Depuis Jésus, nous avons une Mère céleste avec Marie.
1. Sur la Croix, à l'article de la mort, nôtre Sauveur révèle à l'apôtre Jean cette réalité qui ne sera pas reprise comme telle par les sept conciles œcuméniques.
2. La possibilité d'une nature divine de Marie sera altérée par une perception plus rétrograde et beaucoup moins facilitatrice pour la religion que les femmes ont d'elles-mêmes.
3. Ce manque d'authenticité conduit en particulier à ce manque de respect pour la dévotion mariale devant la grotte de Lourdes, le prêtre s'arrogeant sans fin cette préséance qui nous vaut tout autant un glissement sataniste du décor.
4. Comme quoi l'on peut aimer Dieu sans fatalement rechercher son Amour.
5. Le mérite de la prêtrise se situe dorénavant dans ce principe d'une célébration eucharistique, elle aussi dévoyée désormais, portée aux nues, au-delà de toutes raisons
6. La cause en est du vide spirituel laissé par l'acharnement phallocratique, la succion du jonc et ses conséquences foireuses.
7. Dieu veut des adorateurs consciencieux et vrais, et s'il importe d'avoir une sainte considération pour la messe, celle-ci vaut surtout par la qualité de ses acteurs, avec cette finalité de rendre toujours plus aisée une vie sans sang versé, donc sans ultraviolence, donc sans succion du jonc ou autres artifices de dépravations conjuguant le pouvoir et l'atteinte aux forme pures de l'Amour de Dieu.
8. Il semble que soit établie une confusion "juive" entre christianisme et abstraction du réel.
9. Nous ne nous réunissons pas pour célébrer le jonc, mais bien la puissance, la conscience et l'éternité divine.
10. Ce manque proverbial de respect chrétien pour Marie, confine le Pape à être un pécheur, subrogeant Dieu en relativisant faussement le Grâce et le Canon décidés par Dieu.
11. L'Église endure une catharsis par ignorance du quotidien mondain des chrétiens en présence de la Grâce incarnée par Marie tout particulièrement, puis, pas uniquement bien sûr.
12. Pour que la France vive.
Lourdes, ce mardi 23 septembre 2025.