Adolf Hitler et les forces du mal.

  Depuis Jésus, nous comprenons du mal qu'il ne corrompe pas la vie intime de l'Église.


  1. Le Führer ne se situe pas dans la sphère chrétienne pour élaborer sa démarche.
  2. Il en retient cependant la primauté, en procédant pour son parcours personnel chrétiennement.
  3. Ce qui nous intéresse ici retient d'en rire, puisque de toute évidence, et ce malgré les annonces faites historiquement, il n'a pas été retenu, comme à chaque fois semble-t-il, que Dieu se préparait à une démarche à caractère apocalyptique.
  4. La raison en est, comme toujours également, l'aveuglement suscité par le péché originel, confondu avec une passion onéreuse mais sans plus.
  5. Toutefois, le principe d'une foi religieuse indépendante affiliée à la tradition juive pré-chrétienne, mais déroulant la loi d'un attardement, non pas enjoué mais bien plus que cela salvateur, pour la gnose antidivine apparaît très clairement sans qu'il en soit fait état outrancièrement.
  6. Cette démarche préjudiciable nous semble désormais motivée par l'ensemble des précautions nécessaires au bon déroulement du déliement gordien, et rien de plus, rien de moins.
  7. Désormais que cette action s'est déroulée, le vide judiciaire ainsi créé peut être dissout.
  8. Il n'en demeure pas moins vrai qu'à ce moment de l'Histoire, interdire ce "judaïsme" n'est plausible que par une coercition d'État, violente et passéiste.
  9. Le tort accumulé est sans rapport avec sa cause, pour cette raison de supporter l'avènement du déliement gordien qui suppose une légitimation de ce "judaïsme" d'époque. 
  10. L'intimation de ce combat lourd, échappant au champ de bataille convenu, revêt pour se faire les critères usuels de l'agresseur, ici les "juifs".
  11. L'antisémitisme d'alors est devenu une arme de force majeure pour endiguer un fléau entretenu et terriblement dangereux . . .
  12. Pour que la France vive.




      Lourdes, ce dimanche 21 septembre 2025, Bruno Cadou.