Depuis Jésus, rarement nous avons eu à reprécisé les choses . . .
1. La politique est une aventure dont l'intérêt premier consiste en la légitimation de l'exercice du pouvoir avec ce compromis compromettant de plaire.
2. L'assiduité humaine dans sa spontanéité première relègue la fidélité des relations aux conventions guerrières d'autrefois, et pour ainsi dire la seule suspicion itère la probabilité d'une scission.
3. La fornication fait ainsi partie intégrante de la grandeur en politique, puisque c'est en définitive par un manque de foi en Christ que nôtre vie d'État pour l'heure en subit le joug.
4. Mais l'absence de moniteur visible pour en réguler l'apparat étant la règle, le non-droit en particulier fait circuler les nombreux amendements à cette démarche qui sans eux n'évoluerait pas, semble-t-il.
5. En d'autres mots, nous rêvons de progrès en comptant sur une délinquance de fonction pour en établir le charme come par devers elle.
6. Ce «système», puisque c'en est un, est celui imposé par le péché originel.
7. Mais dans ce contexte d'un univers élaboré qui lui correspond toujours moins, nos acteurs en politique conviennent trop simplement d'en oublier les lois anciennes, immuables et définitives.
8. La liberté de parole est une entrave supplémentaire, puisqu'elle qualifie le politicien, mais également, l'oblitère de manière conjoncturelle.
9. En d'autres termes, à tenter «d'envoyer du lourd» avec ou sans raison, on persiste peut-être à s'affranchir de limites dangereuses pour l'âme et le corps.
10. La supériorité est un marquage ancien, avec ses enjeux, que l'outrecuidance n'arrange pas forcément, et que Dieu, éternel second rôle dans le milieu, ne soutient pas fatalement.
11. Gageons d'être et de demeurer prudents, pour ne pas disparaître ou ternir la scène politicienne sans raison apparente.
12. Pour que la France vive.
Paris, ce mercredi 8 octobre 2025, Bruno Cadou.
Post scriptum, le rêve d'une coalition en politique, sans Dieu, épouse par voie de conséquence le mode du fascisme, celui-là même reproché à la monarchie rétrograde.
Une vie d'idéal en politique fait place à un pragmatisme de «couronne», celle-là même prétendument acquise par le vote, la légitimité démocratique.
La finalité de tout cela itère un mode d'existence compris par le pays, et jugé également par lui aux yeux de Dieu, cf. l'impact de même nature de la Shoah.
La résilience de ce mode bouddhiste d'élaboration de la «loi» française par l'abus et l'emprunt, dévoile une propension au fascisme d'époque, au fascisme mou.
Dans ce contexte, les «règles» deviennent moins certaines tandis que Dieu lui ne varie absolument pas, d'où cette mise en garde.