L'apothéose chrétienne n'est pas jubilante sans cette indication de découverte de soi à venir en toute modestie.
1. La danse est pour l'heure un exutoire probant, relatif, provisoire, avec des rebondissement, un trop grand manque de complicité, trop surement.
2. Pourtant les oligarques de l'enfer en devenir chrétien sont formels, la danse est une indication forte quand elle est soutenue par la Grâce.
3. Le devenir s'accomplit par faits et gestes, mais aussi par intuitions rêvées, esquissées, et donc dansées...
4. L'abstraction du réel, telle qu'elle est promue par une laïcité exponentiellement éloignée des réalités théurgiques à suivre, ne révèle rien des possibilités du futur.
5. L'érotisme est une spirale par laquelle la féminité jouit d'une fortune considérable si elle est respectée chrétiennement.
6. Le Christ n'a plus besoin d'épouser les formes sataniques d'un imaginaire corrompu par la nécessité pour distraire du péché en propulsant l'ennui au dehors et le remplacer par l'effort et l'espérance.
7. La danse suppose que soit maîtrisée ces notions, et à défaut qu'elles n'éloignent les cœurs sans compromettre leur devenir.
8. La radicalisation du péché originel sous toutes ses formes suppose des âmes vaillantes pour endurer non pas de prêcher fatalement formellement, mais bien de surseoir à l'automne puis à l'hiver par un printemps vigoureux.
9. La quête d'une éternelle jeunesse est une dimension d'ordre spirituel de l'existence dont la danse permet le rêve.
10. Puissions-nous nous exalter sommairement, ou pas, de manière romancée, ou anachronique, sans verser le sang, et sans conduire à la faillite.
11. La danse est une théurgie.
12. Pour que la France vive.
[On dirait quand même le Patron des Ténèbres Divines.]
Paris, ce vendredi 1er août 2025, Bruno Cadou.