Statut de la défiance.

  Depuis Jésus, nous comprenons toujours mieux de la défiance publique son abolissement.


  1. L'immigration visible désormais en France se fait l'écho de celle moins évidente au sommet de nos institutions tout particulièrement.
  2. Et s'il est une raison de croire en l'avenir, elle relève du dérèglement rêvé par le pouvoir des mœurs conjuguées son adjudication définitive.
  3. Le principe même d'une foire portée sur nos usages, nos échanges commerciaux, et par voie de conséquence sur le travail, reflète de nôtre difficulté économique contemporaine sa réalité simple.
  4. Nôtre exigence de maintien d'une qualité éthique de nos mêmes usages déteint insuffisamment à l'encan sur nos vies désormais que sont abolies et la lucidité et la conscience des différences ethniques bien nécessaire également.
  5. Nous valorisons le stupre incessamment, ce qui donne l'impression d'ouvrir la porte à des centenaires pour occuper des postes au sein de nôtre police. 
  6. Monsieur Bayrou escompte une prise de conscience renouvelée pour maintenir la barre du sens des responsabilités politiques, ce qui s'annonce dans ces conditions aussi peu plausible que très délicat.
  7. Les conséquences qui s'attachent à un tel marasme sont de deux ordres, une fracture sociale et un dénigrement toujours plus judiciarisé des mœurs d'État.
  8. La France a les moyens désormais de faire face à la lourdeur des temps, mais pas sans en faire état méthodiquement.
  9. En d'autres termes nous ne pourrons pas faire abstraction de ce qui nous menace à cette fin de passer outre avec efficience.
  10. La doctrine papale du tout à l'égout de nos sensibilités au profit d'un manque de réalisme entretenu de manière hypocrite ne fait que mettre en lumière la même difficulté entretenue pour s'exprimer sur la réalité du travail et de ce qu'il impose à nos sociétés.
  11. En d'autres termes également, là aussi nous sommes «gouvernés» par des personnes exemptes d'académisme sur ce point de la démonstration par le travail acharné.
  12. La pyramide du crime imposée à nos États pour en découdre favorablement se retrouve au sommet de la hiérarchie ecclésiale, rendant plausible un terrorisme à l'égard des États de l'ordre d'une subordination rêvée à l'islam, dont pour cette raison on mesure top peu l'impédance nuisible.
  13. Nous sommes convaincus d'avoir à admettre le fin du christianisme en comprenant un laxisme dont l'origine n'est pas chrétienne, mais païenne.
  14. En outre l'exemplarité d'un monde sans le Christ est toujours exsangue de toute annihilation de nos difficultés, là aussi de manière définitive et plutôt cultivée.
  15. Le danger de la prévarication emplit nos institutions, favorisant de la médiocrité son essor criminogène, et donc opérant pour altérer nôtre productivité par une sélection négative des talents, la culture évasive toujours plus d'une réussite sans réalisme.
  16. Nôtre échec en cours est le résultat d'un refus pérenne de lucidité sur nos mœurs au motif de satisfaire initialement au credo simpliste à l'encontre du troisième Reich.   
  17. Ce qui s'annonce par voie de conséquence, est très éloigné de troubler les esprits pour cette raison d'une absurde altération entretenue de nos vies depuis l'édification de l'Europe.
  18. C'est moins la guerre, apparemment recherchée tout de même, qui nous menace que le renouvellement nécessaire de tout le personnel politique.
  19. Nous allons au devant d'heures sombres pour cette raison d'en avoir rêvé la substance.
  20. Mais la France tien bon tout comme le monde pour cette raison du pouvoir grandissant de Dieu.
  21. Le déliement gordien élimine définitivement l'intérêt désormais inexistant de la question juive sur l'entendement de l'éthique souveraine et chrétienne de Dieu.
  22. Pour que la France vive.






      Paris, ce lundi 25 août 2025, Bruno Cadou.