincères condoléances à la famille de monsieur Le Floch-Prigent.