Le principe d'une orientation spirituelle.

  Depuis Jésus, chacun sait qu'il fait bien ou pas . . .


  1. Pour le chrétien, l'avanie du monde déchu peint l'atmosphère d'une jovialité surannée comparable en touts points au péché originel.
  2. La nécessité d'en être induit par conséquent celle d'un compromis, dont la mystagogie conduit par abandon du péché originel et ses manières, à la pureté d'une condition plus élevée soutenue par une nécessité d'être et de devenir toujours plus adulte.
  3. La condition humaine relève ou pas cette conduite commune de l'existence au gré des tumultes incessants, et la plénitude de la sainteté attend au loin comme un phare.
  4. Nôtre exigence en Amour parait défaite par l'inertie de nos moyens humains pendant que Dieu agit pleinement en douceur sur nos âmes.
  5. La soutenance d'une orientation spirituelle, même minime, il n'y en a aucune, procède de l'orientation donnée par le Christ à nos subjectivités.
  6. L'oraison est le moyen infaillible de cette proximité avec Lui, mais également, la soutenance d'un refus plausible de tous compromis.
  7. Et en ce sens, l'Église visible semble demander beaucoup aux fidèles du Christ Jésus fort inopportunément, passionnée qu'elle semble avoir été par le respect du péché originel, des formes conjuguées de compromis sédentaires, et d'un goût avancé pour le respect de la médiocrité. 
  8. C'est donc le Christ lui-même qui invente un devenir possible pour l'Église à laquelle Il tient particulièrement.
  9. Les temps présents augurent bien inlassablement de telles possibilités, puisque les vannes du pouvoir céleste sont ouvertes toujours plus désormais depuis le déliement gordien.
  10. Toutefois, nous ne nageons pas encore dans le bonheur de chaque instant, puisque pour réparer les filets, il y faudra du temps et certainement le Christ devra désormais diriger par lui-même son Église. 
  11. Et si cela devenait réellement toujours plus simple.
  12. Pour que la France vive.





  [Elle est comme ça.]

      Paris, ce jeudi 31 juillet 2025, Bruno Cadou. 

Jubilé des Influenceurs chrétiens à Rome.

  Depuis Jésus existe le principe de la prise de parole, et le récit béni ou pas des conséquences.


  1. L'adhésion à la foi chrétienne suppose plus qu'il est dit une forme d'oblation par le témoignage qui dans les faits et pour Marie particulièrement procède du cœur et non d'un penchant pour l'orgueil.
  2. Ce naturel est déposé par les âmes retenues pour leurs fautes, et bien malheureusement la culture de la modestie fait peine à voir lors de la libération de tant de possibilités d'initiatives.
  3. Jésus est étouffé par ces manquements, et pour nous qui veillons et prions à cette fin d'endurer un véritable devenir spirituel par la Grâce, le condiment proposé se ressent comme d'une mauvaise télévision, dont on comprend le principe en étant bien obligé d'admettre en attendre le réalisme par Dieu présent parmi nous.
  4. Et c'est bien là que nos parcours divergent, l'Esprit de Dieu souffre d'être incarné par des êtres humains, tout comme le Sauveur, voir par le Sauveur lui-même discrètement, et non par des clowns.
  5. Le réalisme spirituel du monde numérique suppose d'être prédisposé à la Grâce tout comme dans un bon monastère, au sein duquel la première place doit revenir à Dieu présent parmi nous, et nous nous préparons à cela.




  [Very Important.]


      Paris, ce mercredi 30 juillet 2025, Bruno Cadou. 

Retraites, une mystification permanente.

  Les retraites, tout comme les prix, sont l'objet d'une diatribe sans fondement autre que le désir d'en découdre le principe.


  1. L'évocation des retraites se fait au détriment de la réalité, puisque chacun est à même d'entendre qu'une pyramide des âges au point ne résout jamais la question du financement objectif des retraites.  
  2. En second lieu, rappelons que l'immigration de masse, envisagée dès les années 90, avait comme but essentiel de fournir une main-d'œuvre à même de soulager ces craintes dantesques et démagogiques d'ores et déjà.
  3. Il est intéressant de constater que la pyramide proposée à l'analyse fait état d'une défaillance sur cette question de l'immigration, de toute évidence.
  4. Enfin, et tout comme pour l'endettement général de la France, il n'est jamais fait état de la Couronne, dont pourtant l'existence est purement et simplement démontrée a contrario.
  5. Une question demeure, celle de savoir ce que nous allons apprendre de la rébellion en cours très prochainement à ce train là.


  [Difficile pour la petite Lady d'en être dans ces conditions . . .]



  [La grande Lady.]



      Paris, ce mardi 29 juillet 2025, Bruno Cadou. 

«Ce que l'Esprit Saint dit à l'Église.»

  Depuis Jésus, nôtre Sauveur, nous savons que l'Esprit de Dieu nous enseignera toutes choses.


