Le rêve culte d'être premier ministre.

  Depuis Jésus, le premier ministre est toujours voué aux tâches ménagères. 


  1. La sagesse au pouvoir n'est plus aujourd'hui une attente à la fois spirituelle et pragmatique, elle est considérée comme un acquis décrit par la légitimité démocratique.
  2. Et en ce sens, on a beau dire, que de sagesse atteinte désormais.
  3. Mais le succès fou de la fonction de premier ministre retient d'en rire, puisque son à-propos repose sur le verdict acquis de la sagesse par le président, lui-même dans ce besoin d'un verdict calorique quant à l'élaboration d'une espièglerie culte mais nécessaire.
  4. Le premier ministre est à genoux devant son président, sans être réellement lui-même.
  5. À ce titre la distinction entre les deux chefs de l'exécutif établit une norme de confiance sise sur le relief d'une différence. 
  6. La prépondérance nécessaire mais occultée du premier ministre séduit le présomptueux avide d'établir son futur sur l'assistance du président.
  7. Tandis que le simple édifice d'une activité légale et prompte de la part du premier ministre rend compte d'un éclat bouillonnant de la simple présence du président.
  8. Et en ce sens l'on a pu confondre sans élégance aucune, par vénalité, une hiérarchie supposée entre la Grâce de l'Esprit Saint et Jésus-Christ.
  9. L'allégeance supposée à l'Esprit devenant l'apanage nécessaire du premier ministre tandis que le président s'emploie à la formulation de la vérité, vraie ou fausse.
  10. La conjecture actuelle situe l'autel des décisions bien au-delà de nos préoccupations financières, puisque pour les futurs candidats à l'élection présidentielle, et il en est, le statut de premier ministre n'est qu'une vacation fromagère sans rapport aucun avec le respect pour leur propre culte du jonc malicieux.
  11. En d'autres termes, on se trompe sans cesse de propos par un manque de distance et de confiance assuré entre la réalité de la fonction de premier ministre et celle de président.
  12. La cohabitation obligataire insatiablement cupide éteint le paradoxe de plaire par cette assertion d'un consentement mutuel au laxisme des formes. 
  13. Et la résultante d'un tel manque d'appropriation du pouvoir de cette façon rendue crédible pour tous en éteint le charme annoncé d'un vécu propice à l'exercice des responsabilités.
  14. Jésus, lui, n'a pas droit à l'erreur, le président et son premier ministre pas le moins du monde, si l'on en croit le déroulé subjectif des uns et des autres.
  15. La France sert pour ses représentants une sorte de balade en bateau mouche sur le thème d'une accointance avec le dilemme de plaire.
  16. Il est bien évidemment convenu d'entendre que le plaisir s'étend bien au delà  des apparences par un service rendu nommément à la cause perdue du péché originel, sans quoi nous n'en serions pas là.
  17. Le rêve cultivé revêt pour la fonction d'État ce paradigme de franchir les limites du possible sans exclusives, pour détruire la nation sans la servir.
  18. En définitive nous franchissons les bornes du savoir pour comprendre que nous n'avions pas songé à en entendre les limites.
  19. Dieu s'est fait homme pour que l'homme devienne Dieu, mais pas un démon.
  20. La sujétion au rêve narcissique de devenir hors du commun prend fin avec cet envol de la Grâce facilitatrice pour des horizons moins austères. 
  21. Le charme de la vie d'État s'estompe avec le recul de la Grâce de l'Esprit Saint, ce que Jésus pardonne. 
  22. Pour que la France vive.







      Paris, ce mardi 2 septembre 2025, Bruno Cadou.

L'adversité commande.

   Depuis Jésus, nôtre Sauveur, nous savourons d'être sauvés. . .


  1. L'adjudication du réel est sans doute mise à rude épreuve comme jamais, mais ce qui nous rapproche les uns des autres se tient dans son affaiblissement.
  2. Car contrairement à ce qui nous est proposé d'entendre et d'admirer, nous ne sommes pas comblés par elle, mais bien détournés de nos propres destinées, et de la puissance raisonnablement attractive de la Grâce qui ne l'accompagne pas.
  3. Ce pourquoi nous défendons un pouvoir juste est bien là, chrétiennement tenu, par un pouvoir immense, bien plus sûr que les promesses de destruction massives engagées par dessus nos têtes.
  4. S'il  nous incombe dans ces lignes d'en établir la disgrâce, il n'en demeure pas moins exaltant d'avoir à entendre combien les puissances célestes s'engagent en décrivant l'avenir, toujours plus radieux.
  5. Le soin que nous prenons de nos corps est de première importance, et il est toujours inhumain d'avoir à entendre combien le manque de respect et d'assiduité qui y conduit revêt le chant pur d'une dépravation inconsidérée décrite à tort même par l'Église comme statutaire du bien.
  6. Nous ne sommes pas faits pour consommer nos excréments, directement ou pas, nous ne sommes pas faits pour entretenir une disgrâce liée au temps sans nous appliquer avec et sans ingénuité.
  7. La condition physique de nos corps peut rendre aisée la vie de prière, nous intime le respect pour le travail par voie de conséquence, en le rendant plausible avec engouement.
  8. Enfin l'exaltation tant décriée de nos corps, peut en toute innocence nous révéler aptes à procéder également par le progrès, la science et le contact avec la Grâce.
  9. Dieu nous veut épanouis sans mélo, rompus au détriment procédant du péché originel à nôtre mesure pour en réduire à néant avec Lui son réalisme prétendument incontournable.
  10. Pour autant les difficultés demeurent, et avec elles particulièrement le culte de la mort qui lui procède clairement, non pas d'une recherche éthique et savoureuse de la relation érotique universelle, mais bien de celui du cul-de-basse-fosse encore trop tabou pour l'heure en France (...).
  11. Jésus, dont l'esthétisme confine au respect loyal de Maitre Bruce Lee, aimerait préférentiellement un accomplissement ordonné de cette nature, plutôt qu'une recherche patente de la disgrâce des nations.
  12. L'adversité constante à laquelle nous sommes confrontés, qui va réduisant nôtre appétence pour le politique comme pour l'État à néant, nous confine dans ce devoir de réserve statutaire d'un monde, celui de la France, dans l'attente épurée de l'initiative céleste.
  13. La crédibilité de nôtre propos va grandissant.
  14. Le résultat en est cette latence toujours plus statutaire du vide générée par une oligarchie politico-médiatique rivée sur l'au-delà avec une répulsion certaine pour la vie voulue par le Christ.
  15. Nous sommes visibles, ridicules même, toujours plus.
  16. Nôtre faillite financière en fait foi, le pouvoir est corrompu. 
  17. Bien évidemment, nous songeons au réalisme de nos engagements mentaux et dialectiques.
  18. Le pouvoir a cette dimension immense d'appartenir à Dieu, et ce malgré les apparences.
  19. Il est donc désormais toujours plus clair que le déchiffrement de nôtre ambigüité commune se tient élégamment dans cette description d'un parachèvement enfin plausible d'une victoire chrétienne à venir. 
  20. Toutefois les conciles œcuméniques n'y pourront rien.
  21. Nous ne vivons désormais plus avec cette contrainte de voir inaltérablement contrefaite la volonté divine. 
  22. Pour que la France vive.



