Démocratie et humilité.

  Depuis Jésus, nous correspondons avec Dieu le Père sur la question d'être digne de la civilisation.


  1. La Démocratie par voie de conséquence parait être un chemin tronqué de réminiscences funestes réalisant de l'apartheid qu'il ne convient pas, et du travail salarié le contraire.
  2. En effet, la démonstration est faite d'une impunité de la matière, mais pas de son dynamisme sourd, qui lui se ressent, nous dit-on, des miasmes de nos engeances respectives, de nôtre manque de considération, pour le beau et le vrai.
  3. Jésus n'était pas atteint par le sida mental, puisque c'est bien après lui rappelons-le qu'un fin et honnête orateur fit pour un temps de cette notion son loukoum de service, négligeant par trop de sévir sur lui-même, avec douceur toutefois, plutôt que sur autrui.  
  4. Jeanne D'Arc aurait eu des rides en vieillissant, mais ce n'était pas une raison de la conduire au bûcher. 
  5. Si par devant les frontières de la guerre nous soumettons nôtre entendement à la gabegie atteinte, c'est en vain chers concitoyens que nous pérorons sur nos chances d'y survivre.
  6. En d'autres termes, s'il est une chose à faire, tout comme pour éviter d'aller à la messe quand cela est indiqué, elle tient bien mesdames et messieurs les représentants de l'État de soustraire du regard de Dieu nôtre légitime colère en lui proposant nôtre légitimé tout court, non seulement pour en modifier le sens au besoin, mais tout autant pour sévir sans méchanceté avec le propos d'en être, pour nôtre sort commun.
  7. L'attelage démocratique s'entend sinon d'un esclandre perfectionné, sans autre intérêt que d'en démontrer les possibilités humiliantes pour le tout venant, pilosité des requêtes, abandon de la foi chrétienne en une réminiscence du Pardon par la Providence, célébrations couardes et vaines de satisfactions niant l'intelligence de ce propos, de toute évidence. 
  8. Si monsieur Trump demande la Paix, donnons la lui, puisque de toutes les manières, rien ne pourra changer la donne céleste.
  9. La Démocratie, c'est aussi cela, pardonner à autrui d'être génial et d'en profiter.
  10. Mais pour nous qui veillons et prions encore et encore à cette fin de ne point entrer en tentation, la pudeur nous quémande pour une droiture exempte de touts sacrifices.
  11. Gageons de parvenir ainsi au pouvoir, sans pour autant démériter de la Grâce, humiliés par Elle et non par de vains propos.
  12. Pour que la France vive.





  [Intendance militaire.]

      Paris, ce vendredi 17 octobre 2025, Bruno Cadou. 

Monsieur Claude Malhuret, sénateur, lauréat du prix "Shame on you!"





  Depuis Jésus, ce prix nous manquait dans le Royaume, il récompense cet élan du coeur qui rendant agressif et sans honte aucune, représente une réussite dans l'art oratoire en matière de diplomatie politique.

  1. Le lauréat se doit de reproduire ainsi la valeur militaire au civil du grand Charles de Gaulle, qui savait lui s'abstraire de toute vilenie pour entendre de la France sa grandeur en situation
  2. Le cocardier et savoureux sénateur Claude Malhuret se fait remarquer par un talent à l'épreuve de toute absence de reconduction. 
  3. Brillant comme un humoriste acéré, il est à même de restituer d'une inspiration divinisée, sa valeur intrinsèque sédentaire et à valeur ajoutée.
  4. La cadence infernale de son allocution fait plaisir à voir, et lors de son audition ici dans nôtre bloc, il a ravi l'état-major à valeur militaire ajoutée.
  5. Son appartenance à un mouvement qui se défie d'être libertaire, en reprenant le schème du refus de toutes imprécations qui ne lui seraient pas destinées, libère cet engouement pour le titre suscité, "Shame on you!" que visiblement le grand Charles n'aura pas pu chanter.
  6. Cependant, les difficultés demeurant ce qu'elles sont, la description du bourbier dans lequel nous peinons, s'impose et nous enchante.
  7. Si les desiderata politiques auquel telle une victime, nôtre sénateur s'attache, ne sont pas fatalement les nôtres, il convient donc de saluer l'infinie tendresse dont il fait preuve en libérant de l'Amour qu'il tarde à exister.
  8. À l'écouter, on s'éprend de le voir œuvrer prochainement au sein d'un gouvernement de rupture.
  9. Monsieur Lecornu n'était pas visé, mais cité dans un profond respect de sa personne, sans quoi il serait d'ores et déjà décédé, le pauvre.
  10. La politique bien malheureusement requiert tout autant ce type de vergogne mâle pour redorer à la hache ce don que nous perdons sans fin et sans raison de vivre ensemble entre français.  
  11. Gageons de célébrer encore maintes et maintes fois le talent de nôtre sénateur, et qu'il soit ici remercié, loué et prorogé de belle manière.
  12. Pour que la France vive.






      Paris, ce mercredi 16 octobre 2025, Bruno Cadou.
 

La réussite de monsieur Trump.

  « Ta justice est comme les montagnes de Dieu, Tes jugements sont comme le grand abîme. Éternel! tu soutiens les hommes et les bêtes.» 
 
          Psaume 36, verset 7.

  Depuis Jésus, bien souvent, nous conversons avec Dieu sans bien nous en rendre compte.