  1. La plénitude de la Révélation nous tient en haleine pour cette simple raison de sa nécessité, et à bon droit l'on a raison de prétendre que l'Amour de Dieu ne saurait mentir, donc...
  2. Dans nôtre oraison personnelle est apparu Srî Aurobindo dont l'inclinaison pour la Grâce relève d'une identité céleste et profondément avouable en Christ.
  3. Pourtant, rien ne remplace l'expérience personnelle de la Grâce, et donc encore plus la réalisation totale de l'union à Dieu, dont pour le principe nous attendons d'être définitivement et radicalement relevés du péché originel jusque dans les exactions corporelles.
  4. La simplicité acquise du langage commun, même si elle n'a pas rendu féconde communément nôtre attachement concrétisé au sacré de cette manière académique qui fait la grandeur de Sainte Thérèse d'Avila, élague d'une certaine manière le doute sur l'authenticité d'un discours ou d'une discussion.
  5. Et pour cette raison, ont souvent été décrits comme dignes de foi des alignements fondés sur la disgrâce de ne pouvoir en convenir.
  6. Pour l'heure, avec nos pauvres moyens, nous gardons de la foi cet augure rempli de sens par le refus de tout compromis avec la Grâce, et donc par le refus complet de toute activité pécheresse.
  7. C'est ainsi qu'ont toujours procédé les monarques dignes de ce titre, et avec eux l'Église dans sa plénitude relative mais progressive de consécration du monde, voir de l'univers tout entier, à la Grâce.
  8. Nous vivons de ces exploits tout comme de l'avènement récent et choquant à plus d'un titre du Führer Adolf Hitler, plus troublant que Napoléon Bonaparte, mais beaucoup moins discursif cependant, heureusement.
  9. La faim dans le monde a désormais une solution par le retentissant principe d'une adhésion imposée à la Rédemption, que seul le Christ peut mettre en œuvre.
  10. La question de savoir si monsieur Adolf Hitler est une incarnation du Christ est pour l'heure un schème simple dédié à la mémoire des nations, à l'intimité donc de la vie spirituelle, et pour cette raison les saintes de haute volée ont plaidé dans tous les sens retenant pour la santé spirituelle de tous la nécessité d'un accord fondé sur le résultat. 
  11. Il est évident que le déliement gordien impose d'entendre que ce que l'Esprit de Dieu dit à l'Église se tient de manière non voilée par la colère céleste du dirigeant du troisième Reich allemand.
  12. Car le déliement gordien rend plausible d'authentifier le message du fou de guerre céleste qu'est pour touts les soldats de la Terre la mémoire exaltée du compromis imposé de la vie sur terre par les pécheurs avides de sang humain particulièrement.
  13. La rédaction de «Mein Kampf» emporte des conséquences, et notamment celle-ci, ce respect du sacré pour pouvoir non seulement lire  l'ouvrage dans de bonnes conditions, mais également en décoder les signes. 
  14. La parade aux dégâts causés par les protocoles des sages de Sion, ou dit plus simplement par le péché originel, y est décrite par le menu, toutefois dans un langage militaire et politique.
  15. Ne pas comprendre l'augure du démiurge relève d'une abstinence conséquente pour cet effort excellent en littérature, inexpugnable uniquement dans le culte de l'arriération mentale.
  16. L'auteur s'exprime au sein d'une controverse, millénaire, contrairement aux apparences d'une colère rapportée à un opportunisme concédé également sans gravité apparente à Napoléon Bonaparte. 
  17. Dégager le Facom, rendre la prière aisée pour tous, n'est pas fatalement distinct de la colère de Dieu, même si pour nôtre compte nous avons préféré nous en passer comme nous rêvons toujours de de nous abstraire du principe de la guerre, ce qui n'est pas encore possible. 
  18. Jésus n'est pas homme de main pour être convaincu de mièvrerie, les sœurs lui en voudraient, elles qui comptaient sur Lui injustement et justement également pour ce principe d'ordre et de progression. 
  19. Nous sommes confrontés aimablement désormais à ce résultat d'une infortune cultivée, pour en revenir par la Grâce, et avec cette élégance que nous révèle en permanence le charme de la civilisation profondément germanique.
  20. La guerre chrétienne requiert cet élan de retour sur soi propice à un futur amélioré.
  21. Gageons de devenir meilleurs sur route, tous et toutes, en bicyclette par exemple en France.
  22. Pour que la France vive.







  [Lors du passage à l'acte . . . du déliement gordien. Sacré gars Michao. Duc de Bretagne.]


Stitch


      Paris, ce mardi 29 juillet 2025, Bruno Cadou. 

  Post scriptum, pourrions-nous dévoiler plus de respect pour les cyclistes féminins, en évitant de discriminer, de les piéger, par exemple en organisant des chutes.

                          Pour mémoire, Hitler
  1. ne pouvait pas ne pas faire la guerre.
  2. ne pouvait se satisfaire de conversations inutilement amenées.
  3. vivait de l'opprobre provoqué à l'égard du peuple allemand. 
  4. situait l'Histoire par une maîtrise avérée du Facom.
  5. tout comme Napoléon Bonaparte.

Le Tour de France.

  La motivation des coureurs rejoint celle des organisateurs.


  1. Le principe d'une course retient d'en rire, puisqu'il s'agit de perpétuer l'effort martial et désintéressé, la performance des corps, l'endurance de l'esprit.
  2. Pourtant, la redondance d'une contrariété fait son œuvre, on sollicite les coureurs pour qu'ils suivent des indications plus osmotiques que contractuelles, plutôt dérisoires que décisionnelles. 
  3. La chance de libérer les talents s'amenuit au profit d'une routine fasciste de l'espoir en un monde cloné pour durer.
  4. Les chroniqueurs s'approprient les mérites inatteignables des sportifs, revendiquant de la fougue qu'elle est à leur initiative, et saluant les performances uniquement si celles-ci leur conviennent, globalement. 
  5. Jésus est contraint de pédaler de la sorte, mais pas de s'imaginer qu'il puisse avoir une quelconque valeur sinon.
  6. On ne sait trop comment, les cyclistes vont de plus en plus vite, et ce malgré des équipements apparemment discutables.
  7. La discussion autour de l'attachement à la course nous révèle une vénalité d'affaires par des propos hors contexte en regard de la maturité atteinte par les spectateurs.
  8. Les érudits situent l'action dans un catalogue mémoriel dont l'attachement est sensé situer le pékin moyen hors du circuit. 
  9. Nous sommes spectateurs d'un cirque ambulant, dont la valeur résulte de cette expectative propre au sport de valoriser l'âme humaine par l'exaltation nécessaire des corps. 
  10. Les coureurs sont les gladiateurs de cet exploit bien pénible, même s'il est rémunéré, pour se confiner par des formes ubuesques dans un compromis entre leur propre entretien avec ce sport et la course telle qu'elle est promulguée officiellement.
  11. Jésus en est tout rassuré, car c'est finalement ce qu'il a toujours su faire.
  12. Le gâtisme est au rendez-vous, salué par l'induction d'une haine vénale pour l'effort pur et sans objet.
  13. Le pays est visité telle une prébende sacrée, et les efforts architecturaux du passé nous situent dans un contexte novateur qui n'a pas toujours été de le sorte.  
  14. Jésus le connait bien, ce pourquoi la tâche est périlleuse d'en dessiner le tourment avec des mots propices à la réussite du sacrement du frère.
  15. La jésuistique des chroniqueurs se résume à se passer du Christ pour revenir dans l'intention tout au moins aux possibilités offertes par les jeux du cirque de Rome.  
  16. Les coureurs sont déconsidérés tels des légionnaires de brigade mortifiés pour un meilleur résultat au combat, comme quoi la virilité est le résultat d'une suite de gaffes irrésistiblement ancrées dans le passé, même savoyard.
  17. Merckx sera-t-il dépassé par Pogacar, ou même l'aurait-il dépassé, est une question d'ordre vital pour l'intelligence du principe du Tour de France, dont nous comprenons toujours plus qu'il s'éloigne du simple propos d'arranger de nos vies l'article d'un bien-être non acquis.
  18. Rouler en bicyclette aujourd'hui est toujours plus une gageure servie à l'encan comme pour redoubler le compliment de ne pas être devenus les uns et les autres des gladiateurs d'un mauvais tour de force.  
  19. Apparemment, on nous veut du mal, et ce mal est défendu de manière anachronique.
  20. La magie des partenaires majeurs du Tour de France opère inlassablement, redorant le blason d'une épreuve à taille humaine.
  21. On oublie un peu trop simplement de célébrer la valeur des cœurs, au profit d'une extinction voulue de leurs mérites.
  22. Pour que la France vive.




