La traduction de l'impôt.

   Compter l'argent est une affaire mystique de garde.


  1. L'impôt semble avoir été créé pour correspondre avec des mécréants pour lesquels tout s'achète et tout se vend, même le simple principe du déplacement.
  2. Dans l'estime de soi des gouvernants, l'impôts revêt pour cette raison une importance fabuleuse, puisqu'il signale par la forme l'importance qui leur est redevable par leur propre aloi.
  3. Ainsi déclarer la pauvreté d'une nation requiert cette élan de fierté établissant par l'orgueil le menu d'une supériorité vécue dans un monde construit, celui de la paranoïa.
  4. La réalité édulcore la crédibilité de ces mêmes gouvernants, puisque dans un monde tenu par Dieu, la régularité des comptes et leur sincérité deviennent le résultat d'un ordre spirituel écartant la délinquance.  
  5. Dans le fond, atteindre la compréhension des comptes leur est devenu hors d'atteinte, au même titre que leur impuissance à fournir un travail conséquent objectivable.
  6. La réalité des finances publiques relève d'un accord de principe inexistant pour l'heure avec la Couronne, avec Dieu présent parmi nous.
  7. Car Dieu assure la comptabilité de la nation au même titre qu'il la protège le plus possible des conséquences désastreuses, financièrement également, de l'ultraviolence en cours.
  8. La question politique majeure relève de bien comprendre de n'avoir pas confondu le jour et la nuit à ce titre.
  9. Car s'il est admis d'imposer des mesures incompatible avec nos lois, le théurgie supposée ne peut devenir effective, un peu comme désormais monsieur Poutine ne peut demander tout et n'importe quoi à son pays au prétexte de le défendre du national socialisme allemand. 
  10. De même en France, à tout réguler à l'encontre supposée de l'éminence du Führer, il a été imposé à la France d'envisager une résilience de ses propres fondements, un peu comme si le naturel des «juifs» peut en faire abstraction, malgré la Shoah qui établit par le menu de l'ultraviolence une altération profonde d'une prétendue supériorité par le Facom, sur les finances injustement tout particulièrement. 
  11. Nous vivons une période rédhibitoire à l'encan pour surseoir financièrement au motif d'un plaidoyer d'usage scabreux sur l'intérêt de la vitalité de la France.
  12. Le respect de l'étranger en particulier, passant avant toutes autres considérations, bien au-dessus des intérêts majeurs du pays, constitue une menace sur nos finances et nôtre économie, élevée au rang de tabou.
  13. Les droits de l'homme augurent d'une résilience crasse incompatible avec une réelle dynamique d'un pouvoir fort et conséquent.
  14. Enfin l'adhésion à l'Europe, signale une confusion historique entre comptes publics et comptes de la nation.
  15. N'importe qui, qu'il soit capable ou pas, commente les finances de l'État français depuis l'étranger, et chacun comprend des directives européennes quelqu'elles soient leur aspect foireux de même.
  16. L'adhésion à une Europe sans Dieu, par un attachement immodéré à une laïcité de standing douteux, impose un chaos systémique ravageur propice à l'académisme du pire, au terrorisme des songes macabres d'un monde, celui de l'oligarchie politicienne, plus enclin à la barbarie masquée toujours plus de l'islam ou d'autres mises en forme du péché originel.  
  17. Nôtre déclin constant depuis plusieurs décennies est le résultat d'un attentisme volontaire, mais aussi par simple stratégie, humiliant pour ces mêmes politiciens.
  18. On jalouse collectivement, manifestement en France l'appropriation bizarre du pouvoir par Vladimir, pour rendre plus performante la décadence en cours.
  19. Nôtre situation financière, telle qu'elle est rendue publique, ne rend pas compte d'un excellent état mental de nos dirigeants. 
  20. L'absence de la foi chrétienne en Dieu présent parmi nous se fait sentir, tout comme l'actuel roi d'Angleterre s'est trompé de siècle.
  21. Nous devisons pour aboutir en comprenant toujours mieux de Dieu présent parmi, nous qu'il a toujours plus de pouvoir désormais pour ne pas satisfaire un compromis qui ne lui convient pas.
  22. Pour que la France vive.





      Paris, ce mardi 22 juillet 2025, Bruno Cadou.