La désolation en Amour incite aux rites les plus courts pour sa célébration.
1. Depuis Jésus, nous comprenons de l'Amour entre une femme et un homme qu'ils est sujet à caution sans un petit baiser, curieusement.
2. La chose paraît acquise, mais il semble bien promptement décidé à l'encan que par les chemins détournés de la prévarication, nous atteignons à l'Amour en toute bonne foi supposée, à ce titre du baiser déposé.
3. Mais pour bien saisir d'une telle offrande aux dieux de la miséricorde le secret d'une telle parodie, encore faut-il se souvenir du Christ Sauveur dont c'est l'érudition et le calcul inédit.
4. Cette mémoire est toujours à l'ordre du jour, car l'Amour bien chers amis est le lieu sûr de nôtre entendement du monde, en attendant de la part de Dieu d'autres révélations dont nous saurions garder témoignage.
5. Mais cette histoire d'entendement de l'Amour recèle son pendant de prétention onéreuse en rétribuant le groupe par la sentence concernée d'un moindre acabit pour l'immoralité ou le péché originel.
6. Les rites de l'Amour son censés protégés les époux de leurs proches, tout comme une assurance bénie.
7. L'Église en ce sens se montre généreuse, puisqu'il n'est d'égarements sans satisfaction rapportée par le temps à la réalité du sens de nos existences passées.
8. Jésus est bon apôtre puisqu'il concède sans vergogne établir la paix par tous ses sacrements.
9. Le sujet est bien grave, puisque même le sacerdoce opère par initiation de servir la cause de l'ordre public par une ascèse religieuse de respect de la mémoire de la Sainte Scène, et en ce sens nous avons toujours cette chance d'en comprendre l'usage.
10. Mais plus que de coutume nous est demandé de surseoir à l'absence de tout romantisme, de tout érotisme probant donc, par ce maintien des lois de genres dont l'intérêt proverbial repose sur la respect imposé de la prise de risque en regard de la possibilité du crime parfait.
11. Nous boutons hors de France de telles propositions, puisque telle n'est pas nôtre ambition de parfaire le non-droit par la religion.
12. Contrairement aux argonautes de la patience politicienne pour le moindre doute démocratique, nous comprenons de l'existence de Dieu son intime conviction d'apporter au-delà de l'espoir une assurance vitale pour nos vies en danger permanent d'être sacrifiées sur l'autel d'insanités phallocratiques.
13. À quêter de l'Amour ses prétendus candidats perdus au travers du mensonge et des mondes rupestres, nous aurions oublié de nos vies leurs urgences déployées pour en assurer le présent non dévoyé.
14. Jésus nous avait mis en garde à l'encontre de fausses prophéties qui toutes rapportent de Dieu qu'ils serait déchu ou dévoyé à ce point de non retour.
15. L'incident serait clos si l'obligation énoncée de réparer les filets ne venait ajouter du fil à retordre à l'encontre des clercs par trop versés dans l'art et la manière de subroger Dieu et sa Grâce.
16. Le militantisme chrétien, en effet, endure par trop une paranoïa sise sur l'affliction d'être privé en soi d'une union à Dieu réparatrice.
17. L'érotisme chrétien, est d'une vitalité qui suppose que soit acquise la Charité de nôtre Mère céleste par une conscience épurée de tous vices par l'intention et le respect, la modestie et tout bonnement l'honnêteté proverbiale.
18. L'union au Christ s'y précise davantage par le recèle de l'Évangile.
19. Les possibilités de l'Amour y sont garanties sur facture avec ou sans délais.
20. Car pour régner en maître, l'Amour a besoin d'un pouvoir adulte et maintenu de Dieu présent parmi nous.
21. Cette affaire nous concerne tous et n'admet pas de compromis.
22. Pour que la France vive.
Paris, ce samedi 2 août 2025, Bruno Cadou.