      Paris, ce lundi 28 juillet 2025, Bruno Cadou. 

Lilo et Stitch

   Stitch est le compagnon idéal d'une jeune fille hawaïenne, et pour cette raison . . .


  Depuis que nous nous adonnons à la contemplation d'œuvres cinématographiques, celle-ci se présente comme par trop burlesque et imprévisible, et en même temps avec un romantisme adapté à l'organigramme d'une belle société.
  Pourtant, rien ne paraît prédisposer la jeune Lilo et Stitch à se rencontrer, ce qui advient durant le film est pure chimère si nous n'admettons pas cette part de rêve qui rend le monde possible.  
  Hawaï sert de contexte à cette théurgie précipitée, dont la réussite doit tout au talent conjugué des acteurs et de la réalisation.
  S'il est bien délicat de regarder cette œuvre magistralement réalisée sans césure, les spectateurs sont comblés par une fin magnifiquement tournée.
  Un film rude pour un duo hors normes. Un film d'un romantisme éprouvant mais réussi.



      Paris, ce dimanche 27 juillet 2025, Bruno Cadou.

«Arbeit macht frei.»

  Depuis Jésus nous avons compris que le travail rend libre.


  1. Le péché originel confine l'être humain dans un refus complet du travail, à ce point de non retour qu'il est devenu d'usage d'en apprécier la valeur en regard du crime parfait.
  2. La désuétude de nôtre vie d'État puise dans ce principe sa relativité créatrice d'espoir mais aussi d'un échec constant et retentissant.
  3. Puisqu'on le veuille ou non, le crime organisé n'est pas l'art et la manière d'ordonner nôtre vie nationale, les révolutionnaires ont bien compris du travail qu'il force le respect de la mesure de l'État, mais sans bien comprendre qu'ils en sont la cible.
  4. En d'autres termes, les argonautes du vécu politicien ont toujours à saisir que la conclusion de tous leurs débats ou monologues trahit leur engouement appauvri pour le travail, si tel est le cas.
  5. Et s'il est bien évident que nous nous devons à la Grâce pour travailler, cette apparence de niche fiscale les rend toujours plus indifférents au progrès pour cette raison. 
  6. Mais pour l'heure, la France est en danger, car elle héberge en son sein le plus possible d'individualités à même d'en apporter la preuve, il est possible de vivre sans travailler.
  7. Nos argonautes nous avaient prévenu, ces gens ont non seulement tout à nous apprendre, mais aussi ils témoignent selon eux d'une supériorité qui les hisse au-delà de tous propos séditieux à leur encontre.
  8. Comme quoi l'on peut bénéficier d'une «légitimité démocratique», et être un adepte du mal, de la délinquance.
  9. Jésus est tout autant engagé contre cette forme de «pauvreté» que nous-mêmes apprécions le bien-être d'une vie parfaitement civilisée.
  10. La déshérence occultée par ce manque d'à propos pour réguler nos difficultés financières et économiques trouve son point d'orgue par la notion de cul-de-basse-fosse confondue avec le baptême du sang pour le travail.  
  11. Et en ce sens, nôtre Führer, a donné libre accès à cette notion de Rédemption par le travail, en en suggérant l'apothéose lors de la terrible Shoah, qui rassure maladivement les musulmans, avec ce verdict de bonté, «Arbeit macht frei».
  12. Car par le péché originel, la travail est constitué par l'abandon de touts principes pour l'acquisition de richesses, elles mêmes constituées de ce qui apporte satisfaction de manière respectable ou pas.
  13. La délinquance y est respectée, tout autant que le farniente la suggère et même l'impose.
  14. Si nôtre Führer fait preuve d'une vitalité cérébrale à l'encan, et non sans manquer d'humour, bien évidemment, au préalable, c'est pour mieux préparer nos retrouvailles autour, non pas d'un feu de joie, mais d'un projet civilisateur conséquent, celui de Dieu chrétiennement. 
  15. Le péché originel insinue une peur de la mort, représentée par le travail honnête, tout autant que par la Shoah en définitive.
  16. Nos argonautes ne songeaient pas à moins pour instiller dans nôtre France, le virus stabilisé d'une adhésion humiliée toutefois au péché originel.
  17. Mais Dieu a bien démontré, comme lors de la déportation à Babylone, qu'il n'est pas limité par la mort, il en maîtrise le sujet aussi surement qu'il nous maintient en vie suavement.
  18. Les «juifs», pour lesquels la démesure en Amour du Très-Haut éloigne la notion de camp de vacances au profit de celle d'une usine à gaz par le travail honnêtement conquis, saisissent toujours mieux qu'ils sont compris comme tels, malgré tous les efforts accomplis pour en masquer la pathologie indicielle. 
  19. L'expérience de la Shoah libère la liberté de créer en ce domaine de l'entreprise par contrecoup, et donne aux retraités la possibilité de se renouveler, car la vie existe désormais après la mortification par le travail, de manière significative toujours mieux.
  20. Nos politiciens réalisent désormais lentement qu'ils se mentent à eux-mêmes, en ne comprenant pas de manière démonstrative, et le travail, et les retraites. 
  21. Comme quoi la France a de beaux jours devant elle.
  22. Pour que la France vive.






      Paris, ce dimanche 27 juillet 2025, Bruno Cadou. 

Le principe palestinien.

  Jamais on ne vit tant d'intérêt porté à une supercherie.


