Laure-Alice Bouvier.

   Nôtre intérêt pour madame relate une patience d'un autre ordre.

  Être victime des médias emporte le mérite statutaire d'être dans le vent, avec un talent hors du commun conjugué toutefois aux «nécessités» du paradigme d'exister ainsi. 
  Maître Bouvier, comme la nomme ses amis, est une femme, et ce thème récurrent de la fatalité n'est pas l'à-propos de la justice semble-t-il, justice pour laquelle il ne saurait y avoir de présomptions d'innocence en conséquence de faits rapportés, ou d'enquêtes rondement menées.
  Nous comprenons de cette histoire sans pour autant être Maître en Droit, que les mœurs réelles du «show business» ne sont pas rapportées au bénéfice de la prévenue.    
  Cet univers pourtant phallocratique est connu suffisamment pour en décoder l'usage qui en est fait, et délivrer la belle prévenante.



      Paris, ce lundi 30 juin 2025, Bruno Cadou. 

Aphorismes spirituels - modestie et charme

   La révocation de l'édit de Nantes fut une démonstration de charme soutenue par une excessive mais nécessaire modestie.


  1. L'idée que nous nous faisons de la modestie est en fait bien éloignée de ce qu'elle rend possible.
  2. L'incitation à la modestie proverbiale est une gageure nécessaire pour étendre l'humilité chrétienne dans toutes les activités de l'âme et du corps.
  3. L'humilité ainsi comprise libère l'identité et donc le pouvoir combinant celui de la Grâce.
  4. Le charme d'une vie réelle ne prend son essor que par la modestie, pour cette raison d'être une indication pleine de l'envergure atteinte.
  5. Ainsi surseoir à soi-même sans réelle modestie libère du propos d'en être une facétieuse ambigüité.
  6. Le sujet est d'importance puisque désormais par la démocratie laïque et sa psychanalyse qui l'est tout autant, la dynamique de l'efficience subjective est déclarée compatible avec la méchanceté ordonnée.
  7. Ceci au demeurant libère ce manque de charme confondu avec la labeur civilisateur ou propice à cette engeance par le progrès.
  8. Bien évidemment, le résultat est scabreux, puisque  du néant du parjure ne se promeut qu'une allégeance au farniente et une adéquation sans valeur objectivable sereinement à la science.
  9. Et en ce sens bien de nos médecins, avant de se gargariser d'en être par un humour défaillant pour ce critère de modestie, devraient se montrer prudents en retournant à l'école, puisqu'ils sont désormais toujours plus visibles par le tout venant.
  10. Le refus d'une humilité loyale envers le Christ rend défaillante la science, que cela soit visible ou pas.
  11. Pour nôtre part, nous acceptons de faire de l'humour parfois, mais toujours sans nous départir de cette nécessaire modestie.
  12. Savoir rester dans le rang est la clef d'un parfait entendement d'une dynamique collective imbue de notoriété, ou pas.
  13. Jésus a de la chose un entendement divin, qui l'a mené à la Croix pour cette raison de ne pas complaire au péché originel, et rien de plus.
  14. La vie laïque est une tentative de réitérer une vie sans le Christ, une vie «juive» dont la dynamique négative, relate de l'imperfection des mœurs leur légitimité par contrat.
  15. On en oublie «Je pense donc je suis» pour «je suce donc j'essuie».
  16. L'artéfact de la virilité sise sur le jonc importe pour cette conjugaison souhaitée d'une errance avec la Grâce supposée du pardon.
  17. Et nos médecins pour l'exemple ressemblent à des commissaires usurpant leur charge et confus en Droit, car la science exercée sans conscience altère le sacrifice ultime d'une identité renouvelée.
  18. La modestie nous incite à pourvoir au recueillement nécessaire à la vie en société.
  19. Elle nous incite au charme d'une vie ensoleillée par la Grâce, et pour le moins en y songeant toujours mieux.
  20. Une vie bourgeoise est sainement sise ainsi.
  21. La décadence observable par le menu dans nôtre contexte français, doit tout à l'encan à cette frauduleuse perception de la nécessité par le manque de modestie et le refus du charme biblique de la vie.
  22. Pour que la France vive.








      Paris, ce lundi 30 juin 2025, Bruno Cadou.

Être chrétien à Paris.

  L'expression de la foi chrétienne est une gageure appropriée au karma.


