Believe me, Claude Malhuret.

  Depuis Jésus, la conversion est une affaire redoutable.


  1. La politique est un désastre, puisqu'elle confirme par sa laïcité un non-attachement à la réalité du travail.
  2. Cette idéologie de la nescience emporte tout, y compris le simple bon sens quand il s'agit d'évoquer le droit des retraites, tout comme celui du travail, et donc en particulier des 35 heures.
  3. La droite s'y conforte, malheureuse et sotte, confirmant s'il en était encore besoin, qu'après avoir abandonné Dieu et sa Couronne, il ne reste pratiquement plus sur les bancs des Assemblées que des rentiers trop sûrs de plaire sans avoir eu ce besoin, historiquement semble-t-il, de parcourir les facultés, et réussir sans plaider par une carrière rémunérée, peu ou prou. 
  4. Cette tragédie éclate toujours plus au grand jour, affermissant les démagogues de tous bords cherchant quenelles satisfaisantes pour élucubrer sans fin par le pavillon du désespoir, celui de l'échec annoncé par le refus de Dieu présent parmi nous, et cette égalité prônée pour en satisfaire prétendument le dégoût.
  5. Comme quoi, à s'éloigner de la sagesse des Cieux l'on finit par confondre les ténèbres et la lumières pour une simple résultat, celui d'en convenir un jour, peut-être.
  6. Jésus a pu donné cet exemple d'un acrobate puni d'avoir peu travaillé, mais dans la réalité il a réussi où nous avons tous échoué semble-t-il, puisqu'Il est monté au Ciel.
  7. Jésus n'était pas homme à faire la foire croyons-nous, et nous avons raison, puisque dans le détail, il faisait grise mine à l'idée d'y parvenir. 
  8. Comme quoi la raison d'être en politique s'étiole par ce concert nécessaire pour l'heure, d'éléments foireux de rhétorique ancienne, confondus avec un véritable talent en attendant mieux.
  9. Nous évitons par trop de comprendre la vie, parce qu'en politique, nous sommes tenus par la criminalité ambiante à des malversations de basse cour, réduisant pour toujours nôtre intérêt fondamental pour la patrie et ses honnêtes citoyens.
  10. Ainsi cher Claude Malhuret, permettez nous sans nous gausser, de vous reprendre publiquement, comme la morale républicaine nous y encourage, et aussi l'enthousiasme d'en finir avec cette maladie d'État qui nous est commun, le respect pour le cul-de-basse-fosse.    
  11. L'hôpital public, ne doit pas son échec permanent aux trente-cinq heures ou à la retraite à soixante ans, qui s'impose sans ménagement, mais à bien d'autres carabistouilles, dont la morale républicaine a besoin de mettre à jour le tourment imposé, et l'insatisfaction générale qui y est soulevée. 
  12. La dangerosité de la médecine moderne, que viendrait satisfaire infiniment un droit à l'euthanasie, prend son envol par la laïcité, le refus d'ordonner l'ordre des médecins avec Dieu présent parmi nous, la fornication considérée comme un moyen de probité saignante de sélection du corps médical, et l'incompétence qui s'en suit.
  13. La qualité du travail au sein des hôpitaux suit la pente douce de l'anarchie, si nous n'y pouvons rien, par ce culte voué au farniente et aux facéties digressives du péché originel considérées à tort comme l'art de se cultiver.
  14. Or même ce simple travail, est déconsidéré toujours plus par le respect de la laïcité, la tolérance imposée par les droits de l'homme, et le simple talent d'avoir à en convenir.
  15. Ajoutez à cela monsieur le sénateur, si vous le voulez bien, cette manufacture crédible de même, de règles pour en permettre le fiasco, tant dans l'organisation des hôpitaux que par les règles imposées peu à peu en matière de déontologie policière, et vous comprendrez toujours mieux pourquoi nous produisons mal et nous exprimons de trop en regard de ce que nous sommes devenus sciemment.
  16. Certes la gauche laxiste se vautre dans cette tourmente attendant son hypothétique heure de gloire, mais nôtre droite n'en est plus une véritablement, et manifestement, cela n'est pas du tout du au hasard.
  17. Jésus est revêtu de Gloire au Ciel et sur la Terre, mais pas nous, c'est avouons le pour l'heure, le moins que l'on puisse dire.
  18. Oui la retraite et son organisation apparemment simpliste, doit demeurée plausible pour un départ dans de bonnes conditions de santé personnelle, mais aussi rendre possible une vie estudiantine qui semble-t-il pour l'heure est devenue par trop foireuse.
  19. S'il est une chose invraisemblable à entendre depuis la droite, c'est bien cette satisfaction pseudo bourgeoise qui tient à accabler les travailleurs avec ce soucis de créer une différence qui n'existe plus dans les faits avec ceux qui prétendent ne pas en avoir besoin.
  20. Nôtre pays a besoin de revisiter son Droit, son Droit pénal, pour s'en sortir, et de même son attachement crétin aux droits de l'homme.
  21. Que nul ne prétende servir le Droit, par fidélité à une Révolution criminelle.
  22. Pour que la France vive.





      Paris, ce lundi 20 octobre 2025, Bruno Cadou. 

  Post Sciptum, nous sommes surpris par les vœux d'amitié des correspondants avouables selon eux à l'adresse de monsieur Sarkozy à la veille de son début d'incarcération.
  Finalement tout se passe comme si nous n'avons rien vu, et rien entendu durant toutes ces années, monsieur Sarkozy serait selon eux un homme aux goûts simples et au talent supérieur, celui rêvé par les musiciens, pour devenir la victime d'une Justice absurde.
  Les français ont bien l'impression que nous ne sommes pas de cette manière au bout de cette lecture exacte qui nécessite semble-t-il une telle peine.
  Ne pensez pas, que nous manquons de lucidité.