  1. Par maladresse nous dit-on, la Palestine revêt ce caractère d'urgence au motif irréparable d'un «vivre ensemble» inassumé et trahi par un manque de dignité statutaire d'une absence de collocation de la Terre d'Israël. 
  2. Nôtre Président, dont le charme n'éteint pas l'urgence mais va en la confirmant toujours mieux, a décidé d'éteindre ce feu par un incendie ravageur, celui-là même qui en interdit une primauté autre, celle, semble-t-il, des protocoles des sages de Sion.
  3. Il n'en est pas à ses débuts, ce monsieur imbu de nous plaire, et sa dignité, son courage, s'allient grandement par ce stratagème de déplaire en exaltant le Droit pour un maléfice encore plus grand.
  4. Les insoumis en France se font une joie d'en comprendre l'intérêt, couardise et médisance, enfantillages et repentance, feront le dîner pur d'une honnêteté joviale, car il n'est de plus grand principe que d'étendre le non-droit par nécessité régalienne.
  5. Nôtre Président se fait ainsi fort d'éclairer les nations en présentant cette région du monde comme un État dans l'État hébreux, lui-même résident par nature en attendant mieux, selon Dieu.
  6. Il est intelligent et subtil, démagogue à l'encan si nous n'y trouvons rien à dire.
  7. La jésuistique employée est claire, il n'est en cabinet de subterfuge plus profond que l'abstinence de tous principes causale pour en définir l'usage. 
  8. En d'autre termes, Dieu seul suffit, et c'est bien connu, l'urgence fait loi.
  9. Comme quoi l'inconséquence d'État comme toutes supercheries doit beaucoup aux trahisons qui l'ont précédée et à l'oubli des formes du passé.
  10. Jésus n'est pas dépassé, Lui qui aime démesurément la Paix et la Charité.
  11. Pour nous qui aimons prier et entendre ce que «l'Esprit dit à l'Église», la prévenance à l'égard de la transcendance est de première nécessité.
  12. Ce pourquoi nous prions n'est pas inconnu de nous tous, tant en Europe qu'au Japon, pour l'exemple, et la cause palestinienne relève bien d'un effort de coalition à l'encontre de la volonté divine, et ce combien même il y aurait des victimes. 
  13. Les juifs de Terre Sainte ont montré qu'ils ne sont pas tous les jours des saints, mais très clairement, leur imposer une situation conflictuelle permanente suscitée par un rêve punique de jalousie est une absurdité en cours.
  14. La défiance est un élément de culture musulmane et arabe, le problème est bien là, et il n'y en a pas d'autre.
  15. Toutefois répondre à la défiance par la défiance est une horreur, que seule la guerre prédispose au contact par la volonté divine uniquement toutefois.
  16. La recherche d'une paix durable passe par un réalisme significatif et non par une embolie critique de surranité diabolique.     
  17. Les nations arabes alentour ont beaucoup d'espace pour accueillir ces migrants «palestiniens» avides de bien-être.
  18. Il nous semble donc importer de nous en remettre à Dieu par la foi et la prière, et non par le renoncement à la raison et à l'équité en mouvement.
  19. Nous vivons les conséquences d'un trouble entretenu, au motif d'apprécier par trop le péché originel et ses conséquences, manifestement.
  20. La France politicienne est aisément déplacée à l'heure actuelle, puisqu'elle pratique à l'encan la déraison et l'irresponsabilité de routine qui l'accompagne.
  21. Elle a 'ailleurs beaucoup de mal à trouver sa voie dans l'immédiat pour en avoir fait son potage quotidien. 
  22. Pour que la France vive.




      Paris, ce samedi 26 juillet 2025, Bruno Cadou.
   

La stature imposée de la dignité.

  La France est un pays pour lequel Jésus a beaucoup développé son propos.


  1. La jésuistique soutenue pour paraître en lieu et place d'être, retient du prochain qu'il peut être lointain, très paradoxalement.
  2. L'attente de la possibilité d'une heureuse union maritale en France est considérée comme loyalement comprise par les lointains prochains. 
  3. La dramaturgie sexuelle et abstinente de tout romantisme appelée fornication d'usage, y permet les véritables rencontres, celles qui vont durer par le mariage, à la fois codées, fléchées, disruptives et contraignant à la succion du jonc par avantage. 
  4. Le chapelet des craintes en regard des dispositions peu avouables de l'étranger, aussitôt nommé, «Onnepeutpaslejuger», sont également qualifiées d'antagonistes à la démarche à suivre du respect du traitement des déchets.
  5. En d'autres mots c'est bien l'écologie de la planète qui éveille le soupçon d'une nécessaire prodigalité, et soigne les rencontres les plus intimes.
  6. En France, on tente de vivre pour mourir, mais par nécessité.
  7. Les lois de l'ordre public éloignant toutes possibilités de discordes font abstraction complète de toutes discriminations, ainsi ne dit-on pas, un homme de profil arabe a volé une bicyclette après l'avoir loué pour peu, mais, il nous faut étendre une police d'assurance en augmentant les tarifs pour tous les usagers. 
  8. On ne revient pas sur l'origine d'un scandale quand il concerne un étranger, mais bien sur l'affliction par lui causée en sa souffrance endurée.
  9. Le scandale ne procède jamais de l'étranger, mais de l'ignorance qui entoure sa compréhension du monde, car la sagesse de l'étranger éloigne tout trouble de l'ordre public par ce savant mélange d'ignorance et de connaissance par lui induit.
  10. L'étranger est bon, parce que nous ne le sommes jamais.
  11. Aussi la France est déclarée en avance sur son temps par cette vocation au «vivre ensemble» établie comme une prolongation des droits de l'homme et qui permet à l'homme de prendre femme, quelqu'elle soit, et quand l'envie lui passe par la tête, ce que l'étranger aime beaucoup.
  12. Car si le ressortissant de France veut agir ainsi, tout comme pour acquérir une compétence professionnelle, il devra sucer le jonc, en endurer les conséquences foireuses à géométries variables qui accompagnent cette gageure,  pour compléter son affirmation.
  13. L'étrange lui, peut bien plus qu'il est dit s'abstraire de ces fantaisies en considérant qu'il a réussi.
  14. L'implication de l'étranger dans nos rangs révèle la pratique du péché, dont les fibres politiciennes garantissent le pouvoir autant que l'irresponsabilité qui l'authentifie.
  15. Nous perdons en fluidité monétaire et réussite économique ce que nous gagnons en «représailles», car pour le pouvoir en place, le pouvoir de Dieu menait par trop au travail honnête. 
  16. Jésus n'est pas rassuré, il ne l'est jamais par le péché.
  17. Qu'il y ait des différences importe pour les oublier, comme quoi l'inconséquence de l'absence de préjugés peut conduire à un puritanisme crétin de principe.
  18. Nous vivons toujours plus modestement financièrement, par ce tabou énoncé d'une perfection à vivre, sans Amour, mais par le vice. 
  19. Même les étrangers, tout de même concernés, commencent à trouver la pilule moins profitable qu'énoncée en premier lieu, pour envisager de retourner dans leur pays d'origine, où leur options dignes ou pécheresses sont passées au crible du jugement dernier constamment. 
  20. Car ici on oublie de le dire, plus personne n'a de réelle difficulté sinon celle de se suicider.
  21. La criminalité vécue est entendue comme cultivée telle la démonstration de la valeur réelle d'une personne.
  22. Pour que la France vive.






