Depuis Jésus, la vie, par trop est encore un compromis, un parjure.
1. Ce que nous cherchons en priant n'est pas ce que nous recevons bien souvent et pour le principe, la raison en est l'attachement communément admis au péché originel avec cette oblation plus que ritualisée qui en perturbe le fleuve tranquille.
2. Jésus est nôtre point d'ancrage commun, même pour celles et ceux qui ont perdu le sens commun finalement.
3. Mais ce qui fait la force de nôtre dépendance, pour ne pas dire de nôtre aliénation, revient au trouble provoqué clairement par l'adhésion nocturne ou pas à la déconne.
4. Car le péché originel imposé au monde bien malgré la volonté divine, s'impose en termes d'interdépendances entre les hommes, à ce point de non-retour qu'il en est devenu presqu'impossible de se signaler sans en rendre un compte alambiqué, et ce combien même nous en serions profondément revenus.
5. Le vieillissement du corps le signale et plus encore la nécessité, stuporeuse ou pas d'en prendre un soin hors de touts propos.
6. Pour cette raison, l'attraction pour la pauvreté peut revêtir ce cachet proverbial d'attachement au péché originel, tout comme la richesse lorsqu'elle est suspecte.
7. Nôtre propos ici tient de bien faire admettre que dans un univers voué à l'interdépendance, le respect mutuel est un enjeu à l'origine même des nations, celles-ci rendant possible une progression hors de son assujétissement.
7. Jésus n'est pas opposé à la séparation des ethnies, pour cette raison nécessaire d'avoir à complaire aux difficultés différenciées.
8. La confusion des genres renforce plus qu'il n'est dit, la tragédie de cette dépendance au parjure dans les faits, et ce malgré les apparences défendues à l'encontre du bon sens en vérité.
9. Les besoins des humbles ne sont pas ceux de ceux qu'anime le goût pour la réprobation de l'existence d'autrui par exemple.
10. Nous ne sommes pas faits pour vivre ensemble sérieusement sans prendre grand soin de ce qui précède.
11. Toutefois nous progressons en France de manière à rendre visible incessamment ce devenir.
12. Pour que la France vive.
[Yes, I am Ô Key. (Annie)]
Paris, ce dimanche 19 octobre 2025, Bruno Cadou.