Depuis Jésus, nous cherchons à comprendre poliment où Dieu nous mène avec les juifs.
1. Après avoir entendu la plaidoirie d'Emmanuel Macron ce jour au Panthéon pour l'intronisation de monsieur Robert Badinter, deux réflexions, que nous ne garderons pas pour nous, nous viennent à l'esprit.
2. Dieu est-il si peu avenant qu'il faille absolument ne jamais en relater la prévenance, instaurer la valeur supérieure de l'humanisme, hisser les lois au-dessus des siennes.
3. Secondement, est-il si simple clairement, de s'adresser aux français en gommant ce que chacun perçoit avec plus ou moins d'habileté certes, des prémisses du non-droit, dont monsieur Badinter se faisait l'arbitre sincère.
4. L'adjudication du réel en cours favorise l'immigration de masse, en particulier en provenance des mouvances animées par l'Islam pour lequel le non-droit, incarné par l'abolition de la peine de mort tout particulièrement, est messager d'un monde possible à abattre.
5. S'il est bon d'entendre la nécessaire progression des mœurs d'État, si a contrario en attendant que celle-ci soit suffisante, il est bon d'omettre de tuer au nom de la Justice, il n'en demeure pas moins vrai que cet homme ainsi solennisé revêt une part d'ombre.
6. Refuser de l'admettre, c'est entendre bien peu le niveau d'émancipation de nôtre conscience collective française.
7. C'est aussi plaider pour une «judaïsation» des usages et des coutumes de par le monde.
8. C'est donc promouvoir le crime en le dirigeant par l'ultraviolence dont on se dit si curieusement tant responsable par définition.
9. Nos hommes d'État ont cette gageure de défendre le Droit, par la notion d'État de Droit, en commettant l'acte irréfléchi d'en flétrir les nuances.
10. La raison en est fort simple, pour un temps encore, ils en sont également le plus souvent les profanateurs rémunérés.
11. Cette intronisation excédentaire revêt pour cette raison un aspect funéraire et rien de plus en vérité, bien malheureusement.
12. Pour que la France vive.
Paris, ce jeudi 9 octobre 2025, Bruno Cadou.
Post scriptum, la lecture «a contrario» du discours présidentiel au Panthéon est aisée, sans bien même nous le supposons que monsieur Macron en soit conscient valablement.