      Paris, ce vendredi 25 juillet 2025, Bruno Cadou. 

Affaire Epstein.

  Depuis Jésus, nous comprenons de la vie romantique qu'elle requiert des compromis pour exister...


  1. Mais ces compromis peuvent entacher le karma visible, pour cette raison bien connue établissant de la ville de Rome qu'elle ne s'est pas faite sans décisions célestes.
  2. Monsieur Trump, l'actuel Président des États-Unis ne s'est pas autrement compromis dans un parcours teint de nécessités mensongères propices au pire comme au meilleur.
  3. La notion de parjure ne convient pas puisque de toutes les manières cette démonstration de force s'impose, tout comme l'irrespect de la pudeur des artistes fait la toile accessible à tous, témoignant de la difficulté d'établir par le Droit la romance des nations civilisées.
  4. Monsieur Epstein est un personnage d'envergure dont la démesure est connue du Christ, tout comme son secret d'en découdre toujours mieux.
  5. Il n'est pas selon nous homme à se suicider, ou alors en craignant le pire.
  6. Connaître du monde, c'est aussi connaître tout le monde.
  7. Avoir des relations, c'est aussi s'en accommoder par expérience, et également sans vice.
  8. La pérennité du vice menace la France d'ores et déjà de la même façon.
  9. Jésus ne vit pas du renoncement au péché sans connaître par trop les pécheurs.
  10. Le statut d'un homme d'État ne peut malheureusement pas encore aisément être libéré de tous compromis visibles.
  11. La faillite de monsieur Epstein est le revers de cette monnaie d'échanges, et bien évidemment, il n'est recommandé à personne d'en tenter l'expérience, pour le danger simple que cela représente.
  12. La tentation du vice dans ce registre est trop aisément un compromis imposé historiquement aux femmes, rendant trop facilement nécessaire leurs parjures, même s'il est outrancier, voir pathologique.
  13. La notion de mondanité pour se libérer de telles peccadilles, requiert d'en découdre désormais que sont ouvertes les vannes du péché originel par l'abstraction du réel, et la monté en puissance des possibilités de démonstrations judiciaires.
  14. Mais encore convient-il de ne pas se tromper de sujet, les mœurs et leurs tabous requièrent une indulgence qui ne soit pas paranoïde ou libertaire, mais divinement établie.
  15. Dieu présent parmi nous redevient nécessaire pour non seulement imposer le Droit, sa progression, et celle de l'ordre public.
  16. Les jours viennent rendant compte d'une nécessité, celle de pourvoir à la preuve d'un emploi du temps sans faille.
  17. La justification du mérite s'établit également par le refus de tout compromis avec la vie nationale. 
  18. Mais le doute alimentant le doute, il est bientôt d'usage d'avoir à comprendre le contraire également.
  19. C'est bien ce que nous comprenons, monsieur Trump nous paraît hors de tous soupçons. 
  20. Bien évidemment, nous convenons de progresser dans cette matière de la criminalité cachée des mœurs d'État.
  21. Celles-ci représentent un fléau admis bien trop simplement sans états d'âme en France, pays dans lequel de simples déclarations libèrent toujours trop simplement de toutes prémonitions.
  22. Pour que la France vive.









      Paris, ce jeudi 24 juillet 2025, Bruno Cadou. 

Qu'est-ce que tu bouges bien!

  La maturité impose de confondre du rêve sa vénalité, et pour cela, il importe de bien «bouger».


  1. Depuis Jésus, nous avons appris à comprendre l'usage que font des femmes limpides les garnements de la désinvolture, et pour cette raison, il a toujours importé de pouvoir s'en démarquer chrétiennement.
  2. La maladie est d'usage en vieillissant, rémunérant le Facom des sourds et des malentendants pour ce prix à payer d'une malversation en cours d'une aliénation de la condition féminine. 
  3. Puisqu'en effet, le simple parjure existe en toute bonne foi pour s'être intéressé de près ou de loin à ces personnages éhontés, qui vont confondant de la lumière du jour qu'elle puisse exister, il importait à nôtre Seigneur Jésus, de remettre les compteurs à zéro, à cette fin de traduire par l'annihilation, toute complaisance d'esprit et de soutien à cette cause de perdition, et en ce sens beaucoup d'érudits se sont complus, à traduire en vers avec ou sans hypocrisie cette componction nécessaire à la parution d'un verdict de clémence du Tout Puissant en attendant la Rédemption.
  4. Le pourquoi d'une telle missive est donc clairement mis en lumière, avec cette finalité d'ajouter cette pierre à l'édifice qui manquerait sinon, d'un refus complet de toute compromission à l'acharnement par le vice du Facom des éperdus de perdition.
  5. L'attachement à l'aliénation des «garçons» est également en cause, puisque de toute évidence la torréfaction du vice en suppose l'évidence tout comme l'attachement des formateurs en soins infirmiers à ces valeurs de domination en démontre l'attraction. 
  6. Dominer les femmes suppose d'en dominer les moitiés, et les cœurs purs s'ils existent devront prier encore longtemps pour vivre sans déchanter quelqu'expérience érotique sans vénalité.
  7. L'adjonction de l'homosexualité ne change rien à l'affaire puisque par essence, sans légitimité amoureuse, sa fonction tient de créer du lien de façon paranoïde.
  8. De toute évidence nous essuyons éternellement les plinthes de ce reniement complet de tout amalgame entre authenticité des mœurs amoureuses et acharnement dans le but de corrompre les formes mêmes du pouvoir et des ses conséquences.  
  9. Les chroniqueurs sportifs du tour de France semblent d'ailleurs s'être appropriés cette manière vindicative de s'ordonner professionnellement, en se libérant entièrement de tout scrupules autant que faire se peut, et en toisant à l'encan les cyclistes que cela soit bon ou pas.
  10. Le sentiment de réussite sur ces questions procède comme pour l'acquisition de la richesse du sentiment inexact d'être bien nés puisqu'à tout jamais, jamais contredits.
  11. D'un point de vue strictement militaire, la Légion Étrangère semble s'être adaptée au besoin vénal de primogéniture en incorporant cette allant triomphal, qui d'un manque total de crédibilité rendrait plausible l'attachement et le respect infiniment.  
  12. Car le vice paraît d'une nécessité, non pas de complaire au réel, mais d'en modifier le contexte charpenté par l'opiniâtreté exagérée, tout comme en politique depuis la révolution française, véritable source selon nous du genre vénal infirmier.
  13. La médecins s'accorde toujours plus à ces fantaisies barbares, tout comme les corps de métiers divergents à l'encan.
  14. Le résultat d'une mise en danger permanente des gars et des filles du pays devient une constante occultée par une admission «juive» de supranationalité du vice par nécessité objective pour être et paraître. 
  15. Nous sommes confondus d'indignation au risque de devenir malades pour de bon en regard de ce schème ravageur et confondu avec une véritable performance de groupe. 
  16. Nos vies sont entachées par ce vice de forme qui tient de se murer dans le silence pour durer en attendant l'heure de Dieu.
  17. Nous soignons nos blessures en admettant sans cesse de comprendre des apparences qu'elles ne sont que des apparences trompeuses, en attendant mieux.
  18. Le cyclisme cache un vice connu, celui de l'accès vénal ou pas aux médicaments de l'outrage.
  19. Car comme toujours en pareil cas le psychisme dévoyé y trouve un compte rond pour son plaidoyer.
  20. Toutefois Dieu soutient toujours moins cette éternelle rodomontade d'employés du vice, altérant tout sur son passage, de l'Amour au sport, en passant par nos résultat économiques, et nôtre vécu spirituel commun, etc...
  21. L'idée d'une satisfaction possible de la vie de l'État par une interprétation falsifiée de la déisis fait l'objet d'un anéantissement constant du point de vue du Facom par la Rédemption en cours, avis. 
  22. Pour que la France vive.