  1. La diligence avec laquelle l'actuel Président des États-Unis, monsieur Trump, favorise la Paix au Moyen-Orient est pour nous spectaculaire, inatteignable, et il nous faut bien le dire, rêvée sur le thème des vertus. 
  2. Mais rien de plus concret, de plus conséquent sur ce thème de la paix ne pouvait être envisagé, et en ce sens monsieur Trump s'est montré infiniment digne de sa fonction.
  3. Il nous faut le redire, l'imiter relève d'une absolue impossibilité, à moins d'égaler son envergure et sa vitalité, un peu comme le Führer l'a démontré dans cette direction opposée qui a plu également, et ce quoiqu'on en dise, au Ciel et sur la Terre.
  4. Jésus n'est pas stupéfait par l'appréhension du peuple hébreux en regard de la sanction laudative d'un tel exploit, il y faudra la retenue des otages libérés, leur témoignages à venir avec le temps voir les années sur la guerre et ses nécessités.  
  5. Mais pour nous qui vivons au loin, des ces terres en mouvance, la paix est une histoire qui regarde Dieu en premier lieu, pour en établir la certitude, la rectitude imposée.
  6. Or les peuples ne varient pas aussi rapidement que cela le nécessite, et nous le savons que trop, pour autant la sagesse ne proviendra jamais du péché originel et de sa tutelle maladive ou circonstanciée. 
  7. Aussi demeurons nous dans une expectative mystique de l'ordre de l'évolution du Facom en regard du déliement gordien.
  8. Ce que Dieu nous demande est inscrit dans la Bible, et pourtant Dieu nous manque encore terriblement pour nous accompagner fort et clair.
  9. Ce registre vertueux qui accompagne la mystique du travail en est le point d'orgue que nous soyons musulman ou pas.
  10. La difficulté est donc située ici bien arbitrairement par ces récents évènements pacificateurs.
  11. Gageons de ne jamais nous affranchir d'une progression céleste dans le contrôle des événements à venir.
  12. Pour que la France vive.







      Paris, ce mercredi 15 octobre 2025, Bruno Cadou.

La modification du devoir.

   Depuis Jésus, nous nous devons de correspondre à ce qui est attendu de nous, ou pas.


  1. Être français suppose bien plus qu'il est dit de satisfaire à cette obligation de patriotisme inscrite dans le registre de l'Histoire guerrière, voir militaire de nôtre pays, pour lequel Dieu voue une franche admiration.
  2. L'indication de servir l'État lui succède avec ce sens infini de ne jamais déroger à nôtre souveraineté, puisque pour le principe, Dieu, et Dieu seul en fixe la réalité.
  3. Le sujet de plaire à Dieu est bien, même pour le profane aujourd'hui, le thème majeur d'une excellente démarche intuitive.
  4. Et pour cette raison, nous devinons sans cesse qui est qui et pourquoi, dans le registre de l'activité politique.
  5. Le flou entretenu en vue du déliement gordien, laisse des traces apparemment indélébiles qui, atterrantes pour nos alliés, entretiennent l'idée d'un État nation irrévocablement compromis par la disgrâce.   
  6. Puisque l'on n'y travaille pas en haut lieu pour plaire à Dieu, mais bien plus pour lui déplaire.
  7. On n'y sert pas de causes nationales, pour se situer dans un attentisme antifrançais considéré comme la soupe à l'oignon d'une majorité atteinte en politique.
  8. Les français ont toujours plus de mal à enterrer leurs vies de garçons, et nous persistons à vendre à l'étranger un modèle situé dans la réussite au motif de son refus des valeurs refuges du passé, d'ordre spirituel ou du registre de l'expérience.
  9. La France va mal et cherche sans complaisance à nouer avec la réussite un compromis sis sur l'oisiveté mentale du pouvoir, éprouvée par des années de discordes multiples et concordantes.
  10. Puis elle s'assagit à l'idée d'être novatrice en imitant de Dieu sa supposée sagesse, et surtout en en modifiant les contours.
  11. La volonté divine est ainsi rangée dans la boîte à gants, tout comme les cartes désormais considérées comme inutiles au besoin.
  12. Pour que la France vive.





      Paris, ce mardi 14 octobre 2025, Bruno Cadou.

L'humilité créatrice d'intérêts.

   Depuis Jésus, le sujet de plaire à Dieu est devenu une foire d'empoigne.


  1. La France a besoin d'État, et cette mesure s'applique difficilement à une nation gouvernée sans égards, dirions-nous, pour Dieu, Dieu de la Bible, des chrétiens.
  2. Et s'il est une mesure non équivoque en regard de nôtre devenir national commun, voir européen ou mondial, elle relève bien évidemment d'en comprendre la notoriété par la réussite, et non par un calvaire imposé à tous au nom d'une trahison imposée de la volonté divine.
  3. Or l'endettement supposé et réel de la France, relève de cet imbroglio d'un manque de foi totale déclaré en haut lieu en la Grâce, en la Providence, étant entendu que de telles réalités sont exemptes d'inexister en vérité.
  4. L'idée reçue selon laquelle les «laïcs» au pouvoir recevraient de l'inspiration les lumière du 18ème siècle uniquement, tel Badinter inspiré par sa proximité avec les révolutionnaires selon E. Macron, tandis qu'il abolissait la peine de mort, ce qui parait tout de même paradoxal, mais non équivoque, est un esclandre de plus, car «Ces gens croyaient en Dieu, et aux forces du mal.»
  5. Le siècle des lumières doit beaucoup à Louis XIV ou à Bossuet, en particulier dans sa préparation, et le divin Condorcet était divin, qu'on se le dise charitablement.
  6. Le maintien suave de l'ordre public, le respect de la vie religieuse authentique, de la vie spirituelle de même, rendaient impossible en vue du déliement gordien le maintien de la Monarchie et donc pour les Révolutionnaires celui de la Couronne.
  7. L'élaboration d'un monde plus «intelligent» nous le comprenons aujourd'hui encore, nécessitait la suppression des «privilèges».
  8. Jésus maintient le cap d'une Bonne Espérance, et revêt pour la cause d'être tributaire de la Providence pleine et entière.
  9. Cet attachement biblique à la volonté de Dieu le Père lui vaut une presse délirante sur la pauvreté nécessaire des nations, en vue d'une Église pauvre au service de la pauvreté.
  10. Comme quoi quand on est minable, on ne se rachète pas fatalement par l'exercice du pouvoir.
  11. Gageons de réussir ensemble, sans cesser de conquérir de cette humilité nécessaire, celle du Christ Roi, un petit peu quand même.
  12. Pour que la France vive.





