Depuis Jésus, nous sommes assujettis à admettre toujours plus de la raison qu'elle rend un compte probant de la démesure.
1. Depuis que nous devisons sur ces lignes offertes, nous comprenons toujours mieux combien nous sommes floués de nous-mêmes en tant que nation, au démérite d'une exaltation statutaire d'un mépris pour Dieu et les hommes finalement.
2. Le lien entre spiritualité et vie commune délivre son importance primordiale, et s'il n'est de fumée sans feu, il n'est également de rétribution du hasard par la queue.
3. Dieu veille avec intransigeance sur le tribut d'une vie supérieure, sans pour autant se démarquer de son identité.
4. Le vif intérêt sur lui porté nous démontre tout autant le respect que la recherche du pire.
5. Nous soulignons ces vérités pour ce qu'elle nous servent à éclairer nôtre propos.
6. Nous rétribuons avec solennité ou sans ces gens de passage, établissant de la nature du provisoire qu'il est fait pour durer.
7. Nous nous avantageons avec esprit en ressentant sur le parvis de nos Églises combien Dieu avait raison de nous doter d'une partition.
8. La garantie de nos succès à venir est ainsi établie, qu'à aucuns moments nous ne serons en paix sans en avoir le cœur net, il n'est d'aurore sans relâche, tout comme on ne s'abstrait pas du néant par un face à face avec soi-même.
9. Jésus est vivement intéressé par ces analogies dantesques entre le plaisir et le déplaisir confondues avec un manque de vénalité proverbial en politique.
10. Le principe même de nôtre à-propos est bien de renouveler par le sentiment l'approche raisonnée du dilemme d'aimer sans être aimé en retour.
11. Car de deux choses l'une, ou nous nous trompons de messe, à en devenir interdits, ou nous recherchons la sainte vérité qui s'y trouve pour en faire un miel abondant.
12. Ce monde de causalité n'est pas la résultante d'un accident, mais bien la tendance au farniente éclairée avec obligeance.
13. Nous devisons au demeurant sur la misère du monde en perdurant à croire qu'elle n'a d'autre sens que de nous imposer un dialogue dont nous ne sommes pas dignes sans y perdre au change.
14. Jésus serait trompé qu'il ne serait pas à même de nous le faire remarquer.
15. Les stigmates de nôtre devenir sont ainsi apposés, qu'il n'est d'apothéose rêvée par nos argonautes du bien, sans un mal pour nous lier plus que jamais au trouble infini de l'univers endurci.
16. Nous remercions le Christ solennellement de nous délivrer de la guerre en nous proposant la liberté d'échanger sereinement.
17. Tandis que le même Christ s'empare de nos valeurs pour en étourdir les avenants du mérite de la proximité.
18. La guerre est injuste quand elle est recherchée, brutale quand elle sied, et bouleversante quand elle est définie par son indignité.
19. Nous ne sommes toujours pas de cette façon revenus de la deuxième guerre mondiale, que nous échafaudons le principe de la troisième sur celui de la résignation, échapper à la conjuration du mal pour en altérer les excès visibles au demeurant.
20. Nous satisfaisons aux critères de la perplexité, avantagés que nous sommes par la distance des faits et le peu de cas admis à faire de nos agissements pseudo bourgeois.
21. Nous veillons et nous prions pour en finir avec l'école et ne plus y revenir.
22. Pour que la France vive.
Paris, ce lundi 4 août 2025, Bruno Cadou.