  [Cette Lady n'est pas Joséphine, manifestement, non? Ah bon?]

  [Premiers pas dans la déroute.]


  [C.Q.F.D.]

  

      Paris, ce mercredi 23 juillet 2025, Bruno Cadou. 

La traduction de l'impôt.

   Compter l'argent est une affaire mystique de garde.


  1. L'impôt semble avoir été créé pour correspondre avec des mécréants pour lesquels tout s'achète et tout se vend, même le simple principe du déplacement.
  2. Dans l'estime de soi des gouvernants, l'impôts revêt pour cette raison une importance fabuleuse, puisqu'il signale par la forme l'importance qui leur est redevable par leur propre aloi.
  3. Ainsi déclarer la pauvreté d'une nation requiert cette élan de fierté établissant par l'orgueil le menu d'une supériorité vécue dans un monde construit, celui de la paranoïa.
  4. La réalité édulcore la crédibilité de ces mêmes gouvernants, puisque dans un monde tenu par Dieu, la régularité des comptes et leur sincérité deviennent le résultat d'un ordre spirituel écartant la délinquance.  
  5. Dans le fond, atteindre la compréhension des comptes leur est devenu hors d'atteinte, au même titre que leur impuissance à fournir un travail conséquent objectivable.
  6. La réalité des finances publiques relève d'un accord de principe inexistant pour l'heure avec la Couronne, avec Dieu présent parmi nous.
  7. Car Dieu assure la comptabilité de la nation au même titre qu'il la protège le plus possible des conséquences désastreuses, financièrement également, de l'ultraviolence en cours.
  8. La question politique majeure relève de bien comprendre de n'avoir pas confondu le jour et la nuit à ce titre.
  9. Car s'il est admis d'imposer des mesures incompatible avec nos lois, le théurgie supposée ne peut devenir effective, un peu comme désormais monsieur Poutine ne peut demander tout et n'importe quoi à son pays au prétexte de le défendre du national socialisme allemand. 
  10. De même en France, à tout réguler à l'encontre supposée de l'éminence du Führer, il a été imposé à la France d'envisager une résilience de ses propres fondements, un peu comme si le naturel des «juifs» peut en faire abstraction, malgré la Shoah qui établit par le menu de l'ultraviolence une altération profonde d'une prétendue supériorité par le Facom, sur les finances injustement tout particulièrement. 
  11. Nous vivons une période rédhibitoire à l'encan pour surseoir financièrement au motif d'un plaidoyer d'usage scabreux sur l'intérêt de la vitalité de la France.
  12. Le respect de l'étranger en particulier, passant avant toutes autres considérations, bien au-dessus des intérêts majeurs du pays, constitue une menace sur nos finances et nôtre économie, élevée au rang de tabou.
  13. Les droits de l'homme augurent d'une résilience crasse incompatible avec une réelle dynamique d'un pouvoir fort et conséquent.
  14. Enfin l'adhésion à l'Europe, signale une confusion historique entre comptes publics et comptes de la nation.
  15. N'importe qui, qu'il soit capable ou pas, commente les finances de l'État français depuis l'étranger, et chacun comprend des directives européennes quelqu'elles soient leur aspect foireux de même.
  16. L'adhésion à une Europe sans Dieu, par un attachement immodéré à une laïcité de standing douteux, impose un chaos systémique ravageur propice à l'académisme du pire, au terrorisme des songes macabres d'un monde, celui de l'oligarchie politicienne, plus enclin à la barbarie masquée toujours plus de l'islam ou d'autres mises en forme du péché originel.  
  17. Nôtre déclin constant depuis plusieurs décennies est le résultat d'un attentisme volontaire, mais aussi par simple stratégie, humiliant pour ces mêmes politiciens.
  18. On jalouse collectivement, manifestement en France l'appropriation bizarre du pouvoir par Vladimir, pour rendre plus performante la décadence en cours.
  19. Nôtre situation financière, telle qu'elle est rendue publique, ne rend pas compte d'un excellent état mental de nos dirigeants. 
  20. L'absence de la foi chrétienne en Dieu présent parmi nous se fait sentir, tout comme l'actuel roi d'Angleterre s'est trompé de siècle.
  21. Nous devisons pour aboutir en comprenant toujours mieux de Dieu présent parmi, nous qu'il a toujours plus de pouvoir désormais pour ne pas satisfaire un compromis qui ne lui convient pas.
  22. Pour que la France vive.





      Paris, ce mardi 22 juillet 2025, Bruno Cadou.

A country boy can survive.

  Dans l'anthologie précitée des «Hillbillies», l'identité réelle requiert le pouvoir pour s'exprimer. 


