La vérité nous situera.

   Depuis Jésus, les pauvres nous accablent.


  1. La pauvreté est un «business», dont l'altérité comble les processeurs voués au dénigrement de la Justice, et pour cette raison, dans un univers christianisé, par les Psaumes, par les Évangiles, nous retenons de la défiance qu'elle se pare de la vérité supposée par tous en apparence.
  2. Nôtre Pape Léon XIV dans son exhortation apostolique «Dis l'excité !», fustige l'appropriation du monde par la réussite industrieuse et libérale, au motif d'un manque de respect pour la misère, et nous dirions, pour le culte de la misère.
  3. Nos instances gouvernementales peinent à entendre du joli propos du Maître du barreau de genre féminin, brillante et élégante, devant le Panthéon et la Faculté de Droit hier au soir, son indication a contrario de voix obscurcies par le simple principe d'appropriation de la primauté de la parole par faits et gestes en lieu d'une concertation d'usage avec le Christ incarné. 
  4. La liberté se pare d'un droit à la parole travaillé par le doute et la suspicion, méconnaissant de la volonté divine son double projet d'humilité transactionnelle et de tradition décrite.
  5. C'est dans ce contexte que les nations travaillent à anoblir le vie terrestre, en y parvenant tout de même infiniment plus qu'il est dit.
  6. Oublier cette vérité nous situe dans une obédience de repli sur soi mensongère et peu amène en vérité.
  7. Dieu est puissant sur cette Terre, et n'oublie personne.
  8. Mais pour ceux, bien évidemment, qui se destinent à ne jamais travailler, la difficulté est doublée d'une inutilité de tant d'efforts.
  9. Supposer un «vivre ensemble» dans ces conditions, revient à attenter à la réussite même en la décriant d'ores et déjà tout autant.
  10. Nous ne pouvons plus entendre tout et n'importe quoi.
  11. Nous sommes dans un besoin de «vrais et grands» juristes, pour lesquels le Facom de la parole soit libéré, et nous sommes disponible pour cela, bien évidemment, merci Maître.
  12. Pour que la France vive.








      Paris, ce vendredi 10 octobre 2025, Bruno Cadou.

  Post scriptum, le «remix» incessant à l'encontre de l'antisémitisme revêt ce caractère de parjure inconditionné, si ce n'est par le péché originel.