  ["In The Desert, You Can Remember Your Name. . ."]





       Paris, ce lundi 1er septembre 2025, Bruno Cadou.

La notion de divertissement.

   Depuis Jésus sont toujours remises en cause, et les nécessités du corps, et la plénitude de l'Amour.


  1. Nous vivons de cette heure qui perdure d'une intimité entretenue avec le Christ avec cette confrontation qui relève de l'ineptie, établissant par le menu que nous sommes attraits à une culture de la mort.
  2. La confusion est immense qui, portant aux nues un sacerdoce douteux, en révèle par l'accalmie le génie propice au pire. 
  3. L'affabulation n'est pas novatrice mais tardait à rejoindre par son formalisme le premier rang de l'Église, l'incitation à la succion du jonc et donc à ses conséquences y est clairement exprimée.
  4. Tout comme dans nôtre société laïque, il est devenu clairement décidé de rompre avec la monotonie de la perfection anatomique qui rendrait caduque la relation à l'autre.
  5. La sexualité n'est pas un jeu, puisqu'elle chosifierait la personne humaine, tandis que par la succion du jonc, cette même sexualité acquerrait le statut boursier d'élégance travaillée par un refus de l'ignorance d'autrui. 
  6. Nous sortirions de l'impasse en renouvelant nôtre approche du Divin.
  7. Pour Jésus, enrober ce propos par une marmelade imparablement catéchétique, revêt d'un apport sulfureux au dogme pourtant énoncé du refus intransigeant du péché originel.
  8. La permissivité du classicisme chrétien rejoint le bouddhisme des formes musulmanes pour adoucir le tribut laïque des sans-culottes.
  9. Nous n'avons jamais été autant ouverts à l'autre que ces dernières décennies, et si nous en souffrons, c'est uniquement dans cette perspective de nous soulager de guerres inutiles pour l'avenir par une compréhension renouvelée et sattvique du péché originel qui fonde nos différences et inaltérablement disqualifie avec à-propos le «vivre ensemble» (...).   
  10. Nos difficultés financières pour être expliquées font l'objet d'une impasse sur ces questions pourtant sources.
  11. Il semble que nous ne réalisions pas la différence entre la culture de l'argent propre et celle de l'argent sale.
  12. Pour que la France vive.








      Paris, ce dimanche 31 août 2025, Bruno Cadou.

L'avertissement fait à la France.

   Depuis Jésus, nous savons devoir compter sur Dieu et non sur les hommes.


  1. La sexualité, tout comme les finances de l'État, fait l'objet d'un contrôle rêvé et maladif par lequel nous est proposé d'entendre que la phallocratie n'émeut personne, mais ne peut être satisfaite par l'attraction dispendieuse pour autant des médias du sexe.
  2. Léon XIV a tenté de nous rappeler, dans cette langue chère aux clercs, que lui aussi a un phallus et qu'il convient donc de ne pas l'ignorer.
  3. Mais pour nous qui rêvons et prions, la tutelle phallocratique revêt cette exigence inacceptable de nous unir par la licence et non par l'ambition portée aux nues d'une relation à l'autre exigeante et divinement mondaine. 
  4. Les mœurs étrangères sont passées sous silence, tout comme pour les finances de l'État, au motif de convenir et de ne pas déplaire, par un usage coercitif des latrines de la nation rendu excessivement commun, préalable supposé équitable avant les élections. 
  5. Nous serions comblés par indécence d'une atteinte indécente à nos vies autant dans ces deux registres financiers et sexuels.
  6. La justification entreprise relate les troubles du comportement, l'influence négative sur les plus jeunes d'entre nous, mais aussi et surtout l'oubli de la tenue du registre phallocratique.
  7. Les apôtres d'une télévision sulfureuse ne sont plus atteints par une revendication espiègle de l'ordre de la prostitution des mœurs.
  8. En bref, la succion du jonc d'État est en panne, et nos étrangers ne cessent pas pour autant d'être goguenards.
  9. Comme quoi l'on peut croire avoir tout compris et en être épris de justice sans pour autant atteindre les français.
  10. Nôtre pays se souvient d'avoir été longtemps minoré pour le principe sur le registre de la sexualité libérée, puisqu'en aucune manière nous aboutissons à cette transparence pourtant nécessaire sur la succion du jonc et ses conséquences. 
  11. Nous priver du rêve d'une perfection vécue s'entend d'une suite éhontée en ce sens, comme dans le registre des finances de l'État on néglige beaucoup trop aisément de convenir de l'importance de Dieu présent parmi nous.
  12. Pour que la France vive.