      Paris, ce lundi 13 octobre 2025, Bruno Cadou.

  Post scriptum, en matière de pauvreté, et donc d'endettement, l'attentisme est de première grandeur, il est négligé en France politiquement, au motif de respecter l'engagement pour les libertés, toutes les libertés. Or la réalité nous rattrape, au motif de combler ce vice, auquel même l'Église succombe, et pas seulement l'État, ou la notion d'État édulcorée.
  Nous veillons et nous prions à cette fin de ne pas enter en tentation, pour cette raison d'en découdre avec sérieux, cérébralement et spirituellement. Et finalement, fuir la notion sempiternelle de péché originel provoque ce trouble mémorable, et signe de décadence avérée.    

La religion des criminels.

   Depuis Jésus, nous comprenons que l'admiration de la pauvreté ne révèle pas la présence du Christ pleinement.
  

  1. Nous sommes déclarés endettés, et d'une certaine manière, certes, nous le sommes.
  2. Mais nous le sommes pour avoir enfreint le code de conduite qui nous garantissait une franche liberté, une franche lucidité.
  3. L'atteinte à ces frontières correspond bien à l'idée de prévaloir sur Dieu dans ces deux domaines, la liberté et la lucidité.
  4. Nous nous prévalons de bien le connaître, pour cette bonne raison de lui être infaillible, et nous nous éloignons de toute comparution, de même. 
  5. Ce qui nous vaut aujourd'hui d'entendre combien nous comparaissons, relève de cet abord relatif de la vie pleine et entière par laquelle nous commerçons tous, pauvres ou pas, avec la transcendance.
  6. La pauvreté est un stigmate pur du péché originel, et en cela, la combattre décemment est une réussite prodigieuse de nôtre monde moderne, qui pour cette raison renouvelle sans cesse son abord à l'aune de son pragmatisme éprouvé.
  7. Mais pour la même raison, la pauvreté est aussi une quête incessante du prodige d'en convenir pour celles et ceux qui comprenant de Dieu qu'il n'a pas clos son dialogue avec les pécheurs sur cette question, considèrent de toute évidence qu'il est loisible de passer outre son bon vouloir.
  8. Et pour cela, en attendant le déliement gordien, nous avons faibli tous ensemble dans cette direction, y compris à la manière de l'Église qui tout bonnement se perd en tergiversations oiseuses déterminant de Dieu et de son Christ tout particulièrement qu'il n'a finalement jamais inventé la roue à aubes.
  9. La raison en est le maintien du dialogue sur l'origine du pouvoir, son organisation, son maintien, en lieu et place du travail, par les Évangiles, la tradition du farniente, et la subrogation de la Grâce au culte du phallus autant que faire se peut.
  10. Cet abord incessant par nécessité de la divinité, ne relate pourtant jamais le travail de Dieu parmi les hommes.
  11. L'union à Dieu par Marie nous a fait découvrir personnellement combien Dieu anime concrètement la vie du monde, la menant vers sa perfection, malgré tout ce qui est produit pour en dénigrer l'attachant augure, assurément.
  12. Pour que la France vive.








      Paris, ce dimanche 12 octobre 2025, Bruno Cadou.

  Post scriptum, les Évangiles ne remplacent pas les Psaumes, ne développent pas la spiritualité du travail bien fait. Nous apprenons sans cesse de cette difficulté particulière, de son origine juive pleine et entière. Les juifs traditionnellement abhorrent le travail bien fait ce pourquoi il est quasiment impossible pour Jésus d'en parler.  

L'adjudication du réel et l'activité gouvernementale.

  Depuis Jésus, on ne cesse de prêcher pour l'adjudication du réel en lieu et place de la Bonne Nouvelle du Salut de tous.


  1. La tentation de l'orgueil décrite dans les catéchismes bien avant Vatican 2, n'est pas plus à l'ordre du jour que le fait d'y penser, l'investissement de soi le suppose, et l'arnaque d'y mêler la France entière devient l'assurance d'une déontologie de la légitimité technique, dont même Dreyfus n'avait pas osé rêver. 
  2. Jésus devrait se repentir d'oser penser être quelqu'un pour nos vies, nos consciences, nos actions.
  3. Mais le fait demeure, en haut lieu, la pensée suggère le déni de Dieu, mais pas de son appétence pour l'influence nécessaire, celle qui décape, fait la différence, arrange tout autant.
  4. En d'autres mots, au pays du farniente, on préfère non pas servir Dieu, mais que Dieu nous serve.
  5. La résultante d'une telle programmation se résume comme suit, un être de pouvoir est avant toutes choses un exemple de modélisation de l'engeance en cours, et le contraire nous aurait étonné.
  6. Aussi ne s'aperçoit-on pas ou peu de l'intérêt porté par Dieu à ceux qui le reconnaissent. 
  7. Tout au moins nous ne nous estimons pas responsables d'une telle nécessité d'en convenir, et d'en bénir l'augure.
  8. La stagnation du principe inertiel y trouve son algorithme aussi surement que peu se destinent finalement à devenir d'authentiques professeurs de mathématiques.
  9. Jésus se rassure, non pas en promouvant des lois sur la pauvreté, mais en se dégageant d'elles pour innover et tourner la page.
  10. La pauvreté est un fruit du péché originel, et même la laïcité en comble inlassablement aujourd'hui peu ou prou l'opprobre en admettant toujours mieux le comprendre.
  11. Mais ce que nous cherchons, la véritable dynamique du pouvoir, pour une constance éprouvée à l'aune du travail par la durée et l'exemplarité, n'est pas ce qui est quêté par la méthode employée pour l'heure.
  12. Pour que la France vive.








