Depuis Jésus, nous avons soin de perfectionner nôtre relation à l'autre . . .
1. La politique considérée comme une pratique martiale révèle cette lacune de n'être que très peu enseignée.
2. Et en ce sens, bien des professeurs de lutte combative ont délaissé leur sapience au profit d'une activité plus pacifiante pour l'esprit et le corps.
3. Le manque de christianisme en est la cause profonde, si l'on veut bien reconsidérer de l'Église moderne qu'elle constitue une approche initiale de la vie contemplative réelle.
4. Mais pour le chrétien confirmé par son union à Dieu, la déchéance du monde qui l'entoure a une seul origine, le vide laissé par l'absence de Dieu pourtant présent parmi nous.
5. La relativité simple de nôtre aptitude nationale au combat militaire revêt cet attribut, et ce quoique l'on fasse pour en prétendre le contraire.
6. C'est bien cette prétention au snobisme que nous relate également le marasme politicien épineux et ambiant tout autant français qu'européen.
7. Mais nôtre France soulève le bien lourd fardeau d'en être tributaire pour le principe, et ceci à l'encontre de l' Allemagne authentique comme de la France de toujours, la France chrétienne.
8. Jésus y est déconsidéré comme dans son Église, enfermé dans ses dialogues historiques pendant que l'Esprit peine encore et encore à nous enseigner toutes choses.
9. L'enseignement du Droit, tout comme celui de la médecine, suppose une garde prétorienne d'origine pure et sensible pour en affirmer comme dans l'un et l'autre cas le précieux chargement.
10. Car à force d'envoyer du lourd, nos politiciens sans vergogne n'ont plus de l'ordre public qu'un souvenir éteint uniquement par une disgrâce qui les accable désormais toujours plus individuellement, comme en Droit ou en médecine.
11. Jésus n'est point déconcerté puisqu'enfin transparait de ce retour de flamme ce qu'il en avait prédit.
12. L'usage symbolique de l'épée, du sabre japonais pour les amoureux de la perfection du geste, restitue de l'enseignement du Christ cette nécessité de disjoindre le crime de la pratique des arts.
13. Ce qui nous manque en France est bien là qu'à y manquer nous persistons à confondre le bien et le mal pour en découdre avec la destinée.
14. Nôtre rudiment de l'épopée vieillit pour nous confondre par ce manque de modernité propice à l'échec, nous ne sommes pas en phase avec la Marche.
15. Nous confirmons quasi directement les faux semblants des dignitaires étrangers plus imbus de rétorsion armée à distance du déliement gordien.
16. Nous forçons le respect de nos ennemis potentiels en leur mâchant le travail d'une soumission rêvée de la France à leur indigence verbeuse et phallocratique.
17. Enfin nous soumettons la France à une technocratie qui n'est pas de mise à hauteur de nos moyens de communiquer toujours plus intimement (...).
18. Nôtre gouvernance s'attache plus à oublier Dieu qu'à le servir en conscience et en vérité, au mépris donc du danger qu'une telle perspective nous révèle.
19. Nous nous prédisposons au vote avec un réalisme qui fait foi de nôtre attraction démesurée pour le bonheur conjugué au péché originel.
20. Nôtre universalisation de la vie dépasse de peu celle du biberon nécessaire au tout petit.
21. Pour servir ce que de droit, la cause nationale et intrinsèque de nôtre premier ministre, monsieur François Bayrou, salutations.
22. Pour que la France vive.
[Une amie de Mylène.]
[Ce sera parfait comme ici.]
[Pour les spécialistes.]
Paris, ce mardi 26 août 2025, Bruno Cadou.