      Paris, ce samedi 30 août 2025, Bruno Cadou.

F1

  Avec les voitures qui vont vite, Brad nous propose un mélo à la Tom Cruise.


  Le sujet très important de la formule 1, rend plausible une fiction débordante de générosité pour son héros, dont le génie s'attache à démontrer que la perfection est le ressort des voyous.
  Nous voilà partis pour une cavalcade onéreuse, mais ornée luxueusement, par laquelle le cinéma nous prévient du ressac de l'addiction au péché originel. 
  Dieu s'est fait homme, mais Brad insiste, il n'a pas dit son dernier mot, il peut et il doit être meilleur que Lui.
  Tant et si bien que l'invariable d'une pratique sportive de haut niveau, de la course automobile, devient l'attrait d'une dispute discursive et sans réel intérêt.
  Un film par lequel il est trop aisé de parader. Un film remarquablement bien réalisé avec une actrice sublime en la personne de Kerry Condon, merci Brad.



      Paris, ce vendredi 29 août 2025, Bruno Cadou.

Medef et risque zéro.

  Depuis Jésus, rendre à César ce qui est à César demeure incompris.


  1. Le patronat, dont la transparence essuie les plinthes du savoir, revendique tout feu tout flamme, une pertinence germanique au sommet de l'État par une forme vécue de compromis au bénéfice d'une endurance redoublée sur le plan économique. 
  2. Pour y parvenir, l'Allemagne a du faire avec la déception de la défaite militaire, mais aussi ce devoir de reconstruction, les deux.
  3. Encore se doit-elle par extraordinaire à une Europe sans âme puisqu'indéfinie spirituellement autrement que par une forme d'escompte continu. 
  4. Redoubler pour son Économie est devenu pour ce pays une chimère sans autre explication qu'une culture confirmée à l'égard de la trahison de la raison.
  5. En d'autres termes, si pour beaucoup, l'essentiel est ailleurs, pour les hauts responsables allemands l'essentiel est dans le «bunker». 



  6. Remettre en cause Monsieur Bayrou est malheureusement aisé, puisque de toute évidence les contraintes de la représentation en politique sont inextinguibles, comme partout.
  7. Nôtre culture du bien et du mal nous assène un terrible coup, vécu comme un malentendu.
  8. Nous ne méritons pas d'être éternellement manipulés, qui plus est par l'incompétence de cœur, comme préalable à celle de l'esprit. 
  9. Jésus en convient, nous payons les pots cassés d'un ressac puissant d'une culture, celle de l'hypocrisie. 
  10. Pour que la France vive.







      Paris, ce jeudi 28 août 2025, Bruno Cadou.  

  Post scriptum, «Rendre à Dieu ce qui est à Dieu, et à César ce qui est à César» est une approche «cosi» de la notion de Couronne. C.Q.F.D.

Planifier.

   Bien avant 2027, convient-il de durer sans rupture.


  1. Il n'est pas très heureux d'avoir à admettre d'entendre combien l'impatience partisane repeint nôtre admissibilité.
  2. La politique à les limites d'un plaidoyer pour peu à combler les urnes.
  3. Doucement, nous versons dans une polémique facile, compréhensible, mais inexacte.
  4. Jésus nous est-il devenu si inaccessible que nous en devisions sans bien en admettre le recul ?
  5. Pour que la France vive.



      Paris, ce mercredi 27 août 2025, Bruno Cadou.

おうぎやぶり

 

  Depuis Jésus, nous avons soin de perfectionner nôtre relation à l'autre . . .


  1. La politique considérée comme une pratique martiale révèle cette lacune de n'être que très peu enseignée.
  2. Et en ce sens, bien des professeurs de lutte combative ont délaissé leur sapience au profit d'une activité plus pacifiante pour l'esprit et le corps.
  3. Le manque de christianisme en est la cause profonde, si l'on veut bien reconsidérer de l'Église moderne qu'elle constitue une approche initiale de la vie contemplative réelle.
  4. Mais pour le chrétien confirmé par son union à Dieu, la déchéance du monde qui l'entoure a une seul origine, le vide  laissé par l'absence de Dieu pourtant présent parmi nous.
  5. La relativité simple de nôtre aptitude nationale au combat militaire revêt cet attribut, et ce quoique l'on fasse pour en prétendre le contraire.
  6. C'est bien cette prétention au snobisme que nous relate également le marasme politicien épineux et ambiant tout autant français qu'européen. 
  7. Mais nôtre France soulève le bien lourd fardeau d'en être tributaire pour le principe, et ceci à l'encontre de l' Allemagne authentique comme de la France de toujours, la France chrétienne.
  8. Jésus y est déconsidéré comme dans son Église, enfermé dans ses dialogues historiques pendant que l'Esprit peine encore et encore à nous enseigner toutes choses.
  9. L'enseignement du Droit, tout comme celui de la médecine, suppose une garde prétorienne d'origine pure et sensible pour en affirmer comme dans l'un et l'autre cas le précieux chargement.
  10. Car à force d'envoyer du lourd, nos politiciens sans vergogne n'ont plus de l'ordre public qu'un souvenir éteint uniquement par une disgrâce qui les accable désormais toujours plus individuellement, comme en Droit ou en médecine.
  11. Jésus n'est point déconcerté puisqu'enfin transparait de ce retour de flamme ce qu'il en avait prédit. 
  12. L'usage symbolique de l'épée, du sabre japonais pour les amoureux de la perfection du geste, restitue de l'enseignement du Christ cette nécessité de disjoindre le crime de la pratique des arts.
  13. Ce qui nous manque en France est bien là qu'à y manquer nous persistons à confondre le bien et le mal pour en découdre avec la destinée.
  14. Nôtre rudiment de l'épopée vieillit pour nous confondre par ce manque de modernité propice à l'échec, nous ne sommes pas en phase avec la Marche.
  15. Nous confirmons quasi directement les faux semblants des dignitaires étrangers plus imbus de rétorsion armée à distance du déliement gordien.
  16. Nous forçons le respect de nos ennemis potentiels en leur mâchant le travail d'une soumission rêvée de la France à leur indigence verbeuse et phallocratique.
  17. Enfin nous soumettons la France à une technocratie qui n'est pas de mise à hauteur de nos moyens de communiquer toujours plus intimement (...).
  18. Nôtre gouvernance s'attache plus à oublier Dieu qu'à le servir en conscience et en vérité, au mépris donc du danger qu'une telle perspective nous révèle.
  19. Nous nous prédisposons au vote avec un réalisme qui fait foi de nôtre attraction démesurée pour le bonheur conjugué au péché originel.
  20. Nôtre universalisation de la vie dépasse de peu celle du biberon nécessaire au tout petit.
  21. Pour servir ce que de droit, la cause nationale et intrinsèque de nôtre premier ministre, monsieur François Bayrou, salutations.
  22. Pour que la France vive.


