Depuis Jésus, nous comprenons du pouvoir qu'il est une attraction «ludique».
1. L'avènement d'un Chef de l'État est confondu pour le principe avec la naissance d'un sauveur, puisque l'État se doit de corroborer une progression attendue et inévitable du degré de plénitude chrétienne vécue.
2. Et en ce sens, chacun a pu remarquer l'abus qui est fait de cette école du bonheur, au motif d'un pragmatisme prétendument de fortune.
3. Le fait est que l'a priori négatif concernant la volonté divine efface par trop le potentiel effectif de la Providence, puisque par une accumulation de faits, chacun sait cela, l'on prodigue une distance cuisante entre les projets et leur réalisation.
4. L'aboutissement d'une telle conjecture est tel qu'il est devenu narcissique de ne pas en tenir un compte d'usage au motif de surseoir par les élections à la possibilité de faire de même.
5. Nôtre politique du pire en est un brillant exemple, nous châtions nôtre belle maturité pour nous accorder avec la barbarie, elle aussi de principe, de la phallocratie des songes engouleviens, pour établir par le menu des nécessités d'estoc qui ne conviennent qu'à la routine de l'usurpation, et donc à cette forme de délinquance amenée par la médiocrité supposée.
6. Nous prenons acte de nôtre devoir de patriote de surseoir également à cette problématique sulfureuse mais d'État, pour convenir par le bon sens de possibilités de décisions qui ne sont pas abstraites ou indélicates, mais raisonnées et par trop radicales simplement.
7. Dieu est juge que nous serions d'accord avec Lui s'il lui prenait l'envie de diriger nôtre nation de même.
8. C'est ce que nous pensons, pour en apprendre sans cesse la contrainte, celle de déplaire aux fâcheux, par trop attachés à la religion du pire établi par les songes précités et maudits.
9. Nous baignons abstraitement dans un sang concrètement en cause, en puisant dans nos ressources cognitives et priantes pour en abstraire le vide et l'incongruité.
10. La légitimité du pouvoir suppose d'en établir le charme configuré par le salut chrétien du monde, et non pas un esclandre permanent, une volonté de combattre avec droiture à l'encontre du Droit au prétexte d'une allégorie douteuse du bien, teintée par trop d'une démagogie de concert et d'abrogation du progrès spirituel, commun et individuel.
11. Nos nations sont le résultat de nos efforts mais aussi de nos possibilités, de nos errances comme de nos culpabilités, quand celles-ci existent bien évidemment.
12. La personnalisation du pouvoir soutient comme acquise la notoriété du conflit contre Dieu, tout en définissant le contraire au besoin.
13. L'hypocrisie y est la monnaie d'échanges oligarchiques dont la teneur épouse tous les contours des risques de conflits majeurs ou pas à venir.
14. Nous sévissons grandement subjectivement pour nous garder autant que faire se peut de touts préjudices en énumérant les possibilités d'attachement à nôtre progression.
15. Cette dernière est sans arrêt remise en cause pour préserver par cette distance prise avec les possibilités courtoises de salut chrétien commun la concurrence admise pour définir du pouvoir qu'il n'appartient plus au Christ si possible.
16. La virilité est mise à mal de manière exemplaire par la soutenance d'une déontologie militaire foireuse, entièrement arquée sur le culte phallique de l'exploit du commandement, justifié ou pas, ce qui revient au même dans ce cas.
17. Jésus est comparé à une mauviette, tenu à l'écart de toutes compétences pour cette raison.
18. La personnalisation du pouvoir revêt ce critère d'une abstraction de l'aisance de vivre et d'exister pour le commun, puisque par le Christ nous vivrions pour échouer.
19. Le cynisme épouse en regard des possibilités existantes les contours de l'arbitraire, que toutes les oppositions politiciennes jalousent avec respect.
20. Le chef de l'État est un Quasimodo photogénique dont l'intérêt pour le pays repose sur la conscience de vivre et de durer au-dessus de la norme humaine en cours.
21. Sa prétention au service de l'État est le résultat de son aura protectrice par le rudiment de la succion du jonc et de ses conséquences, qui peuvent, nous l'avons compris ensemble, forcer sa destitution, avec un cynisme mortel, et un respect conforme au vécu intrinsèque de nôtre République.
22. Pour que la France vive.
Paris, ce vendredi 18 juillet 2025, Bruno Cadou.