  1. L'interrogation demeure d'avoir à entendre comment l'on devient chrétien, puisque la foi suppose une adhésion non consensuelle à une imbroglio défaitiste de surcroit.
  2. L'humilité chrétienne, convenons-en, pour être vécue suppose une union à Dieu pour en découler. 
  3. La religion cède le pas à la spiritualisation de la vie, avec un acharnement de tous les instants, et une adhésion nourrie du dedans. 
  4. De cette manière, l'assurance chrétienne est sans faille, puisque fondée en Christ, mais en même temps elle s'adapte à l'art de vivre dont c'est tout le propos.
  5. Marie infailliblement rapporte de l'engagement chrétien qu'il se situe pour elle dans celui du travail rémunéré avec mesure et pondération.  
  6. Le propos outrancier et sectaire d'une mesure incomparable par le sacrifice et l'oubli de sa condition liturgique relève pour elle d'une incompréhension majeure des nécessités de la vie. 
  7. L'Église catholique célèbre avec beaucoup de précautions l'année liturgique, mais sans fatalement s'abstraire d'un confinement joint à un excès de manquement à l'union à Dieu. 
  8. Le passif étonne l'érudit que nous sommes devenu par la supposition qui en est fait d'un respect pour des archaïsmes certains, mais aussi la tentation du diable.
  9. Le chrétien par l'Église devient un être humain benêt, sensible à l'appétence pour le crime parfait, aux messes traduisibles en ce sens. 
  10. Il est également sommé de considérer l'islam comme un sommet de ce type de divertissement, approprié sans commune mesure à l'attachement humain pour le péché originel, et pour cette raison pragmatiquement.
  11. Jésus s'est incarné selon eux pour radier les femmes et soumettre l'humain à l'étranger, créant un élan contre nature suggérant de la foi cette notion d'autosuffisance par le vécu suicidaire désormais toujours plus.
  12. L'annonce de la bonne nouvelle nous parvient comme un travail statutaire des plus hautes responsabilités, puisque confirmant les déviances politiquement neutres et païennes par voie de conséquence d'une oligarchie prête à tout pour disparaître définitivement par le carnage ou la Rédemption. 
  13. La vie paroissiale est sujette à caution, puisque l'on ne sait plus pourquoi exactement on se rassemble formellement.
  14. Les réunions de prière ressemblent à des pichenettes par lesquelles une bonne soirée prendrait du sens.
  15. La vie de l'Église se ressent de l'univers du travail par lequel il est devenu inconséquent de pourvoir à l'amitié sans promouvoir un danger pour soi-même ou un tiers.
  16. Le charisme de l'humilité rend nécessaire de s'effacer, voir même de figurer nulle part.
  17. Bien sur nous ne sommes pas parfait, et bien sur nous n'avons probablement pas saisi le réalisme dantesque de manière complète définitivement.
  18. Pour cette raison la foi en Christ repose de manière toujours plus exigeante sur une absence de confusion culte.
  19. Dieu présent parmi nous est occulté, comme au travail, par une laïcité raciste d'usage, une adhésion forcenée au péché originel dont la description délivre la compréhension polie et studieuse même de la seconde guerre mondiale de monsieur Hitler, son combat.
  20. Manifestement, seul Dieu présent parmi nous est à même de donner une âme à l'Église comme à l'univers du travail, car c'est tout un pour lui aussi.
  21. Et pour l'heure, confiant de cette manière en la fille aînée de l'Église, nous prions.
  22. Pour que la France vive.









      Paris, ce dimanche 29 juin 2025, Bruno Cadou.  

La place du prêtre.

   Par le christianisme de l'Église catholique, le prêtre est devenu un être suspecté de connivence avec le Christ.