  [Une amie de Mylène.]



  [Ce sera parfait comme ici.]

  [Pour les spécialistes.]



      Paris, ce mardi 26 août 2025, Bruno Cadou.

Statut de nôtre France.

   Depuis Jésus, il est toujours plus normal d'en convenir, mais pas sans Lui.


  1. Ce qui fait la difficulté du moment est rare si elle est incomprise.
  2. Quelques soient les amendements apportés à la vie du pays, nous continuerons de sombrer, en persistant à croire satisfaisant de se substituer à Dieu présent parmi nous.
  3. Nous sommes victimes de nos choix persistants et indignes, en nous montrant bien incapables des les remettre en cause.
  4. La France ne peut pas être ce puzzle imposé et sans fondement autre que la déconne finalement.
  5. Pour que la France vive.




      Paris, ce mardi 25 août 2025, Bruno Cadou.

Statut de la défiance.

  Depuis Jésus, nous comprenons toujours mieux de la défiance publique son abolissement.


  1. L'immigration visible désormais en France se fait l'écho de celle moins évidente au sommet de nos institutions tout particulièrement.
  2. Et s'il est une raison de croire en l'avenir, elle relève du dérèglement rêvé par le pouvoir des mœurs conjuguées son adjudication définitive.
  3. Le principe même d'une foire portée sur nos usages, nos échanges commerciaux, et par voie de conséquence sur le travail, reflète de nôtre difficulté économique contemporaine sa réalité simple.
  4. Nôtre exigence de maintien d'une qualité éthique de nos mêmes usages déteint insuffisamment à l'encan sur nos vies désormais que sont abolies et la lucidité et la conscience des différences ethniques bien nécessaire également.
  5. Nous valorisons le stupre incessamment, ce qui donne l'impression d'ouvrir la porte à des centenaires pour occuper des postes au sein de nôtre police. 
  6. Monsieur Bayrou escompte une prise de conscience renouvelée pour maintenir la barre du sens des responsabilités politiques, ce qui s'annonce dans ces conditions aussi peu plausible que très délicat.
  7. Les conséquences qui s'attachent à un tel marasme sont de deux ordres, une fracture sociale et un dénigrement toujours plus judiciarisé des mœurs d'État.
  8. La France a les moyens désormais de faire face à la lourdeur des temps, mais pas sans en faire état méthodiquement.
  9. En d'autres termes nous ne pourrons pas faire abstraction de ce qui nous menace à cette fin de passer outre avec efficience.
  10. La doctrine papale du tout à l'égout de nos sensibilités au profit d'un manque de réalisme entretenu de manière hypocrite ne fait que mettre en lumière la même difficulté entretenue pour s'exprimer sur la réalité du travail et de ce qu'il impose à nos sociétés.
  11. En d'autres termes également, là aussi nous sommes «gouvernés» par des personnes exemptes d'académisme sur ce point de la démonstration par le travail acharné.
  12. La pyramide du crime imposée à nos États pour en découdre favorablement se retrouve au sommet de la hiérarchie ecclésiale, rendant plausible un terrorisme à l'égard des États de l'ordre d'une subordination rêvée à l'islam, dont pour cette raison on mesure top peu l'impédance nuisible.
  13. Nous sommes convaincus d'avoir à admettre le fin du christianisme en comprenant un laxisme dont l'origine n'est pas chrétienne, mais païenne.
  14. En outre l'exemplarité d'un monde sans le Christ est toujours exsangue de toute annihilation de nos difficultés, là aussi de manière définitive et plutôt cultivée.
  15. Le danger de la prévarication emplit nos institutions, favorisant de la médiocrité son essor criminogène, et donc opérant pour altérer nôtre productivité par une sélection négative des talents, la culture évasive toujours plus d'une réussite sans réalisme.
  16. Nôtre échec en cours est le résultat d'un refus pérenne de lucidité sur nos mœurs au motif de satisfaire initialement au credo simpliste à l'encontre du troisième Reich.   
  17. Ce qui s'annonce par voie de conséquence, est très éloigné de troubler les esprits pour cette raison d'une absurde altération entretenue de nos vies depuis l'édification de l'Europe.
  18. C'est moins la guerre, apparemment recherchée tout de même, qui nous menace que le renouvellement nécessaire de tout le personnel politique.
  19. Nous allons au devant d'heures sombres pour cette raison d'en avoir rêvé la substance.
  20. Mais la France tien bon tout comme le monde pour cette raison du pouvoir grandissant de Dieu.
  21. Le déliement gordien élimine définitivement l'intérêt désormais inexistant de la question juive sur l'entendement de l'éthique souveraine et chrétienne de Dieu.
  22. Pour que la France vive.






