L'adversité commande.

   Depuis Jésus, nôtre Sauveur, nous savourons d'être sauvés. . .


  1. L'adjudication du réel est sans doute mise à rude épreuve comme jamais, mais ce qui nous rapproche les uns des autres se tient dans son affaiblissement.
  2. Car contrairement à ce qui nous est proposé d'entendre et d'admirer, nous ne sommes pas comblés par elle, mais bien détournés de nos propres destinées, et de la puissance raisonnablement attractive de la Grâce qui ne l'accompagne pas.
  3. Ce pourquoi nous défendons un pouvoir juste est bien là, chrétiennement tenu, par un pouvoir immense, bien plus sûr que les promesses de destruction massives engagées par dessus nos têtes.
  4. S'il  nous incombe dans ces lignes d'en établir la disgrâce, il n'en demeure pas moins exaltant d'avoir à entendre combien les puissances célestes s'engagent en décrivant l'avenir, toujours plus radieux.
  5. Le soin que nous prenons de nos corps est de première importance, et il est toujours inhumain d'avoir à entendre combien le manque de respect et d'assiduité qui y conduit revêt le chant pur d'une dépravation inconsidérée décrite à tort même par l'Église comme statutaire du bien.
  6. Nous ne sommes pas faits pour consommer nos excréments, directement ou pas, nous ne sommes pas faits pour entretenir une disgrâce liée au temps sans nous appliquer avec et sans ingénuité.
  7. La condition physique de nos corps peut rendre aisée la vie de prière, nous intime le respect pour le travail par voie de conséquence, en le rendant plausible avec engouement.
  8. Enfin l'exaltation tant décriée de nos corps, peut en toute innocence nous révéler aptes à procéder également par le progrès, la science et le contact avec la Grâce.
  9. Dieu nous veut épanouis sans mélo, rompus au détriment procédant du péché originel à nôtre mesure pour en réduire à néant avec Lui son réalisme prétendument incontournable.
  10. Pour autant les difficultés demeurent, et avec elles particulièrement le culte de la mort qui lui procède clairement, non pas d'une recherche éthique et savoureuse de la relation érotique universelle, mais bien de celui du cul-de-basse-fosse encore trop tabou pour l'heure en France (...).
  11. Jésus, dont l'esthétisme confine au respect loyal de Maitre Bruce Lee, aimerait préférentiellement un accomplissement ordonné de cette nature, plutôt qu'une recherche patente de la disgrâce des nations.
  12. L'adversité constante à laquelle nous sommes confrontés, qui va réduisant nôtre appétence pour le politique comme pour l'État à néant, nous confine dans ce devoir de réserve statutaire d'un monde, celui de la France, dans l'attente épurée de l'initiative céleste.
  13. La crédibilité de nôtre propos va grandissant.
  14. Le résultat en est cette latence toujours plus statutaire du vide générée par une oligarchie politico-médiatique rivée sur l'au-delà avec une répulsion certaine pour la vie voulue par le Christ.
  15. Nous sommes visibles, ridicules même, toujours plus.
  16. Nôtre faillite financière en fait foi, le pouvoir est corrompu. 
  17. Bien évidemment, nous songeons au réalisme de nos engagements mentaux et dialectiques.
  18. Le pouvoir a cette dimension immense d'appartenir à Dieu, et ce malgré les apparences.
  19. Il est donc désormais toujours plus clair que le déchiffrement de nôtre ambigüité commune se tient élégamment dans cette description d'un parachèvement enfin plausible d'une victoire chrétienne à venir. 
  20. Toutefois les conciles œcuméniques n'y pourront rien.
  21. Nous ne vivons désormais plus avec cette contrainte de voir inaltérablement contrefaite la volonté divine. 
  22. Pour que la France vive.



  ["In The Desert, You Can Remember Your Name. . ."]





       Paris, ce lundi 1er septembre 2025, Bruno Cadou.