Depuis Jésus, le concept de la prise de parole, redevient celui de Jésus, inaltérablement.
1. L'aujourd'hui de la France peut laisser pantois, tant il est vrai que désormais, nos orateurs tant politiques que scripturaires réitèrent sans cesse de leur destinée qu'elle est injustement propice au pire.
2. Il en est même qui vont jusque sur YouTube imprimer qu'ils en sont, si cela était encore possible.
3. La décadence ambiante est l'aspect visible d'un mal-être qui court depuis bien avant la Révolution française, pour laquelle nous avons le mérite d'entretenir le principe supposé clair pourtant du progrès.
4. Jésus est satisfait de ce marasme, délivrant ce message essentiel d'un manquement cultivé à l'authenticité, tant des mœurs savoyardes que des délits d'opinions projetés.
5. Nôtre pays se souvient encore d'avoir un passé, mais beaucoup moins communément un présent.
6. La faute en revient au principe cul-terreux de la succion du jonc pour laquelle l'incompatibilité avec le saint Évangile a été prononcée par Dieu, comme définitivement.
7. Puisqu'en effet le recrutement d'une force majeure dans le pays, pour se présenter devant les suffrages, suppose une abolition de pudeur incompatible avec le décence, le résultat, en plus d'être criminogène, retient d'en rire par son adduction du mensonge et du pire.
8. En d'autres termes, que nous le voulions ou non, nous vivons du bonheur d'établir la volonté divine, un cul-de-sac retentissant, et nôtre soif de voir prorogé ce statut de délinquance au-delà du temps rencontre la barre supérieure de l'anéantissement.
9. Jésus n'est plus d'accord pour payer les pots cassés, . . .
10. Devant tant d'atermoiements, de crédibilité défaite, que reste-t-il, sinon encore un espoir.
11. Puisqu'effectivement, la Sagesse a construit sa maison pas très loin d'ici.
12. Pour que la France vive.
Paris, ce mardi 7 octobre 2025, Bruno Cadou.
Post scriptum, l'importance concédée au vis, en situation, est relatif à certains critères, dont l'affirmation de soi n'est pas le moindre. Il est douteux de ne pas se tromper sans avoir prier.