      Paris, ce lundi 25 août 2025, Bruno Cadou. 

Rochus Misch - J'étais Garde du Corps d'Hitler (1940-1945)


  Depuis Jésus, nous avons eu à comprendre l'intérêt d'une garde rapprochée.


  1. Voici un livre dont la lecture est rendue facile par l'humilité de son auteur, conséquente et éprouvée.
  2. Le style en est dépouillé et dévoile une pudeur que même l'Armée allemande contemporaine décrit comme idéelle.
  3. En somme, ce soldat exemplaire s'attache à nous démontrer que la vie n'est pas un exutoire de l'ineptie, définitivement. 
  4. Pour les militaires assoiffés de références livresques que nous sommes tous quelque part, l'intérêt porté à ce soldat par la lecture, peut rendre plausible un attachement comparable à la compréhension du grand Joachim Von Ribbentrop, pour l'exemple. 
  5. Il en va ainsi que même Napoléon Bonaparte n'a jamais fait abstraction des hommes de valeur quelqu'ils soient.
  6. Pour l'heure, il va de soi que le respect attaché à cet homme en démontre l'importance.
  7. Incarnant la virilité d'un exploit d'ampleur stratégique, voir diplomatique, son attachement à la personne même du Führer en démontre a contrario la tragédie intrinsèque vécue par l'Allemagne d'avant-guerre. 
  8. L'auteur a une fibre littéraire indiscutable en proposant au lecteur une balade sentimentale sans pathos. 
  9. Cette biographie est rédigée suggérant une complicité d'entente tacite avec le lecteur ou la lectrice.
  10. Car après tout, ce qu'un tel ouvrage permet d'entendre relève d'un élargissement des possibilités d'affranchissement des limites.
  11. Monsieur Adolf Hitler y est serti fidèlement dans le respect des armes avec honneur.
  12. L'Allemagne commet de nous proposer bon nombre d'auteurs issus de cette période, incontournables par leurs subjectivités exemplaires, il convient de bien l'entendre.



      Paris, ce dimanche 24 août 2025, Bruno Cadou. 

La France récalcitrante.

  Le projet d'une France libre et loyale envers le Christ.


  1. L'abstinence en Droit promeut de la notion de liberté son fanatisme libertaire confondu à mauvais escient avec les droits de l'homme au motif d'une discourtoisie de mise.
  2. La rétribution de nôtre Histoire se heurte ainsi au mépris de celles et ceux qui bravant tout de l'esclavage par le péché originel vont confondant du refus de Dieu qu'il puisse être le nôtre.
  3. Nous ne sommes pas fascistes pour rémunérer du Droit qu'il convient à nôtre devenir commun.
  4. Nous ne sommes pas gauchistes pour célébrer du renouvellement de la norme judiciaire qu'elle convient aux célébrations rêvées d'un paganisme crétin.
  5. L'adjudication du réel est une réprobation historiquement juive du Salut du monde par le clémence divine, tout comme l'islam est une réminiscence de son aboutissement sans lien avec nos évidences chrétiennes.
  6. L'adhésion au non-droit, au crime, dissimule en effet une propension à confondre par le traitement du cul-de-basse-fosse le gouvernement clair des nations avec le résultat d'une manipulation de l'entendement forcé par le respect d'une magie des ténèbres engoulevines ainsi décrites.
  7. Jésus n'a jamais décrié ces culs-de-basse-fosse dont l'évidence a toujours été combattue bibliquement.
  8. La résolution d'en découdre vertement toutefois, sans jamais s'estomper, s'est prolongée tout au long de nôtre histoire, attendant cette heure heureuse du déliement gordien rendu possible par la Shoah également.
  9. L'atteinte à la Bible, au sceau officiel de nôtre union au Christ disparait d'autant plus que le temps s'écoule en ce sens invariablement désormais.
  10. Le pouvoir de Dieu va grandissant, réduisant toujours plus à néant toutes tentatives d'en disconvenir.
  11. La jésuistique des gueux démontre cette limite ne ne s'attacher qu'aux apparences, trahissant ce ressort puissant de pratiques mensongères pourtant vécues dans leurs conséquences par tous.
  12. La France connait désormais ce retour à Dieu décent, modeste, mesuré et efficace.
  13. Nous ne sommes plus victimes de cette fatalité entretenant sans fin d'une déshérence imposée par le manque de foi l'abolition prévisible de nôtre nation par le Droit. 
  14. Nous vivons à nouveau, sans nous affranchir maladivement de nos contradictions, par le Droit et la foi en Dieu chrétiennement. 
  15. Le fondement du Droit est dans la volonté divine et nulle part ailleurs.
  16. Décider arbitrairement de nos sorts au motif de ne point convenir communément de l'existence du péché originel et de ses conséquences n'est désormais plus possible.
  17. Jésus n'en a jamais convenu autrement.
  18. Nous allons au devant de grandes satisfactions, mais aussi pour y parvenir de déconvenues funestes pour les ennemis de la Nation.
  19. La France n'est pas le ressac de pratiques sombres dont l'occultisme forcerait le respect.
  20. Chacun devra répondre de ses actes licencieux, connus ou pas.
  21. Gageons ainsi de vivre mieux en étant français, en révérant l'Amour de Dieu.
  22. Pour que la France vive.




