La place du prêtre.

   Par le christianisme de l'Église catholique, le prêtre est devenu un être suspecté de connivence avec le Christ.


  1. Depuis Jésus, nous avons tous remarqué combien la prêtrise sécurise la destinée des femmes aux dépens d'elles-mêmes, si la probité ne vient pas au secours de la Grâce, et en ce sens, le phénomène a fait coulé beaucoup d'encre à ce point de non retour qui nous a suscité Sainte Thérèse d'Avila, que d'aucuns comparent volontiers à une sainte occultiste 
  2. Il n'en va pas de même de la toute petite Thérèse de Lisieux, dont l'approche mystagogique du fait religieux restitue pour l'ensemble du clergé la modestie des Sœurs en ne contrevenant point à leur statut de pompier du futur, du futur de l'Évangile bien évidemment.
  3. La prêtrise des femmes fait peine à voir quand on considère le peu de sérieux de certains, qui vont combinant de l'islam phallo. qu'il puisse un jour combler les uns et les autres en lieu et place des Évangiles, dont chacun sait qu'ils constituent un verrou, celui d'une intimité à vivre par la fermeté du Christ Jésus.
  4. Les Sœurs s'en ouvrant à Jésus, considèrent que nous méritons bien davantage de les comprendre en chaire, que d'avoir à entreprendre cette routine solitaire qui tient d'aimer Dieu en s'en cachant par nécessité.
  5. Il va de soi que nous les révérons de facto, en considérant toutefois qu'un tel principe suppose une élection, et tout comme autrefois que soient repeintes les portes de l'Église et établi leur service. 
  6. Mais aujourd'hui c'est aujourd'hui, et pour rendre l'Église Great Again, comme dit Srî Krishna, nos prétendants aux plus belles des prébendes, se doient de démontrer à Dieu qu'il en sont dignes, et non pas infirmes simplement.
  7. Le tout venant de l'Église comprend bien cette dichotomie fallacieuse entre pouvoir et devoir qui fait bien malencontreusement de l'univers politique la soupe à l'oignon d'un scandale permanent, celui de l'absence de Dieu et de salut pérenne, donc, pour les femmes et les Bonnes Sœurs tout particulièrement. 
  8. L'Église du Christ en promeut la patience restituant de la volonté du Père son évocation propre du sacerdoce des nations, qui jamais, au grand jamais exclut la féminité en partage. 
  9. Jésus est un être de bonté, incarné et divin, prodigieusement informé sur les vocations, et le prisme imposé des vacations statutaires.
  10. La prêtrise est une damnation sans Lui, puisqu'elle devient alors le culte pendant d'une malencontreuse infortune sise sur le péché originel, d'où l'insistance de nôtre saint pontife sur la conversion personnelle du prêtre comme préalable.
  11. Détail charmant, en priant Dieu vous sert avec prévenance toutefois, qu'il vaut mieux avoir souffert de procéder valablement ainsi par une sainte dévotion monastique de renom dans vôtre vie antérieure. 
  12. Pour nôtre part, le procédé ainsi enrichi, libère la certitude d'un pouvoir conjoncturel plus fort que la mort, celui d'un sacerdoce plein.
  13. Cette gageure n'est pas le fait majeur jusqu'à présent des candidats à cette vie «supérieure», «felicita» en argot romain. 
  14. La traduction du pouvoir de Dieu devient bien trop souvent une altération du devenir romain, par une série d'imprécations confondues avec l'expression de la volonté céleste, mais bien plutôt destinée dans de bonnes conditions à eux mêmes si toutefois ils en prennent soin.
  15. Les dix commandements ne sont pas leur fort, et sans eux, il n'y a pas d'Église.
  16. «Dans le fond qu'est Dieu, sinon un éternel enfant jouant dans un éternel jardin», ce propos de Srî Aurobindo trouve par de tels manquements sa valeur urgente.
  17. Tant et si bien que le prêtre romain d'envergure se doit d'avoir la foi et l'engagement bien situés, et l'héroïsme joint à la volonté céleste de Marie, qui garantit alors toujours de bonnes sensations.
  18. Pour nous qui veillons et prions toujours davantage, le sacerdoce est un outrage à nôtre sérénité acquise, une forme d'imperfection de la vie nécessaire mais pas fatalement plausible.
  19. Rencontrer des personnes à n'en plus finir recherchant du pire la mélodie en sous-sol des pleurs et des grincements de dents, rend bien délicat de s'appliquer à les croire par un tel exercice, celui de la prêtrise justement.  
  20. Ce pourquoi nous avons un immense respect pour les vrais prêtres est bien là, qu'à tout prendre, il convient d'être un saint pour ne pas se tromper.
  21. Gageons de devenir meilleur tout de même, mais nous ne sommes pas choqué par la proximité de Marie.
  22. Pour que la France vive.


  [Menaçant, mais pas militaire...]






      Paris, ce samedi 28juin 2025, Bruno Cadou.

  Post scriptum:
  Un bonbon permettant un jeûne conséquent, quand la nécessité se fait pressante de s'ordonner pour manger de trop, par manque d'importance sinon. Merci Car en Sac.