67ème anniversaire de nôtre Cinquième République. (2/2)

  Depuis Jésus, nous apprenons encore à rendre à César ce qui est à César.


  1. L'évolution du Droit constitutionnel français ces trois dernières décennies, marque une volonté d'éloigner la France de son identité réelle.
  2. Mais pour autant, créer ainsi un état de siège de nos institutions, de nôtre État, n'a jamais autant démontré, non pas son innocuité, mais cet aspect mensonger de la gauche considérant non sans vergogne qu'un moindre mal est toujours un acquis revanchard.
  3. Le plagiat de nos institutions est même devenu le passage obligé de nos politiciens qui, d'origines souvent étrangères à la France en font un commerce licite en matière de prébende.
  4. En d'autres termes, on ne devient pas français, on l'était bien avant la naissance.
  5. Le stratagème simple d'une duplicité tenue pour preuve d'un engagement révolutionnaire ne soutient pas plus qu'il est dit la simple nécessité de pourvoir au quotidien, qui quoiqu'on en pense, demeure la pierre d'usure d'un tel sacrifice totalement inutile.
  6. La suppression de la peine de mort elle-même fait autorité pour en défendre la délinquance de par le monde, la France s'est fourvoyée, et il ne s'agit plus surtout aujourd'hui simplement de politique.
  7. Jésus retourne dans ses buts, Il ne manque pas de le comprendre.
  8. Nôtre constitution vieillit donc fort mal, et nôtre appétence pour un conseil constitutionnel issu d'une légitimité démocratique considérée comme le phare d'Alexandrie fait peine à regarder.
  9. On y parle peu de Droit, on ne s'y  emporte plus pour ce genre de raison, on s'y effémine au motif de plaire à tout le monde, en regrettant Madame Claude qui avait averti tout un chacun sur le sujet.
  10. La décence fait par trop place à une gabegie libérant de la crise de régime en cours son verdict, trop de Démocratie tue la Démocratie.
  11. L'absence de nos Maîtres en Droit, de Dieu ainsi présent parmi nous fait peine à voir.
  12. Pour que la France vive.






  [La vraie chose . . .]

      Paris, ce samedi 4 octobre 2025, Bruno Cadou.