      Paris, ce samedi 23 août 2025, Bruno Cadou. 

Particularité de l'écoute.


  Depuis Jésus, nous comprenons de la Parole de Dieu qu'elle s'entend tout aussi surement.


  1. La musique requiert de très bonnes dispositions pour être entendue de manière qualifiante, et pour cette raison, nous avons du mal peut-être à nous situer correctement en regard des spécificités d'un artiste, et pour cette raison nous donnons peu d'importance à ce qui peut en avoir beaucoup plus.
  2. Détacher l'écoute de sa vie de prière spontanée est une errance, mais surtout, écouter rend compte d'une attente spirituelle, si toutefois nos vies s'attachent à la perfection en ce sens.
  3. La virtualité de nos songes toutefois n'échappe pas à ce constat, et la musique Rock en rend compte, nous vallons mieux que ce que nous sommes déjà.
  4. Un artiste réel communique, et son style prédispose, ou pas, à poursuivre nôtre progression de manière patente ou plutôt discursive bien plus souvent.
  5. Ce réalisme révèle l'importance d'une chanson, qui avec le temps permet de communiquer avec l'avatar de l'artiste en conscience et en vérité.
  6. Ce détachement fait le commun d'une culture efficiente ordonnée de belle manière, et de manière générale.
  7. Toutefois la musique, le domaine de la chanson est toujours plus libre quand il est délibérément à disposition, tandis que l'effort de lecture suppose un champ par trop considéré comme sacrificiel.
  8. Ainsi comme nous le savons la culture révèle la nature d'une population, et l'assiduité de la renommée doit pour cette raison se détacher des apparences trompeuses.
  9. Affirmer son identité redevient une problématique solitaire et douce de manière patente, nécessairement éloignée de toutes trajectoires de prévarication toujours plus aisément avec les moyens modernes.
  10. Les femmes tout particulièrement peuvent s'acclimater au monde commun sans renoncer à leur dignité. 
  11. Toujours il revient à chacun d'en concevoir l'humilité douce en riant, s'émouvant, en priant tout aussi surement que la musique et les paroles sont bonnes.
  12. Pour que la France vive.


  [Milady & . . .]

  [Milady. Un poème qui endure le commentaire composé.]

  [Une intime de Milady, la perfection.]

  [Dieu voit grand.]

  [Une inspiration reconnaissable, Milady.]

  [Une inspiration tronquée, malheureusement, Milady.]

  [Une inspiration de vrai dur.]

  [Monsieur.] 

  [Important pour aller au Ciel.]



      Paris, ce vendredi 22 août 2025, Bruno Cadou.

Jalousie.

  Depuis Jésus, chacun sait que la jalousie est un tourment.


  1. L'adjudication du réel réforme nos emplois du temps, retardant nos efficiences solitaires et communes bien au-delà de l'acceptable.
  2. Le fait est que la guerre en Ukraine semble être un artéfact de cette réalité, puisque de toute évidence on nous ment de toutes parts, de manière visible, palpable, inconsidérée.
  3. Et si le moteur de tant d'indécision est le résultat d'une défiance multiséculaire, cet argument parait bien pauvre en regard de l'expérience accumulée par tous sur le sujet, que ce soit par la guerre, ou les difficultés économiques notamment.
  4. Les fauteurs de troubles se connaissent, et même se reconnaissent, jalousant de Dieu sa divine garde et son fabuleux pouvoir de maîtriser le monde.
  5. Même les allemands se font forts d'entendre qu'une telle chose est désormais close pour la raison, en regard du traitement fait de la cause de la jalousie au pouvoir.
  6. Le principe même de la démocratie itère à l'envie d'une possibilité de progrès par le renouvellement de la pensée et donc de l'efficience de la volonté.
  7. Et même si une telle chose démontre ses limites, et elles sont fortes, le simple fait de s'imposer au pouvoir par manie, que ceci paraisse justifié ou pas, relève pour tout un chacun fort probablement d'une ineptie en cours aussi surement que nous ne sommes jamais véritablement rassurés, même au sein de nos démocraties d'Europe de l'Ouest.
  8. Le spectacle proposé d'une Ukraine gouvernée par un imposteur, et la Fédération de Russie de même, n'est pas plus pour choquer mentalement le monde, qui en a vu d'autres. 
  9. Mais ce qui trouble le commun tient bien du sort réservé même sans ce conflit aux ressortissants de ces deux nations.
  10. L'ambition jointe au mépris de Dieu, le culte même privé du péché originel, cette jalousie permanente et étoffée à l'égard du reste du monde, ressemble en tous points à ce qu'il advient de la France, sans toutefois aboutir dans l'immédiat en termes de conflits armés dont la recherche est toutefois patente définitivement.
  11. Ce contexte foireux donne bonne presse à nos deux goguenards, Vladimir et Volodimir, pour lesquels la sagesse tient du résultat de l'abnégation de tous par la souffrance imposée. 
  12. Ce culte de l'oppression jouissive entérinerait une perspective économique propice à la réussite, car chacun sait que par chez nous l'on pérorait pour satisfaire à ce critère encore tout récemment, et certainement le fait-on encore en Chine, pays pour lequel le Moyen-Âge promeut une forte valeur ajoutée pour ce genre de commérage.
  13. Or la science, nécessaire pour progresser, n'épouse pas le manque de conscience, tout comme l'orgueil et la jalousie ne font pas le médecin. 
  14. Jésus, ne se ressent plus comme concerné de cette manière à pardonner sans fin une déraison sans fondement.
  15. Le trouble en psychiatrie a de toute évidence un fondement scellé par le choix, qui a été donné en temps et heure maintes et maintes fois.
  16. Revenir sans cesse sur l'opportunité de considérer l'Histoire comme une page désormais vierge de toutes scories du passé, comme l'on a tenté de le faire en France avec les droits de l'homme, est devenu une activité sportive en haut lieu au Vatican seul.
  17. Mais pour le Christ, l'intelligence du service rendu n'existe plus sans cette considération qui est la sienne.
  18. L'intérêt de la Rédemption en cours est bien là de permettre de remettre les pendules à l'heure.
  19. Jésus y trouve satisfaction, tout comme nous-même ici, à la rédaction.
  20. Puissions- nous encore rêver d'un monde en paix, libéré de toutes falsifications du pouvoir. 
  21. Nôtre hôpital a bien besoin d'un tel engagement.
  22. Pour que la France vive.