      Paris, ce samedi 11 octobre 2025, Bruno Cadou. 

La vérité nous situera.

   Depuis Jésus, les pauvres nous accablent.


  1. La pauvreté est un «business», dont l'altérité comble les processeurs voués au dénigrement de la Justice, et pour cette raison, dans un univers christianisé, par les Psaumes, par les Évangiles, nous retenons de la défiance qu'elle se pare de la vérité supposée par tous en apparence.
  2. Nôtre Pape Léon XIV dans son exhortation apostolique «Dis l'excité !», fustige l'appropriation du monde par la réussite industrieuse et libérale, au motif d'un manque de respect pour la misère, et nous dirions, pour le culte de la misère.
  3. Nos instances gouvernementales peinent à entendre du joli propos du Maître du barreau de genre féminin, brillante et élégante, devant le Panthéon et la Faculté de Droit hier au soir, son indication a contrario de voix obscurcies par le simple principe d'appropriation de la primauté de la parole par faits et gestes en lieu d'une concertation d'usage avec le Christ incarné. 
  4. La liberté se pare d'un droit à la parole travaillé par le doute et la suspicion, méconnaissant de la volonté divine son double projet d'humilité transactionnelle et de tradition décrite.
  5. C'est dans ce contexte que les nations travaillent à anoblir le vie terrestre, en y parvenant tout de même infiniment plus qu'il est dit.
  6. Oublier cette vérité nous situe dans une obédience de repli sur soi mensongère et peu amène en vérité.
  7. Dieu est puissant sur cette Terre, et n'oublie personne.
  8. Mais pour ceux, bien évidemment, qui se destinent à ne jamais travailler, la difficulté est doublée d'une inutilité de tant d'efforts.
  9. Supposer un «vivre ensemble» dans ces conditions, revient à attenter à la réussite même en la décriant d'ores et déjà tout autant.
  10. Nous ne pouvons plus entendre tout et n'importe quoi.
  11. Nous sommes dans un besoin de «vrais et grands» juristes, pour lesquels le Facom de la parole soit libéré, et nous sommes disponible pour cela, bien évidemment, merci Maître.
  12. Pour que la France vive.








      Paris, ce vendredi 10 octobre 2025, Bruno Cadou.

  Post scriptum, le «remix» incessant à l'encontre de l'antisémitisme revêt ce caractère de parjure inconditionné, si ce n'est par le péché originel.

L'humanisme est le sceau d'un monde triste, d'un monde brisé.

   Depuis Jésus, nous cherchons à comprendre poliment où Dieu nous mène avec les juifs.


  1. Après avoir entendu la plaidoirie d'Emmanuel Macron ce jour au Panthéon pour l'intronisation de monsieur Robert Badinter, deux réflexions, que nous ne garderons pas pour nous, nous viennent à l'esprit.
  2. Dieu est-il si peu avenant qu'il faille absolument ne jamais en relater la prévenance, instaurer la valeur supérieure de l'humanisme, hisser les lois au-dessus des siennes.
  3. Secondement, est-il si simple clairement, de s'adresser aux français en gommant ce que chacun perçoit avec plus ou moins d'habileté certes, des prémisses du non-droit, dont monsieur Badinter se faisait l'arbitre sincère.  
  4. L'adjudication du réel en cours favorise l'immigration de masse, en particulier en provenance des mouvances animées par l'Islam pour lequel le non-droit, incarné par l'abolition de la peine de mort tout particulièrement, est messager d'un monde possible à abattre.
  5. S'il est bon d'entendre la nécessaire progression des mœurs d'État, si a contrario en attendant que celle-ci soit suffisante, il est bon d'omettre de tuer au nom de la Justice, il n'en demeure pas moins vrai que cet homme ainsi solennisé revêt une part d'ombre. 
  6. Refuser de l'admettre, c'est entendre bien peu le niveau d'émancipation de nôtre conscience collective française. 
  7. C'est aussi plaider pour une «judaïsation» des usages et des coutumes de par le monde.
  8. C'est donc promouvoir le crime en le dirigeant par l'ultraviolence dont on se dit si curieusement tant responsable par définition. 
  9. Nos hommes d'État ont cette gageure de défendre le Droit, par la notion d'État de Droit, en commettant l'acte irréfléchi d'en flétrir les nuances.
  10. La raison en est fort simple, pour un temps encore, ils en sont également le plus souvent les profanateurs rémunérés.   
  11. Cette intronisation excédentaire revêt pour cette raison un aspect funéraire et rien de plus en vérité, bien malheureusement.
  12. Pour que la France vive.






      Paris, ce jeudi 9 octobre 2025, Bruno Cadou.

  Post scriptum, la lecture «a contrario» du discours présidentiel au Panthéon est aisée, sans bien même nous le supposons que monsieur Macron en soit conscient valablement.

Panique à bord.

   Depuis Jésus, rarement nous avons eu à reprécisé les choses . . .


