Ballerina

   John Wick a une «Sœur».

  Il n'est pas nécessaire d'avoir de la peine pour visionner ce film étrangement dédié à une femme, ce qui, dans l'univers de John Wick n'est pas fatalement paradoxal.
  De plus, le génie du film retient de souscrire à un manque de parfaite plénitude sur le plan militaire ou stratégique.
  Mais pour nous qui prions avec cet avantage de plaire à Dieu en toutes circonstances, le secret dévoilé ici requiert bien ce talent précis.
  Madame Ana de Armas libère pour nous une interprétation fabuleuse de la guerrière attendue pour en finir avec le temps du manque de sérénité de la secte hindoue maudite.
  Un film qui attise le prestige de l'école du crime dite de la «Ruska Roma» qui avait formé John Wick. Un film qui nous situe aux confluents du réel et d'une possibilité inéluctable de paix à venir en Ukraine.  




      Paris, ce jeudi 10 juillet 2025, Bruno Cadou.