«Overlord»

  La détermination des «garçons» à se situer bien au-dessus de Dieu présent parmi nous laisse intact le risque de démesure.


  1. La seconde guerre mondiale avec son opération «Overlord» nous laisse en héritage cette propension masculine stérile à se compromettre par le snobisme d'un compétition inenvisageable dans ce domaine de l'affirmation de soi.
  2. Nous héritons pour le principe d'un bagage odieux lorsqu'il est question de nôtre érotisme national, puisque ceux-ci s'imposent sans foi ni loi autre que celle du jonc. 
  3. La banalisation du principe entérine le gai savoir par lequel le pire est à craindre comme à écarter.
  4. Jésus est à la peine jusque dans son travail de chansonnier percutant.
  5. Nous soignons nos discours pour favoriser la campagne et la ville, tandis que nos outranciers personnages oligarchiques se font forts d'établir une mesure neuve à leurs propos salvateurs.
  6. Ravager nos espérances est devenu leur tracas, puisque de limites à s'imposer pour réduire leur chômage ils n'en connaissent point l'usage.
  7. Nôtre vie politique se ressent comme du mépris porté sciemment envers le personne de monsieur Adolf Hitler, la connaissance de la cause ne suffit plus pour émettre de nobles projets.
  8. L'essentiel est ailleurs, et monsieur Bayrou en prêchant pour un rassemblement des bonnes volontés, critique même de toute évidence, ne reçoit pour réponse qu'une fin de non recevoir énoncée comme un chapitre clos. 
  9. Comme quoi la hardiesse jointe au pouvoir, supposant une force de travail en phase avec la réalité, fait difficilement son chemin.
  10. On glose au sein des formations politiques pour comprendre qui sera élu pour une théurgie de rattrapage, mais pour les français, qui mieux que Dieu peut faire étalage d'une science proverbiale.
  11. La critique est aisée, nécessaire avec courtoisie dans ce contexte qui en convient de manière obligataire, mais le renoncement à la vertu est aussi éloquent qu'une démission patente, comprenons-nous.
  12. Pour que la France vive.







      Paris, ce samedi 6 septembre 2025, Bruno Cadou.