      Paris, ce mercredi 20 août 2025, Bruno Cadou. 

La modification du champ de force.

  Depuis Jésus, nous apprenons que l'Amour de Dieu triomphe de tout.


  1. La sujétion à la condition humaine par miséricorde contraint Dieu à ne point sévir, en exerçant une endurance dont le principe échoit à chacun semble-t-il.
  2. Et pourtant, cette condition humaine se ressent comme d'un attentisme permanent, revêtant toutes les formes possibles à l'encontre du Très-Haut.
  3. Cette indication de nôtre malheur, même vécu doucement, à pas feutrés, n'était même plus à l'ordre du jour de nôtre oligarchie vectorielle pour laquelle le résultat, et le résultat seul d'une entière éradication de la volonté divine tient lieu de verdict probant.
  4. La performance du péché originel n'étant plus prise en compte dans sa globalité, il a semblé à Dieu inutile de paraître pour en effacer le songe mensonger.
  5. Ainsi depuis de longs, très longs siècles, nous comprenons de nôtre devenir qu'il est entaché par le stupre des hommes sans pour autant en être libéré autrement que par une hantise des facteurs purs élaborant du péché originel qu'il est l'art et la manière de vivre en parasitant le monde. 
  6. L'antisémitisme a par le fait une origine très éloignée d'être libertaire, mais la perception de celle-ci demeurait effacée de la conscience «juive» commune à ce point de non retour que nous comprenons tous.
  7. Le gâtisme préfigurant l'avènement du mal, l'autarcie éthique des conjurés a par trop scellé ce verdict inépuisable malgré les formes, l'antisémitisme est une queue de rat et rien d'autre. 
  8. Pourtant, Dieu persiste dans sa progression et rétablit sans cesse du projet céleste initial qu'il est nôtre préoccupation première.
  9. Nous usons du temps comme d'un salon usé, au sein duquel l'altérité est convenue pour enduire le futur de néant par extrapolation.
  10. Nous exigeons du présent qu'il convienne à cet usage, en dégradant les intentions célestes pour en maudire d'être éconduits.
  11. Nous soulageons les consciences adverses en prodiguant ce discours attendu révélant d'intentions dégagées de toute outrecuidance une assurance certifiée en l'humain, sans Dieu, telles des personnes habilitées par cette mesure de maturité allant de soi, et établie par cette démarche de théâtralité repue.
  12. Jésus, comme à chaque fois, est étourdi par tant d'adversité.
  13. Le monde irait droit au but sans Lui, dirigé par les pécheurs les plus «habiles» qui soient.
  14. Comme quoi le miracle des imprécations positives fonctionne étonnamment. 
  15. Nous assistons au spectacle candide d'hommes et de femmes en politique, plus voués à une vie de prison qu'à un assistanat juteux. 
  16. Leur audience est comprise comme en retard sur le verdict désormais commun.
  17. Leur détachement augure mal d'une compréhension réel de nos besoins.
  18. Nous souhaitons plus d'emprise en phase avec la liberté divine en cours.
  19. Ils en évacuent l'augure au titre d'une défiance multiséculaire avérée.
  20. Nous nous soulageons de la démocratie en élaborant des projets d'union à Dieu pour le futur de nos conditions.
  21. Ils scellent avec la mort ce verdict non conjoncturel d'un renouveau, impossible désormais malgré eux, du péché originel.
  22. Pour que la France vive.



      Paris, ce mardi 19 août 2025, Bruno Cadou. 

La guerre et les négociations.

   L'art de la guerre ne semble pas plus à l'ordre du jour que la culture de la paix.


