La remise en cause de l'autorité judiciaire.

  Depuis Jésus, le Droit protège le chrétien . . .


  1. La Justice se commet de multiples manières semble-t-il, tout comme nôtre quotidien national se contente sans fin de contradictions moyenâgeuses, et les commentaires sur la condamnation de l'ancien Président Nicolas Sarkozy enfoncent le clou d'une évidence trop hâtive sur une confusion entre les pouvoirs, exécutif et judiciaire.    
  2. La gauche politicienne se réjouit, nous dit-on, d'un tel verdict, tandis que pour les français rien, mais véritablement rien, ne la met à l'abris de semblables décisions de Justice, manifestement.
  3. Nous considérons ici à la rédaction plus sagement que la Démocratie n'est pas mise en danger, mais qu'elle est ainsi protégée toujours davantage.
  4. La difficulté culte il est vrai réside toujours dans le sacro-saint service rendu par l'homme dans ce registre de l'authenticité par le biais d'une laïcité sensée avoir réponse à tout.
  5. L'innocence a cette teneur d'une culpabilité partagée, et la liberté cet office de rendre compte du partage des valeurs et de l'ultraviolence qui l'accompagne.
  6. Les français, nous semble-t-il, se situent davantage devant un horizon de cet ordre, puisque fatidique ou pas, c'est bien ce qui leur est imposé depuis toujours mais aussi par nôtre manque de réalisme au pouvoir en regard de l'immigration, la souveraineté européenne, le laxisme entretenu par une classe dirigeante affairée. 
  7. Le principe a priori statutaire du Droit lié au respect de toutes légitimités démocratiques requiert cette exigence pusillanime d'être précisé à nouveau, et en particulier pour éluder le marasme engagé par une confusion entre Droit et sollicitations de troubles de l'ordre public.
  8. La liberté de procéder à la tête de l'exécutif, se ressent toujours plus désormais d'une trahison forcenée de la France, par induction d'une innocence construite sur l'urgence et la nécessité, elles-mêmes trahies par un manque caractérisé de foi en Christ. 
  9. Nous suivons par trop l'exemple des religieux modernes qui vont confondant de l'islam qu'il puisse  un jour travestir le monde à cet usage indécent.
  10. Pour nous le choc curieusement colossal d'une telle décision à l'encontre d'un homme d'État pourtant satisfait de son soutien langagier, en étant absolument pas une surprise pour quiconque est épris de Droit, révèle de la politique et des médias de France un manque de préparation à cet inattendu pourtant attendu de longue date par les nations de la Terre.    
  11. Gageons de retrouver la raison avec cette finalité de pouvoir enfin tourner la page, avec décence si possible, du non-droit, de l'ultraviolence, de la délinquance d'État pour tout dire. 
  12. Pour que la France vive




      Paris, ce samedi 27 septembre 2025, Bruno Cadou. 

  Post scriptum, la question demeure de l'ultraviolence en politique réelle, et pour cette raison nous ne sommes pas sûr que monsieur Sarkozy souhaite redevenir Président. Toutefois cette dimension de la réalité est occultée par trop par cette approche passéiste, issue de la Révolution, du non-droit et de l'ultraviolence. Les «mœurs» méritent un attachement beaucoup plus conjugué à l'effort de tous pour la tolérance et le plein emploi de nos ressources tout particulièrement. Nous avons besoin d'une progression en Droit manifestement sur cette question.