Depuis Jésus, l'attente du salut relatif des hommes passent par un reniement plus ou moins long.
1. L'affermissement de la nomenclature autour du pot à valeur constitutionnelle de la déraison confirmée, la Démocratie, nous vivons de ces heures creuses confirmant s'il en était encore besoin combien un monde sans Dieu est un monde sans âme.
2. Or un monde sans âme se retient comme une déchéance en cours, et qui plus est en l'occurrence entretenue par la disgrâce d'avoir à plaire, sans les moyens de l'authenticité pourtant requise, puisque les défaillances successives ont été reprises en cœur, maladivement, avec et sans dignité.
3. Nous sommes contraints de réfléchir avec des bouts d'allumettes en tentant de rétablir la lumière sur nôtre condition commune sans cette satisfaction de voir Dieu aboutir, Dieu pourtant présent parmi nous.
4. Jésus pour cette raison qui n'est pas unique, devient le symbole de cette satisfaction en attente, puisque finalement, nous n'avons rien fait de meilleur que Lui.
5. Mais pour l'heure, la signification de nôtre attente revêt le sceau d'une incompréhension du monde controversée par l'attente voulue d'un fléau insoluble qui représenterait lui l'échec définitif de Dieu.
6. Les politiciens, acteurs ou journalistes, se tendent mutuellement le micro d'une attention au maléfice entretenu de cette abstraction du réel voulue plus que tout, puisque gardienne de leur caste, ou supposée telle toujours moins fort.
7. Nous français, serions des rêveurs bien indignes d'une allégeance à nôtre cause pourtant dissuasive, d'un Droit fort, d'un progrès conséquent de la qualité de vie subjective et matérielle, spirituelle donc.
8. Nous ferions obstacles, sans y penser peut-être, à des carrières en politique, confondues encore pour l'heure avec des démonstrations de jouissance en Droit.
9. Nôtre avocate se fait patiente, et attentionnée pourtant
10. L'assurance de la victoire pointe à l'horizon son ombre par le maintien d'une judiciarisation de nôtre vie civile rendue plausible toujours plus depuis le déliement gordien, puisque ce dernier défait le maléfice d'une contrainte retenant Dieu présent parmi nous d'agir par un respect biblique entretenu ingénument mais qui n'a plus de raison d'être désormais que «Minos» a confirmé ce que Dieu le Père avait compris de son entendement des Évangiles du Christ Jésus.
11. Il nous importe à tous de bien entendre que cette heure est chrétienne.
12. Pour que la France vive.
Paris, ce vendredi 3 octobre 2025, Bruno Cadou.