  1. La politique est une aventure dont l'intérêt premier consiste en la légitimation de l'exercice du pouvoir avec ce compromis compromettant de plaire.
  2. L'assiduité humaine dans sa spontanéité première relègue la fidélité des relations aux conventions guerrières d'autrefois, et pour ainsi dire la seule suspicion itère la probabilité d'une scission.
  3. La fornication fait ainsi partie intégrante de la grandeur en politique, puisque c'est en définitive par un manque de foi en Christ que nôtre vie d'État pour l'heure en subit le joug.  
  4. Mais l'absence de moniteur visible pour en réguler l'apparat étant la règle, le non-droit en particulier fait circuler les nombreux amendements à cette démarche qui sans eux n'évoluerait pas, semble-t-il.
  5. En d'autres mots, nous rêvons de progrès en comptant sur une délinquance de fonction pour en établir le charme come par devers elle.
  6. Ce «système», puisque c'en est un, est celui imposé par le péché originel.
  7. Mais dans ce contexte d'un univers élaboré qui lui correspond toujours moins, nos acteurs en politique conviennent trop simplement d'en oublier les lois anciennes, immuables et définitives. 
  8. La liberté de parole est une entrave supplémentaire, puisqu'elle qualifie le politicien, mais également, l'oblitère de manière conjoncturelle.
  9. En d'autres termes, à tenter «d'envoyer du lourd» avec ou sans raison, on persiste peut-être à s'affranchir de limites dangereuses pour l'âme et le corps.  
  10. La supériorité est un marquage ancien, avec ses enjeux, que l'outrecuidance n'arrange pas forcément, et que Dieu, éternel second rôle dans le milieu, ne soutient pas fatalement.
  11. Gageons d'être et de demeurer prudents, pour ne pas disparaître ou ternir la scène politicienne sans raison apparente.
  12. Pour que la France vive.





      Paris, ce mercredi 8 octobre 2025, Bruno Cadou.

  Post scriptum, le rêve d'une coalition en politique, sans Dieu, épouse par voie de conséquence le mode du fascisme, celui-là même reproché à la monarchie rétrograde. 
  Une vie d'idéal en politique fait place à un pragmatisme de «couronne», celle-là même prétendument acquise par le vote, la légitimité démocratique. 
  La finalité de tout cela itère un mode d'existence compris par le pays, et jugé également par lui aux yeux de Dieu, cf. l'impact de même nature de la Shoah.
  La résilience de ce mode bouddhiste d'élaboration de la «loi» française par l'abus et l'emprunt, dévoile une propension au fascisme d'époque, au fascisme mou. 
  Dans ce contexte, les «règles» deviennent moins certaines tandis que Dieu lui ne varie absolument pas, d'où cette mise en garde.

  

À l'heure du bilan.

   Depuis Jésus, le concept de la prise de parole, redevient celui de Jésus, inaltérablement. 


  1. L'aujourd'hui de la France peut laisser pantois, tant il est vrai que désormais, nos orateurs tant politiques que scripturaires réitèrent sans cesse de leur destinée qu'elle est injustement propice au pire.
  2. Il en est même qui vont jusque sur YouTube imprimer qu'ils en sont, si cela était encore possible.
  3. La décadence ambiante est l'aspect visible d'un mal-être qui court depuis bien avant la Révolution française, pour laquelle nous avons le mérite d'entretenir le principe supposé clair pourtant du progrès.
  4. Jésus est satisfait de ce marasme, délivrant ce message essentiel d'un manquement cultivé à l'authenticité, tant des mœurs savoyardes que des délits d'opinions projetés. 
  5. Nôtre pays se souvient encore d'avoir un passé, mais beaucoup moins communément un présent.
  6. La faute en revient au principe cul-terreux de la succion du jonc pour laquelle l'incompatibilité avec le saint Évangile a été prononcée par Dieu, comme définitivement.
  7. Puisqu'en effet le recrutement d'une force majeure dans le pays, pour se présenter devant les suffrages, suppose une abolition de pudeur incompatible avec le décence, le résultat, en plus d'être criminogène, retient d'en rire par son adduction du mensonge et du pire.
  8. En d'autres termes, que nous le voulions ou non, nous vivons du bonheur d'établir la volonté divine, un cul-de-sac retentissant, et nôtre soif de voir prorogé ce statut de délinquance au-delà du temps rencontre la barre supérieure de l'anéantissement. 
  9. Jésus n'est plus d'accord pour payer les pots cassés, . . .
  10. Devant tant d'atermoiements, de crédibilité défaite, que reste-t-il, sinon encore un espoir. 
  11. Puisqu'effectivement, la Sagesse a construit sa maison pas très loin d'ici.
  12. Pour que la France vive.



      Paris, ce mardi 7 octobre 2025, Bruno Cadou.

  Post scriptum, l'importance concédée au vis, en situation, est relatif à certains critères, dont l'affirmation de soi n'est pas le moindre. Il est douteux de ne pas se tromper sans avoir prier.

Pris au piège - Caught Stealing - Réalisé par Darren Aronofsky.

  Depuis Jésus, jamais on avait porté ainsi à la connaissance de tous une telle évolution du Facom juif.


  1. La très charmante madame Zoë Krawitz, s'impose mortellement à l'écran, dans une tragédie sans caractère bucolique, à cette fin de nous montrer, puisque cela est nécessaire, que l'abandon de l'Amour finit toujours par rendre débiteur tout un chacun désormais.
  2. Nous n'étions pas préparé à une telle aventure, confortablement installé dans nôtre vie douillette, et pourquoi pas, sécurisée.
  3. Cependant, la venue de l'obligation de tuer, de rendre des comptes, sonne à la porte de cet homme qualifié pour une telle démesure, ce que nous ne sommes pas, bouleversant la donne comme toujours dans un tel mélo.
  4. L'Amour et la mafia font rarement bon ménage, et la restitution de l'ambiance en cours surpasse le simple talent d'une bonne et vraie réalisation.
  5. Le sujet de voir débarquer nos deux «juifs orthodoxes» est amené comme au théâtre avec beaucoup de circonspection, comme un couronnement statutaire, après l'intervention musclée savoureusement de la mafia russe.
  6. Il nous faut comprendre en priant, que jamais l'on ne voit mourir ainsi des juifs sans cette propension suicidaire propice, comprise manifestement par nôtre acteur de génie local, de génie américain.
  7. La cause en est de l'incidence de tels dégâts, ce dont abusent nos deux mafieux.
  8. On ne revient pas simplement de l'importance première de la communauté juive pour conduire de la délinquance mondiale son succès.
  9. Avec le déliement gordien, le sceau en est rompu.
  10. Un film beau à voir. Un film inoubliable, merci Zoë.