  1. Puisse monsieur Trump nous détromper, le stratagème d'une permissivité de dialogue rend caduque et la sincérité et la bonhommie coutumière de nos dirigeants surajoutés.
  2. Le fabuleux stratège qu'est nôtre Président, monsieur Macron, ne s'y est pas trompé, en s'imposant à la Maison Blanche, où la restauration vintage fleure bon le respect de l'après seconde guerre mondiale, pour incarner le respect de l'Europe et des camps de la mort ukrainiens.
  3. Comme quoi l'on peut s'imaginer être de ce monde et rêver sans s'en rendre compte de sa disparition.
  4. Car nôtre camarade Zélensky, avoue des mœurs comparables aux grands apparatchiks soviétiques relativement au traitement des âmes et des corps, et le soutien sans faille d'une Europe récalcitrante au Christ mais pas aux droits de l'homme, lui fait un écho comparable aux sirènes de mort en question. 
  5. En somme, pendant que Poutine et Zelensky se vouent à un ping-pong pour adultes consentants au détriment des nations, L'Europe en magnifie le genre avec un discernement digne de la défense contre l'antisémitisme. 
  6. Le risque de guerre à venir est le ressac pertinent de cette désinvolture scabreuse, et pour le réduire, même le manque de chance peut être nécessaire devant tant d'incongruité.
  7. Nous assistons à une foire d'empoigne nécessaire, et nous comprenons sans fin la disgrâce d'une vie internationale qui n'est pas instamment chrétienne au sens de Dieu le Père.
  8. Si tout cela ne manque pas d'humour, il n'en demeure pas moins vrai que nous sommes bien contraints d'en admettre le manque de charme imposé, tout comme le refus d'un «blues» acéré.
  9. Jésus n'est pas à la noce, comme l'on dit encore par chez nous, et pour cette raison nous prions tous communément.
  10. La jésuistique en cours impose le respect des débats, malheureusement fondés sur l'éradication de la notion de péché originel, de son culte avéré ou pas. 
  11. Les culs de basses fosses ne sont pas à l'ordre du jour, tandis que Jean Moulin est encore au Panthéon.
  12. Comme quoi l'on peut être célèbre sans pour autant être digne des hommages des Armées.
  13. Mais pour l'heure demeure cette situation donc, qui tient pour sérieux le principe ultraviolent du camp de la mort et même avéré pour des combines marchandes en haut lieu.
  14. Comme quoi l'on peut être imbu de jésuistique causale et en définir la finalité par le blasphème, même occulté.
  15. La terminologie même employée pour se saisir des arguments de la paix fait une impasse totale sur ce rudiment source réelle et profonde radicalement de tous conflits.
  16. On continue de nous promener comme depuis la seconde guerre mondiale, source mondaine de profit pour cette raison, en nous narrant de la chose qu'elle n'existe que pour démontrer l'horreur close définitivement.
  17. Même nos immigrés affichent leur superbe en se méprenant sur leur manque de vergogne rétribuant de la France son incivisme d'apparat éhonté.
  18. Comme quoi l'on peut prétendre à l'identité nationale et en charrier l'authenticité par un naturel dévoyé.
  19. Si Jésus ne compte plus, la sincérité non plus.
  20. Nous prions donc pour que tout ceci s'arrange, car Dieu a toujours plus les mains sur les commandes.
  21. Il importe que nous charrier tous infiniment avec les droits de l'homme ou sans puisse cesser.
  22. Pour que la France vive.



      Paris, ce lundi 18 août 2025, Bruno Cadou.

L'assentiment des Cieux.

  Depuis Jésus, l'accès à l'assentiment céleste est d'un abord avantageux.

  1. La Gloire de Dieu éperonne les pécheurs, restituant du manque de Grâce son manque de chance apparent.
  2. Et s'il est bien corrompu d'en admettre le manque de légitimité, il n'en demeure pas moins vrai que le ressentiment à l'égard du Christ se ressent comme d'un manque de franchise, ou de Foi, et pour cette raison on a eu raison de baptiser les nations.
  3. L'aliénation au péché originel, sa culture, qui en aucun cas ne suspend du trouble en psychiatrie, établit, même par osmose une altération biblique du cours de l'histoire, à ce point de désuétude que l'on a pu faiblir en se corrompant les méninges au nom des droits de l'homme.
  4. L'attachement au Christ en effet, suppose une réflexion sur sa mémoire, qui pour plaire se doit de ne point en altérer le principe d'humilité et chasteté, propice à la vie, tant féminine que masculine. 
  5. A contrario, les droits de l'homme n'engagent strictement personne, ce que la République laïque et «juive» démontre en se réduisant à rien sans innocence inéluctablement.
  6. Chacun se souvient des jours anciens désormais que la monarchie a cessé d'être, comprenant de la Grâce son altération certes, mais aussi son devenir certain par un mécanisme d'État souverain.
  7. S'il est beaucoup moins question d'endurer le chapitre clair de la succion du jonc et de ses conséquences, endurer de la Grâce qu'elle emporte tout redevient la condition d'une autonomie des nations, tout comme des personnes qui en font partis.
  8. Les progrès de la science le démontrent, l'attachement à la performance cérébrale imposée ne peut être détaché d'une réelle puînaissance imposée.  
  9. Le détachement des formes à observer rend un compte de moins en moins frugale de ce qui ne peut plus être qu'un divertissement en «haut lieu» en ce sens.
  10. Bourgeois nous sommes par accablement, et non par une réussite successorale tant espérée de la sorte sur le papier, à la fois innocente et intègre.   
  11. Bourgeois nous le sommes moins par une démonstration pécuniaire de pure forme et un usage décent  de nos moyens qui en serait la conséquence.
  12. Car il nous manque l'assentiment de la Grâce, sceau d'une véritable vie bourgeoise. 
  13. Jésus est surpris d'entendre combien le temps imparti pour en convenir s'étend sans cesse, édulcorant la légitimité de nôtre nation française à prétendre à la perfection encore et encore.
  14. À vouloir lui faire du mal, on définit de la mesure d'État son improbable mais bien réelle manque de sagacité.
  15. Jésus est perplexe devant un tel reniement.
  16. Vouloir ensuite proroger du doute sur le Christ cette méthode dite raisonnée nous fait entrevoir du cauchemar des nations son manque éhonté de religion.
  17. Puisque le Salut des hommes repose également sur ce mécompte, entre foi et business, reprochant à l'un comme à l'autre de favoriser la jouissance sans la succion, nous risquons de tout perdre au motif des protocoles des sages de Sion.
  18. On veut nous imposer une humilité sans lien avec le refus du péché.
  19. On veut nous éconduire mensongèrement du mal en nous poussant vers l'abîme.
  20. Jésus n'en est pas dupe et nous fait un signe.
  21. Cessons, semble-t-il nous dire, d'éconduire la Grâce de l'Esprit.
  22. Pour que la France vive.






      Paris, ce dimanche 17 août 2025, Bruno Cadou.