Medef et risque zéro.

  Depuis Jésus, rendre à César ce qui est à César demeure incompris.


  1. Le patronat, dont la transparence essuie les plinthes du savoir, revendique tout feu tout flamme, une pertinence germanique au sommet de l'État par une forme vécue de compromis au bénéfice d'une endurance redoublée sur le plan économique. 
  2. Pour y parvenir, l'Allemagne a du faire avec la déception de la défaite militaire, mais aussi ce devoir de reconstruction, les deux.
  3. Encore se doit-elle par extraordinaire à une Europe sans âme puisqu'indéfinie spirituellement autrement que par une forme d'escompte continu. 
  4. Redoubler pour son Économie est devenu pour ce pays une chimère sans autre explication qu'une culture confirmée à l'égard de la trahison de la raison.
  5. En d'autres termes, si pour beaucoup, l'essentiel est ailleurs, pour les hauts responsables allemands l'essentiel est dans le «bunker». 



  6. Remettre en cause Monsieur Bayrou est malheureusement aisé, puisque de toute évidence les contraintes de la représentation en politique sont inextinguibles, comme partout.
  7. Nôtre culture du bien et du mal nous assène un terrible coup, vécu comme un malentendu.
  8. Nous ne méritons pas d'être éternellement manipulés, qui plus est par l'incompétence de cœur, comme préalable à celle de l'esprit. 
  9. Jésus en convient, nous payons les pots cassés d'un ressac puissant d'une culture, celle de l'hypocrisie. 
  10. Pour que la France vive.







      Paris, ce jeudi 28 août 2025, Bruno Cadou.  

  Post scriptum, «Rendre à Dieu ce qui est à Dieu, et à César ce qui est à César» est une approche «cosi» de la notion de Couronne. C.Q.F.D.