      Paris, ce lundi 6 octobre 2025, fête de Saint Bruno, Bruno Cadou. 

Libre Échange - réalisé par Michael Angelo Covino.


  La Providence en Amour a besoin de Cinéma.


  1. Depuis Jésus, nous rêvons d'être et de vivre comme en Paradis, tels des anges qui ne sont pas déçus, par nécessité pour certains, par ambition pour d'autres, par engouement pour la joie pure pour les cœurs purs et ceux pour lesquels ces réalités sont accessibles . . .
  2. Ce projet porté à l'écran revêt cette abstinence de méchanceté propice à une mise au point provisoire et salutaire sur nôtre devenir érotique.
  3. Il met en scène deux grâces de l'Amour en la personne de madame Dakota Johnson, et la belle personne également de madame Adria Arjona, l'une comme l'autre ayant débuté en Amour bien avant l'ère chrétienne manifestement.
  4. Les protagonistes masculins, ne sont pas comme l'on pourrait à tort s'y attendre des êtres supérieurs incarnés, ils charrient la donne simple de l'Amour involontairement, avec docilité même, mais avec cette entretien savoureux d'une illusion, celle d'une perfection vécue, improbable, mathématique, et sans autre finalité que l'éternité de jouir éternellement d'une vie bourgeoise divinement.
  5. Cet acte de courage leur vaut de passer à l'écran en succédant à David Carradine, pour lequel l'attraction érotique était un masque sans dommage frontal, finalement.
  6. Ces êtres pétris de décence cinéphilique vont s'affrontant à coup de décisions d'adultes à l'esprit aiguisé, réduisant la difficulté d'aimer à l'aune de leur propre pragmatisme lourdement soutenu. 
  7. Ce film n'envoie pas du lourd, et c'est tout ce qui fait son charme.
  8. Nous n'avons pas fatalement les réponses qui conviennent en lieu et place de nos acteurs courageux et volontairement ambitieux.
  9. Mais toutefois, nous percevons chez les hommes, un manque de passé monastique, que semble traduire un manque d'expérience professionnelle «bancaire» réussie, contrairement aux dames que l'on peut pour cette raison révérer sans pleurer pratiquement à genoux.
  10. Le film pour cette raison emprunte la pente dangereuse de l'échec, que redoutait tant dans ce domaine feu David Carradine, et qui finalement traduit de cette comédie son honnêteté joviale éloignant tout de même un burlesque incongru.
  11. Ces acteurs masculins sont bien plus intelligents que leurs passifs respectifs, et cela fait enfin plaisir à voir.
  12. Un film courageux, comme toujours quand il s'agit de plaire par l'Amour. Un film planant, révoltant, barbare, choquant, trop imparfait, mais réussi, merci.










      Paris, ce samedi 4 octobre 2025, Bruno Cadou.
 

67ème anniversaire de nôtre Cinquième République. (2/2)

  Depuis Jésus, nous apprenons encore à rendre à César ce qui est à César.


  1. L'évolution du Droit constitutionnel français ces trois dernières décennies, marque une volonté d'éloigner la France de son identité réelle.
  2. Mais pour autant, créer ainsi un état de siège de nos institutions, de nôtre État, n'a jamais autant démontré, non pas son innocuité, mais cet aspect mensonger de la gauche considérant non sans vergogne qu'un moindre mal est toujours un acquis revanchard.
  3. Le plagiat de nos institutions est même devenu le passage obligé de nos politiciens qui, d'origines souvent étrangères à la France en font un commerce licite en matière de prébende.
  4. En d'autres termes, on ne devient pas français, on l'était bien avant la naissance.
  5. Le stratagème simple d'une duplicité tenue pour preuve d'un engagement révolutionnaire ne soutient pas plus qu'il est dit la simple nécessité de pourvoir au quotidien, qui quoiqu'on en pense, demeure la pierre d'usure d'un tel sacrifice totalement inutile.
  6. La suppression de la peine de mort elle-même fait autorité pour en défendre la délinquance de par le monde, la France s'est fourvoyée, et il ne s'agit plus surtout aujourd'hui simplement de politique.
  7. Jésus retourne dans ses buts, Il ne manque pas de le comprendre.
  8. Nôtre constitution vieillit donc fort mal, et nôtre appétence pour un conseil constitutionnel issu d'une légitimité démocratique considérée comme le phare d'Alexandrie fait peine à regarder.
  9. On y parle peu de Droit, on ne s'y  emporte plus pour ce genre de raison, on s'y effémine au motif de plaire à tout le monde, en regrettant Madame Claude qui avait averti tout un chacun sur le sujet.
  10. La décence fait par trop place à une gabegie libérant de la crise de régime en cours son verdict, trop de Démocratie tue la Démocratie.
  11. L'absence de nos Maîtres en Droit, de Dieu ainsi présent parmi nous fait peine à voir.
  12. Pour que la France vive.






  [La vraie chose . . .]

      Paris, ce samedi 4 octobre 2025, Bruno Cadou. 

67ème anniversaire de nôtre Cinquième République. (1/2)

  Depuis la disparition du doyen Vedel, nous sommes sans nouvelles de Dieu.