  1. Depuis Jésus, nous comprenons de la véritable pauvreté qu'elle nuit à l'entendement de la vérité
  2. Mais la notion de richesse est pourvue bizarrement par le respect cultivé du péché originel, et pour cette raison le statut de la pauvreté matérielle est confondu par ceux qui en sont les garants avec le syndrome de la réussite.
  3. La foi musulmane s'en fait un écho probant, destituant l'authenticité de toutes démarches spirituelles par le ragot élevé au rang de sermon. 
  4. La tradition du respect du Christ est ainsi galvaudée en attendant du déliement gordien sa complète fortune par une association cultivée entre perversion et réalité.
  5. Si tout ceci n'est pas très nouveau, les conséquences du pouvoir grandissant de Dieu suite à la seconde guerre mondiale et au déliement gordien qui l'a suivi, telle l'élaboration d'une arme miracle, sont elle imprévues par la conscience communément admise de la réalité à vivre.
  6. Pour Jésus, invariablement le décours de l'Histoire sera rédigé par des oracles toujours plus probants, toujours moins contrariés.
  7. L'instance que nous vivons, d'une attente ressentie parce que provoquée d'un retournement de situation falsifié, en accord avec l'islam entre autres, se présente désormais, et comme cela a toujours été le cas, comme un anachronisme, comparable à celui des cathares en leur temps.
  8. Jésus demeure la Maître de la maison, et personne d'autre ne peut prétendre en assurer le court, moyen et long terme.
  9. La différence toujours plus perceptible relève de l'objectivation qui peut être faite, du culte de la mort, du péché originel exact tel qu'il est considéré par ses prosélytes.
  10. L'adhésion à la foi chrétienne de manière musclée relève d'une compréhension adulte de la foi commune vécue, pour certifier Dieu et uniquement Dieu.
  11. La trahison des idéaux les plus élevés a toujours été une préoccupation française, et le respect imposé de l'islam ne change rien à l'affaire, sinon en l'empirant.
  12. Mais Dieu agit, discréditant l'infamie, où qu'elle se trouve.
  13. La loi occulte de nôtre civilisation délibérément chrétienne dure en en se durcissant à l'infini.
  14. L'ordre public assuré avec exactitude est la clef du parfait changement.
  15. Nous vivons un cul de sac des ténèbres engouleviennes pour avoir à endurer le dernier assaut des possibilités de tromper le monde.
  16. Le mélange des genres, la destruction du passé qui s'y attache, nuisent au simple résultat d'une raison commune ordonnée. 
  17. Le décalage entre ce qui nous est imposé et le simple bon sens réduisent la notoriété du politique à devenir exsangue par ce manque évident et lugubre de sérieux. 
  18. Les imams desservent la foi chrétienne en l'assurant toujours plus, tout comme en politique il a été admis de tout corrompre pour réussir.
  19. Ces choses ne sont pas nouvelles, mais appartiennent désormais toujours plus au passé.
  20. Mais tout de même, installée en France comme la télévision, la conviction de pouvoir créer un malheur commun au bénéfice du doute, de la trahison, du culte du péché originel, perdure comme une démarche rampante avec une guerre de retard.
  21. L'islam y a trouvé sa niche fiscale, et avec lui bien des adeptes du mal.
  22. Pour que la France vive.



      Paris, ce lundi 21 juillet 2025, Bruno Cadou.

La fabrique de la réalité.

  Le Tour de France vu par des chroniqueurs, ce n'est pas de la rigolade.


  Chouchou, que tout le monde connait, ne s'est pas montré à la hauteur hier entre Pau et Bagnères-de-Luchon, puisqu'il à laissé filé, alors que ça montait, un coureur vers la victoire, qui lui en a bien profité. Ce sport requiert un professionnalisme authentifié comme dans nôtre Légion Étrangère par le sacrifice, et l'évitement de toutes pleurnicheries. Moi-même par exemple, je les ai trouvés un peu mou aux alentours de Lourdes. Ce n'est pas parce que l'on a trois milles kilomètres dans les jambes qu'il ne faut pas s'arrêter pour prier, surtout que cela ne monte pas encore, parce que si ça montait c'est différent, il y a un dénivelé qui force le respect tacite de Nôtre Dame des coureurs.




      Paris, ce dimanche 20 juillet 2025, Bruno Cadou.

  Post Scriptum, vas-y Chouchou, montre leur!
   

La Fabrique du mensonge.

  Ce projet cinéphilique établit une propagande très clairement à l'avantage du Führer.


  Il est désormais admis que la transcription des actifs cinématographiques propres à falsifier la réalité de la vie du Führer germanique constituent un argumentaire de première valeur, tant la difficulté est grande de promouvoir la vérité.    
  Cependant, et nous pesons nos mots, l'apport conséquent de ce très bon film réside dans l'intérêt porté par nôtre Führer à l'exception que constitue alors monsieur Goebbels, dont la personnalité orgiaque révèle sa justification par un fascisme inaltérablement conduit en tout premier lieu par Adolf Hitler.
  L'atrocité de la Shoah y figure comme une démonstration à l'encan de la pénibilité d'une vie associée à l'orgie multiséculaire liée au culte du péché originel, et le maintien idéologique du troisième Reich a conforté son propos par l'emploi requis d'une compétence hors du commun sur ce point précis, en la personne de monsieur Goebbels.
  Nous avons été surpris d'avoir été requis pour visionner un tel spectacle, remarquablement bien réalisé, le naturel du Führer ou des hauts dignitaires du régime nazi y sont particulièrement convaincants.
  Un film par lequel nous observons que nôtre Führer emploie une partie de son temps à «sauver» l'épouse de son ministre de la propagande. Un film qui rend compte de la pénibilité d'écrire l'Histoire avec des engoulevents.






      Paris, ce vendredi 18 juillet 2025, Bruno Cadou.

La personnalisation du pouvoir.

  Depuis Jésus, nous comprenons du pouvoir qu'il est une attraction «ludique».


