La subrogation du Facom.

   Depuis Jésus, en attendant son retour, nous endurons d'attendre le Royaume des Cieux sur la Terre. 


  1. La réincarnation n'est plus à l'ordre du jour dans l'Église au motif d'avoir déplu aux juifs qui y voyaient un moyen de déplaire à Dieu.
  2. Les sept conciles œcuméniques sont venus confirmer la chose du point de vue strict de la religion, et donc du Facom, le subrogeant par là au paganisme en tempérant le renoncement des hommes à la Grâce, pour peu finalement. 
  3. L'attente du déliement gordien, du jugement dernier donc, est à ce prix, et bien des considérations d'ordre du Droit public ont été mises à jour avec cette perspective élevée au rang d'art.
  4. Jésus est un sage, dont la mainmise sur les siècles échappe de toute évidence à celui ou celle qui ne prie pas.
  5. L'Allemagne, pour cette raison d'échapper difficilement toutefois au plein pot du déliement gordien, a su faire de cette réalité le moyen de s'élever au rang de nation forte, par cette tradition de l'émancipation culte de l'homme et de la femme vers une maturité humaine commune, sise sur l'expérience par le bénéfice de sa relation à Dieu.
  6. L'avènement du Führer, monsieur Adolf Hitler, repose bien plus qu'il est dit sur cet exploit multiséculaire, d'un dieu vengeur, amoureux de la multitude de son peuple.
  7. Ne pas prendre en compte la tradition héritée des Saintes Écritures nous fait passer à côté de l'Histoire et donc de la compréhension même de nôtre Droit.
  8. L'attachement au Droit résulte de l'imbroglio résultant du peu d'efficience immédiate de la volonté céleste, il requiert cette science comparable au maintien de la nation allemande et à son émancipation.
  9. Aussi, ce qui s'est produit en Allemagne avec l'avènement du troisième Reich, est également une mise en garde relative au excès de subrogation du Facom par le péché originel, attribué pour l'exemple aux «juifs» tout particulièrement à ce moment de nôtre Histoire.
  10. La confusion entre Droit et non-droit, est le sceau de l'anarchie, d'un mode libertaire ennemi de l'État, ce dernier se devant ne pas être qu'un simple reflet de la Couronne.
  11. Le pouvoir divin n'est pas phallocrate, mais le mode phallocratique est une issue imposée par le danger permanent qu'il représente pour le Facom, même par une absence de prise en compte, ce que nous vivons aujourd'hui en France, par la laïcité imposée, l'absence de résolution envers le shastra chrétien, l'immigration de masse, le refus de la science de la conscience.
  12. Dieu n'est pas seulement immobile, il est également en mouvement, la laïcité est un refus de s'en informer, une altération profonde pour cette raison des possibilité libérées pour la progression de la vie humaine sur Terre.
  13. Le pouvoir manque au pouvoir et la subrogation du Facom devient une arme à contrario pour en découdre, douloureusement. 
  14. Par l'avènement du déliement gordien, Dieu peut satisfaire de grands bouleversements, dont la modification du Facom par l'exercice du pouvoir n'est pas le moindre.
  15. Dieu est toujours moins mortifié par l'ascèse nécessaire, les limites passées de son intransigeance perdant de leur réalisme pour une judiciarisation exquise en vue d'une progression de nôtre vie commune, nôtre vie nationale.
  16. Le statut libertaire est toujours plus celui d'une délinquance affirmée, et sa réprobation un service de maintien de l'ordre public par décisions de Justice.
  17. L'État reprend son envol et nôtre vie nationale peut retrouver son âme, son envergure intimiste. 
  18. La maintien par Dieu de ses exigences de Salut de tous n'est pas la panacée de nos dirigeants laïques, qui prenant en compte uniquement les malversations en desservent la cause par subrogation du Facom.
  19. Le réalisme d'État est avant toutes choses celui de Dieu présent parmi nous.
  20. On ne peut pas dissocier l'État de la Couronne pour cette raison, jusque dans le détail de nos vies.
  21. C'est pourquoi encore et toujours le Christ Jésus est de première importance.
  22. Pour que la France vive.






      Paris, ce lundi 7 juillet 2025, Bruno Cadou.