  1. Le 4 octobre 1958, la France adoptait une nouvelle constitution, dont l'importance n'est comprise apparemment que par une cercle de poètes disparus.
  2. Monsieur le Président du Conseil Constitutionnel Marc Ferrand, rend un compte sidérant de la réalité vécue de nôtre constitution par trop considérée comme une fête du savoir et de la progression de la liberté par l'organisation de l'État, ou son dérèglement pourrait-on dire.
  3. Il se situe involontairement, mais avec franchise et mérite, dans cette allégorie burlesque de la notion d'État laïque élevée au-delà des consciences, du bien et du mal, de Dieu lui-même. 
  4. Car pour nous, ce texte par trop remanié dès l'origine, n'est qu'une expression nécessaire mais adéquate à cette période de décadence, que nous vivons avant puis secondairement après le déliement gordien.
  5. La principe de laïcité démontre ses limites, et s'il est bien délicat de prendre la plume pour en rallier la cause avec honneur, mérite, en transmettant un contentement justifié, la raison en est qu'à lui tordre le cou, on s'allie au satanisme éprouvant des révolutionnaires pour lesquels la justification de leurs actes passait bien après leur goût premier pour le sang.
  6. La fellation consentie par la République aux arts premiers le démontre, nôtre notion d'État bat de l'aille aussi surement que nous en avons nul besoin.
  7. Pour le doyen Vedel, cette art d'évoquer la conduite de la vie nationale par le biais d'un Droit constitutionnel éprouvé en France, relevait de la monarchie du bon sens au sein d'un univers apatride, celui circonscrit toujours plus des politiciens.
  8. Il représentait un glissement de la réalité divine de la conduite des affaires de la France vers une affabulation, la transcription rendue plus que raisonnable de la volonté divine adéquate vers une opacité de défaillance programmée fatalement.
  9. Il nous reste son verbe absolument divin, pour lequel les interprétations vont de glissements en glissements, pour nous révéler ce que nous savons déjà, une appropriation par un «no man's land» de la notion de Législateur. 
  10. On est prétendument apolitique, pour évoquer la constitution, tandis que la chose n'existe pas, tout comme il n'est pas nécessaire, puisque c'est impossible, de s'abstraire de la volonté divine. 
  11. La progression en Droit sera marquée par un retour au sacré, ce qui rendra plausible d'écrire monsieur le Président, et vous en êtes digne, mais avec chasteté, comme toujours en Droit sacré.
  12. Pour que la France vive




  [C.Q.F.D.]

  [Trop fort.]

  
      Paris, ce samedi 4 octobre 2025, Bruno Cadou. 

  Post scriptum, c'est un secret d'État, mais nôtre adoré Doyen Vedel, d'habitude, est plutôt une Dame.

Cette attente.

   Depuis Jésus, l'attente du salut relatif des hommes passent par un reniement plus ou moins long.
  

  1. L'affermissement de la nomenclature autour du pot à valeur constitutionnelle de la déraison confirmée, la Démocratie, nous vivons de ces heures creuses confirmant s'il en était encore besoin combien un monde sans Dieu est un monde sans âme.
  2. Or un monde sans âme se retient comme une déchéance en cours, et qui plus est en l'occurrence entretenue par la disgrâce d'avoir à plaire, sans les moyens de l'authenticité pourtant requise, puisque les défaillances successives ont été reprises en cœur, maladivement, avec et sans dignité.
  3. Nous sommes contraints de réfléchir avec des bouts d'allumettes en tentant de rétablir la lumière sur nôtre condition commune sans cette satisfaction de voir Dieu aboutir, Dieu pourtant présent parmi nous.
  4. Jésus pour cette raison qui n'est pas unique, devient le symbole de cette satisfaction en attente, puisque finalement, nous n'avons rien fait de meilleur que Lui.
  5. Mais pour l'heure, la signification de nôtre attente revêt le sceau d'une incompréhension du monde controversée par l'attente voulue d'un fléau insoluble qui représenterait lui l'échec définitif de Dieu. 
  6. Les politiciens, acteurs ou journalistes, se tendent mutuellement le micro d'une attention au maléfice entretenu de cette abstraction du réel voulue plus que tout, puisque gardienne de leur caste, ou supposée telle toujours moins fort.
  7. Nous français, serions des rêveurs bien indignes d'une allégeance à nôtre cause pourtant dissuasive, d'un Droit fort, d'un progrès conséquent de la qualité de vie subjective et matérielle, spirituelle donc.
  8. Nous ferions obstacles, sans y penser peut-être, à des carrières en politique, confondues encore pour l'heure avec des démonstrations de jouissance en Droit.
  9. Nôtre avocate se fait patiente, et attentionnée pourtant
  10. L'assurance de la victoire pointe à l'horizon son ombre par le maintien d'une judiciarisation de nôtre vie civile rendue plausible toujours plus depuis le déliement gordien, puisque ce dernier défait le maléfice d'une contrainte retenant Dieu présent parmi nous d'agir par un respect biblique entretenu ingénument mais qui n'a plus de raison d'être désormais que «Minos» a confirmé ce que Dieu le Père avait compris de son entendement des Évangiles du Christ Jésus. 
  11. Il nous importe à tous de bien entendre que cette heure est chrétienne. 
  12. Pour que la France vive.



      Paris, ce vendredi 3 octobre 2025, Bruno Cadou.

Finlande et résilience.

  En Finlande aussi, la mode est à l'abstraction du réel.