  1. L'avènement d'un Chef de l'État est confondu pour le principe avec la naissance d'un sauveur, puisque l'État se doit de corroborer une progression attendue et inévitable du degré de plénitude chrétienne vécue. 
  2. Et en ce sens, chacun a pu remarquer l'abus qui est fait de cette école du bonheur, au motif d'un pragmatisme prétendument de fortune.
  3. Le fait est que l'a priori négatif concernant la volonté divine efface par trop le potentiel effectif  de la Providence, puisque par une accumulation de faits, chacun sait cela, l'on prodigue une distance cuisante entre les projets et leur réalisation. 
  4. L'aboutissement d'une telle conjecture est tel qu'il est devenu narcissique de ne pas en tenir un compte d'usage au motif de surseoir par les élections à la possibilité de faire de même.
  5. Nôtre politique du pire en est un brillant exemple, nous châtions nôtre belle maturité pour nous accorder avec la barbarie, elle aussi de principe, de la phallocratie des songes engouleviens, pour établir par le menu des nécessités d'estoc qui ne conviennent qu'à la routine de l'usurpation, et donc à cette forme de délinquance amenée par la médiocrité supposée.
  6. Nous prenons acte de nôtre devoir de patriote de surseoir également à cette problématique sulfureuse mais d'État, pour convenir par le bon sens de possibilités de décisions qui ne sont pas abstraites ou indélicates, mais raisonnées et par trop radicales simplement.  
  7. Dieu est juge que nous serions d'accord avec Lui s'il lui prenait l'envie de diriger nôtre nation de même. 
  8. C'est ce que nous pensons, pour en apprendre sans cesse la contrainte, celle de déplaire aux fâcheux, par trop attachés à la religion du pire établi par les songes précités et maudits. 
  9. Nous baignons abstraitement dans un sang concrètement en cause, en puisant dans nos ressources cognitives et priantes pour en abstraire le vide et l'incongruité.
  10. La légitimité du pouvoir suppose d'en établir le charme configuré par le salut chrétien du monde, et non pas un esclandre permanent, une volonté de combattre avec droiture à l'encontre du Droit au prétexte d'une allégorie douteuse du bien, teintée par trop d'une démagogie de concert et d'abrogation du progrès spirituel, commun et individuel.
  11. Nos nations sont le résultat de nos efforts mais aussi de nos possibilités, de nos errances comme de nos culpabilités, quand celles-ci existent bien évidemment.
  12. La personnalisation du pouvoir soutient comme acquise la notoriété du conflit contre Dieu, tout en définissant le contraire au besoin.
  13. L'hypocrisie y est la monnaie d'échanges oligarchiques dont la teneur épouse tous les contours des risques de conflits majeurs ou pas à venir. 
  14. Nous sévissons grandement subjectivement pour nous garder autant que faire se peut de touts préjudices en énumérant les possibilités d'attachement à nôtre progression. 
  15. Cette dernière est sans arrêt remise en cause pour préserver par cette distance prise avec les possibilités courtoises de salut chrétien commun la concurrence admise pour définir du pouvoir qu'il n'appartient plus au Christ si possible.
  16. La virilité est mise à mal de manière exemplaire par la soutenance d'une déontologie militaire foireuse, entièrement arquée sur le culte phallique de l'exploit du commandement, justifié ou pas, ce qui revient au même dans ce cas.
  17. Jésus est comparé à une mauviette, tenu à l'écart de toutes compétences pour cette raison.
  18. La personnalisation du pouvoir revêt ce critère d'une abstraction de l'aisance de vivre et d'exister pour le commun, puisque par le Christ nous vivrions pour échouer.
  19. Le cynisme épouse en regard des possibilités existantes les contours de l'arbitraire, que toutes les oppositions politiciennes jalousent avec respect.
  20. Le chef de l'État est un Quasimodo photogénique dont l'intérêt pour le pays repose sur la conscience de vivre et de durer au-dessus de la norme humaine en cours.
  21. Sa prétention au service de l'État est le résultat de son aura protectrice par le rudiment de la succion du jonc et de ses conséquences, qui peuvent, nous l'avons compris ensemble, forcer sa destitution, avec un cynisme mortel, et un respect conforme au vécu intrinsèque de nôtre République.
  22. Pour que la France vive.









      Paris, ce vendredi 18 juillet 2025, Bruno Cadou. 

L'origine de l'État.

   Depuis Jésus, on sait que l'État n'est pas propice au pire.


  1. L'aperçu de l'origine de nos institutions, de l'État, peut nous laisser pantois ou dans l'admiration.
  2. Toutefois il est écrit qu'au long de siècles depuis Jésus-Christ nous procédons par bonds vers une perfection jamais atteinte certes, mais toujours plus présente dans tous les esprits.
  3. En nous libérant de la couronne monarchique, nous avons délaissé Dieu et ses prérogatives, au motif bien amené mais sans clairvoyance d'une surranité de bazar.
  5. Nous attendrissons un électorat toujours plus distant pour nous satisfaire grandement par le nombre et le détournement possible des émollients d'État.
  6. Nous justifions d'une précarité exacerbée le principe d'une dette corrigeant par la pauvreté de tous, le pouvoir de quelques uns.
  7. Nous ajoutons sans vergogne de la peine à la peine au profit d'une volonté de changement, relent passéiste d'une dignité d'État à conquérir, tandis que nous poursuivons d'en être indignes.
  8. Nous satisfaisons aux critères en cours d'une dangerosité de voyage propice au pires prévisions tout comme aux sarcasmes d'indignation.
  9. Nous veillons à un anonymat de fortune, dont on se sait gré au mépris des innocents.
  10. La chose est acquise, nous pratiquons le mal sévèrement, en prétendant à la science, par des discours de sauvegarde que même les manants désormais décodent aisément malgré nous.
  11. Nous chérissons de la France son statut d'imperfection, en scrutant les augures de prochaines élections, car la chose est acquise, elles profiteront à toute l'équipe, cela va sans dire.
  12. Depuis Jésus, jamais on avait poursuivi l'argent avec autant de discrédit, autant d'atermoiements inutiles, puisque les comptes probants sont considéré comme inutiles et bon pour les instruits. 
  13. L'accès au décompte des dépenses d'État relève du flou électoral, et la bonne foi peut même se permettre d'établir comme inutile d'en saisir la véritable réalité.
  14. Car l'annonce est ainsi faite, nous avons voulu de la pauvreté pour en sertir les fondements de nôtre société, tout comme monsieur Obama a déclaré d'un pays riche qu'il est pauvre dans les faits.
  15. Ce que nous recueillons relève d'un sommeil conduit, d'un refus de Dieu, et qui plus est d'une usurpation de fait. 
  16. Nous comblons enfin nos lacunes en minorant d'être éconduit par discrédit, au motif de surseoir à cette dynastie de cancres écervelés 
  17. Nous allons droit dans le mur de lamentations à venir.
  18. Le besoin se fait toujours plus sentir d'un renouvellement du personnel politicien, et ce d'autant plus qu'il est devenu plausible infiniment toujours plus d'y parvenir. 
  19. L'État en son fondement repose sur la perception nette et tranchée d'une transcendance vivante.
  20. Le principe même de ne point en convenir mène au chaos définitivement.
  21. La compréhension de la banque c'est aussi cela, percevoir derrière les apparences, par une discrétion nécessaire d'apparat, le pouvoir des chiffres, et celui également nécessaire d'effacer les dettes inatteignables. 
  22. Pour que la France vive.



      Paris, ce jeudi 17 juillet 2025, Bruno Cadou.