  1. Depuis Jésus, nous avons tous remarqué combien la prêtrise sécurise la destinée des femmes aux dépens d'elles-mêmes, si la probité ne vient pas au secours de la Grâce, et en ce sens, le phénomène a fait coulé beaucoup d'encre à ce point de non retour qui nous a suscité Sainte Thérèse d'Avila, que d'aucuns comparent volontiers à une sainte occultiste 
  2. Il n'en va pas de même de la toute petite Thérèse de Lisieux, dont l'approche mystagogique du fait religieux restitue pour l'ensemble du clergé la modestie des Sœurs en ne contrevenant point à leur statut de pompier du futur, du futur de l'Évangile bien évidemment.
  3. La prêtrise des femmes fait peine à voir quand on considère le peu de sérieux de certains, qui vont combinant de l'islam phallo. qu'il puisse un jour combler les uns et les autres en lieu et place des Évangiles, dont chacun sait qu'ils constituent un verrou, celui d'une intimité à vivre par la fermeté du Christ Jésus.
  4. Les Sœurs s'en ouvrant à Jésus, considèrent que nous méritons bien davantage de les comprendre en chaire, que d'avoir à entreprendre cette routine solitaire qui tient d'aimer Dieu en s'en cachant par nécessité.
  5. Il va de soi que nous les révérons de facto, en considérant toutefois qu'un tel principe suppose une élection, et tout comme autrefois que soient repeintes les portes de l'Église et établi leur service. 
  6. Mais aujourd'hui c'est aujourd'hui, et pour rendre l'Église Great Again, comme dit Srî Krishna, nos prétendants aux plus belles des prébendes, se doient de démontrer à Dieu qu'il en sont dignes, et non pas infirmes simplement.
  7. Le tout venant de l'Église comprend bien cette dichotomie fallacieuse entre pouvoir et devoir qui fait bien malencontreusement de l'univers politique la soupe à l'oignon d'un scandale permanent, celui de l'absence de Dieu et de salut pérenne, donc, pour les femmes et les Bonnes Sœurs tout particulièrement. 
  8. L'Église du Christ en promeut la patience restituant de la volonté du Père son évocation propre du sacerdoce des nations, qui jamais, au grand jamais exclut la féminité en partage. 
  9. Jésus est un être de bonté, incarné et divin, prodigieusement informé sur les vocations, et le prisme imposé des vacations statutaires.
  10. La prêtrise est une damnation sans Lui, puisqu'elle devient alors le culte pendant d'une malencontreuse infortune sise sur le péché originel, d'où l'insistance de nôtre saint pontife sur la conversion personnelle du prêtre comme préalable.
  11. Détail charmant, en priant Dieu vous sert avec prévenance toutefois, qu'il vaut mieux avoir souffert de procéder valablement ainsi par une sainte dévotion monastique de renom dans vôtre vie antérieure. 
  12. Pour nôtre part, le procédé ainsi enrichi, libère la certitude d'un pouvoir conjoncturel plus fort que la mort, celui d'un sacerdoce plein.
  13. Cette gageure n'est pas le fait majeur jusqu'à présent des candidats à cette vie «supérieure», «felicita» en argot romain. 
  14. La traduction du pouvoir de Dieu devient bien trop souvent une altération du devenir romain, par une série d'imprécations confondues avec l'expression de la volonté céleste, mais bien plutôt destinée dans de bonnes conditions à eux mêmes si toutefois ils en prennent soin.
  15. Les dix commandements ne sont pas leur fort, et sans eux, il n'y a pas d'Église.
  16. «Dans le fond qu'est Dieu, sinon un éternel enfant jouant dans un éternel jardin», ce propos de Srî Aurobindo trouve par de tels manquements sa valeur urgente.
  17. Tant et si bien que le prêtre romain d'envergure se doit d'avoir la foi et l'engagement bien situés, et l'héroïsme joint à la volonté céleste de Marie, qui garantit alors toujours de bonnes sensations.
  18. Pour nous qui veillons et prions toujours davantage, le sacerdoce est un outrage à nôtre sérénité acquise, une forme d'imperfection de la vie nécessaire mais pas fatalement plausible.
  19. Rencontrer des personnes à n'en plus finir recherchant du pire la mélodie en sous-sol des pleurs et des grincements de dents, rend bien délicat de s'appliquer à les croire par un tel exercice, celui de la prêtrise justement.  
  20. Ce pourquoi nous avons un immense respect pour les vrais prêtres est bien là, qu'à tout prendre, il convient d'être un saint pour ne pas se tromper.
  21. Gageons de devenir meilleur tout de même, mais nous ne sommes pas choqué par la proximité de Marie.
  22. Pour que la France vive.


  [Menaçant, mais pas militaire...]






      Paris, ce samedi 28juin 2025, Bruno Cadou.

  Post scriptum:
  Un bonbon permettant un jeûne conséquent, quand la nécessité se fait pressante de s'ordonner pour manger de trop, par manque d'importance sinon. Merci Car en Sac.