  1. L'«Eagle S» aurait sectionné des câbles marins en laissant traîner une ancre au large de la Finlande, la nécessaire solidité des câbles marins rend la chose véritablement tragique pour un bateau, ce qui laisse entendre que le jugement annoncé du capitaine et de deux des membres d'équipage à Helsinki serait une fiction également, en fait de résilience.
  2. Le survol par des drones de la région de Copenhague fait référence à la possibilité de le faire de manière courante, dans un endroit du monde particulièrement propice à de telles observations qui plus est, le goulot d'étranglement maritime permettant la sortie de la mer Baltique s'y trouvant. 
  3. Le reflexe mitonné de rallier l'intelligence de l'OTAN à l'expérience du camarade Vladimir Zelensky sur le sujet, sent tout autant le souffre que ce sont les «ukrainiens» qui se sont lâchés dans l'utilisation de drones sur la ligne de front, qui elle existe, bien malheureusement. 
  4. Les finlandais n'en finissent plus de revenir de la guerre froide, de suggérer une menace russe, avec comme soucis premier de rallier une population à un devenir prétendument cartésien, mais rémunérateur également d'une oligarchie pathétique et cynique.
  5. Comme quoi l'on peut être français et aller voir mieux ailleurs, pour prendre des notes exhaustives sur l'art et la manière de conduire une mainmise démocratique de première grandeur, sans faire appel à l'immigration, et au coup de la vie qu'elle suppose abstraitement, de manière à ce que l'Europe ne nous charrie plus en ne cessant plus de nous déplaire.
  6. Le plus sérieusement du monde on nous annonce que l'Europe par voie de conséquence s'agite le popotin face aux allégations du Zig'oin'oin du Kremlin, nôtre Vladimir Poutine, le seul, le vrai, l'original.
  7. C'est dire si nous sommes dans des conditions très éloignées d'être optimales pour procéder avec une déontologie claire et racée.
  8. La notion de «flotte fantôme» est un reliquat de la guerre froide, qui n'est pas sans intérêt certes, mais masque mal le véritable soucis de l'Armée russe de revendiquer un sérieux de bonne facture.
  9. En d'autres termes on pérore, on brasse de l'air pour épancher son goût pour un sérieux de classe dirigeante, mais sans cesser de s'abstraire de communiquer avec les véritables dirigeants.
  10. La sécurité des nations ne s'établit pas sans Dieu présent parmi nous, et c'est bien le tort finlandais d'épouser le mode fallacieux issu de France sur le sujet.
  11. En fait de résilience il s'agirait plutôt d'entretenir le chaos propice.
  12. Pour que la France vive.





      Paris, ce jeudi 2 octobre 2025, Bruno Cadou. 

Procédure de Paix.

  Depuis Jésus, la Paix demeure une satisfaction carmélitaine, banalement.


  1. Nôtre Président des U.S.A., monsieur Trump, se fait fort de promouvoir la paix avec intelligence relativement aux territoires occupés en Israël par les juifs et les musulmans.
  2. Il est évident qu'il méritera le prix Nobel de la Paix, puisqu'après avoir tout vu sur le sujet, Dieu lui-même se doit de ne pas s'avouer vaincu, et monsieur Trump en convient avec beaucoup de conviction.
  3. Mais pour nous qui veillons et prions pour également ne pas entrer en tentation, quel bonheur tout de même que cette vocation, la thérapeutique indiquée revient tout de même à Dieu lui-même, qui après avoir inventé la soupe chaude et l'eau tiède, a également délié cette possibilité d'en atteindre le but sans oisiveté et sans mécréance.
  4. Jésus sera comblé de voir la Terre de son enfance rejointe par l'acédie du transport inutile vers le fascisme des formes, ou la péremption des avilissements par la force des choses.
  5. La Rédemption est ainsi faite que Dieu peut rendre relatives les motivations non exemptes de tout attachement au péché originel.
  6. Comme quoi l'on peut être juif et comprendre que l'on est musulman un peu plus loin et vice et versa, non pas que personne ne s'en doute.
  7. Le compromis d'habiter le Terre Sainte n'efface pas le devoir de réserve.
  8. Bon courage à tous.





      Paris, ce mercredi 1er octobre 2025, Bruno Cadou. 

  Post scriptum, les tankers «russes» sont des lapins, le sous-marin qui a produit les drones, non. Les militaires à l'origine de cette addiction sont innocents. . . excellents.

Crédibilité politique et orientation du pouvoir.

  Depuis Jésus, nous comprenons que l'orientation du pouvoir peut falsifier le principe d'une crédibilité politique.


  1. La religion chrétienne, est une religion pour cette raison de marquer l'Histoire en regard d'un commerce entre Dieu et les hommes, imposé par ces derniers, et falsifiant trop aisément toute crédibilité céleste.
  2. Le péché originel représente en soi l'inaccessibilité à une tolérance mutuelle, et ce combien même celle-ci serait fondée sur le pardon des fautes.
  3. Le rejet en soi de toute religion, entendu la chrétienne, est par ailleurs le fer de lance de nos argonautes de la déception au pouvoir, qui manipulant de la légitimité son pré carré pour en faire un boudin de circonstance constant, se présentent désormais comme les représentants d'une France libre.
  4. En somme nôtre liberté ne s'achète pas, mais quand on est en politique, c'est tout le contraire.
  5. Jésus aura beau dire, des siècles de prévenances pour aboutir à un tel résultat, pour des gens avides d'argent, de pouvoir et de violence, est un fiasco bien compréhensible, mais un fiasco quand même.
  6. La Démocratie sensée tempérer cet aléa arbitraire ne fait qu'en amplifier le désastre par une adjonction voulue par ces mêmes artistes de la falsification, eh oui encore une fois, la falsification du Droit.
  7. Puisque si la liberté représente un enjeu, le Droit en fait son serment, ce ne sera pas sans Lui.
  8. Nos politiciens, nos activistes médiatiques, articulent leurs existences sur les possibilités de convenir d'un Droit facilitateur, ce que chacun peut comprendre au détour de sa propre existence, et ce quelque soit son secteur d'activité, ou ses besoin en santé par exemple.
  9. Plus récemment l'on voit ressurgir l'impôt sur la fortune, indiquant d'une dématérialisation de la réussite, une probable engeance emprunte de vénalité pour en reprendre le prestige.
  10. Jésus n'est pas dupé par de tels sortilèges, puisque même l'Église en fait une consommation effrénée pour établir par l'élection supposée spirituelle un ascendant véridique et crédible si possible. 
  11. Gageons de sortir de cette mélasse par une ostentation prévenante pour le Droit, formalisée par un ressort moins conjoncturel de cette science du compromis sans compromis.
  12. Pour que la France vive.






      Paris, ce mercredi 1er octobre 2025, Bruno Cadou.