Don't worry, be happy.

  This smile on your face . . .


  1. Aujourd'hui que le ton est donné par la légion, et que la virilité française se doit de céder le pas à celle venant de l'étranger, il est convenu d'entendre que nous sommes appelés à une grande fête du patriotisme.
  2. Ne rêvez pas, pour en arriver là, nous avons tous souffert, subrogation au marché commun puis à l'Europe pourtant décriée, immigration de masse transformant le pays en un vestibule pour gens heureux. 
  3. Jésus lui-même a été déposé sur le bas-côté, même s'il est prié de différer ses jugements et de pardonner dans une indifférence à son égard qui n'est pas relative
  4. La jésuistique des «riches» relève de recevoir plutôt que de comprendre, d'altérer en lieu et place du respect.
  5. Nôtre jeunisme ne convient pas.
  6. Nôtre devenir pacifiant non plus.
  7. La quête de respectabilité frise le régime monocorde de la discorde.
  8. Nous mangeons toujours moins bien.
  9. Le coût de la vie est toujours plus élevé.
  10. Nôtre Armée est toujours désossée.
  11. Nous ne convenons pas au statut inventé de toutes pièces pour cette infortune, celui des noces prééternelles des nations.
  12. Nous sommes réduits à l'autre au prétexte du «vivre ensemble».
  13. L'autre nous respecte sur l'air du Youkaïdi Youkaïda.
  14. La liberté délaisse toute préséance.
  15. Le jargon des gens utiles et nécessaires devient celui d'une guerre pour une passivité au farniente et à l'ingestion supposée de l'excrément.
  16. L'élite se préoccupe de l'islam comme d'une prébende.
  17. Dieu s'en contrefout complètement.
  18. La joie d'être français demeure dans le cœur des françaises comme un choix fait de les voir destituées par la légion des étrangers.
  19. Les enfants de la patrie se tiennent prêt à remercier sans toutefois les encourager, ceux qui se rendant dignes d'être poursuivis judiciairement rendent possible un tel tableau.
  20. Les français sont toujours plus destitués de leur pays.
  21. La kermesse de l'ouvrage en cours ressemble à une foire du trône.
  22. Pour que la France vive.





      Paris, ce samedi 12 juillet 2025, Bruno Cadou.