Le projet d'une France libre et loyale envers le Christ.
1. L'abstinence en Droit promeut de la notion de liberté son fanatisme libertaire confondu à mauvais escient avec les droits de l'homme au motif d'une discourtoisie de mise.
2. La rétribution de nôtre Histoire se heurte ainsi au mépris de celles et ceux qui bravant tout de l'esclavage par le péché originel vont confondant du refus de Dieu qu'il puisse être le nôtre.
3. Nous ne sommes pas fascistes pour rémunérer du Droit qu'il convient à nôtre devenir commun.
4. Nous ne sommes pas gauchistes pour célébrer du renouvellement de la norme judiciaire qu'elle convient aux célébrations rêvées d'un paganisme crétin.
5. L'adjudication du réel est une réprobation historiquement juive du Salut du monde par le clémence divine, tout comme l'islam est une réminiscence de son aboutissement sans lien avec nos évidences chrétiennes.
6. L'adhésion au non-droit, au crime, dissimule en effet une propension à confondre par le traitement du cul-de-basse-fosse le gouvernement clair des nations avec le résultat d'une manipulation de l'entendement forcé par le respect d'une magie des ténèbres engoulevines ainsi décrites.
7. Jésus n'a jamais décrié ces culs-de-basse-fosse dont l'évidence a toujours été combattue bibliquement.
8. La résolution d'en découdre vertement toutefois, sans jamais s'estomper, s'est prolongée tout au long de nôtre histoire, attendant cette heure heureuse du déliement gordien rendu possible par la Shoah également.
9. L'atteinte à la Bible, au sceau officiel de nôtre union au Christ disparait d'autant plus que le temps s'écoule en ce sens invariablement désormais.
10. Le pouvoir de Dieu va grandissant, réduisant toujours plus à néant toutes tentatives d'en disconvenir.
11. La jésuistique des gueux démontre cette limite ne ne s'attacher qu'aux apparences, trahissant ce ressort puissant de pratiques mensongères pourtant vécues dans leurs conséquences par tous.
12. La France connait désormais ce retour à Dieu décent, modeste, mesuré et efficace.
13. Nous ne sommes plus victimes de cette fatalité entretenant sans fin d'une déshérence imposée par le manque de foi l'abolition prévisible de nôtre nation par le Droit.
14. Nous vivons à nouveau, sans nous affranchir maladivement de nos contradictions, par le Droit et la foi en Dieu chrétiennement.
15. Le fondement du Droit est dans la volonté divine et nulle part ailleurs.
16. Décider arbitrairement de nos sorts au motif de ne point convenir communément de l'existence du péché originel et de ses conséquences n'est désormais plus possible.
17. Jésus n'en a jamais convenu autrement.
18. Nous allons au devant de grandes satisfactions, mais aussi pour y parvenir de déconvenues funestes pour les ennemis de la Nation.
19. La France n'est pas le ressac de pratiques sombres dont l'occultisme forcerait le respect.
20. Chacun devra répondre de ses actes licencieux, connus ou pas.
21. Gageons ainsi de vivre mieux en étant français, en révérant l'Amour de Dieu.
22. Pour que la France vive.
Paris, ce samedi 23 août 2025, Bruno Cadou.